Derrière le masque se cache une personne tenace,
persévérante dans ses demandes, naturellement gaie et sociable.
Elle peut s'avérer être douée pour la comédie et venir en aide aux autres.
Elle possède souvent des talents
SOURCE : LE NET
Reich en fut l'initiateur.
Pour lui, le caractère se devine à l'attitude physique,
car celle ci dépend de l'état de contraction de nos muscles.
Nos tensions musculaires sont localisées dans les muscles qui tendent à nous protéger.
Cette autoprotection porte aussi bien sur les agressions que peut nous infliger l'entourage
que sur nos propres impulsions dont nous nous défendons.
Les émotions refoulées peuvent donc se convertir en tensions musculaires.
Ainsi se constituent des blocages et des rétentions d'énergie au niveau de ces zones.
Cette énergie n'est plus disponible pour les fonctions physiologiques.
S'il est vrai que les émotions sont "engrammées" dans les muscles,
la logique veut qu'elles se manifestent alors que l'énergie est remise en circulation.
C'est exactement ce qui se produit :
des cris, des pleurs, des manisfestations impressionnantes
accompagnent la libération émotionnelle.
Source : "Médecin des trois corps"
Dr Jeanine Fontaine.
Wilhelm Reich est un médecin, psychiatre, psychanalyste et critique de la société autrichienne,
né le 24 mars 1897 à Dobrzcynica et mort en prison le 3 novembre 1957 (à 60 ans)
à Lewisburg, Pennsylvanie, États-Unis.
Âgé de 22 ans lorsqu'il prend contact avec la psychanalyse,
il est le plus jeune collaborateur intégré dans le cercle intime de Sigmund Freud à Vienne ;
il est connu pour ses recherches sur l'« énergie d'orgone ».
Ses prises de positions relatives au fait social comme maintien de la névrose individuelle,
l'ont ensuite éloigné du créateur de la psychanalyse, et exclu de l'Association Psychanalytique Internationale en 1933.
Source Wikipédia.
Nous sommes tellement prisonniers de nos automatismes que nous avons oublié les chemins de traverse.
Ces chemins qui s'écartent de l'autoroute bruyante et effrénée.
Ces petits sentiers qui nous font découvrir de nouveaux horizons possibles.
Où l'on peut se poser, se reposer.
La liberté de découvrir tout un champ de possibles que l'on croyait inaccessible
et dont on ne soupçonnait même pas l'existence.
Jeanne Siaud-Facchin.
"J'étais restée enfermée toute la journée et j'avais besoin d'air frais.
Le soleil brillait, alors à la pause déjeuner,
même s'il faisait assez froid, j'ai décidé d'aller faire une promenade.
J'ai cherché le coin le plus ensoleillé que je pouvais trouver, mais c'était dingue :
ça avait effectivement l'air d'être du soleil,
c'était lumineux comme le soleil,
mais il n'y avait aucune chaleur qui s'en dégageait.
Et cette vague de tristesse m'est tombée dessus :
le soleil était comme ma mère".
ERICA
Extrait de "Ces mères qui ne savent pas aimer"
SUSAN FORWARD.
Evelyne DUMET a 23 ans quand, lors d'une opération consécutive à son accouchement,
elle connaît une NDE sans avoir jamais entendu parler du phénomène.
"L'être de lumière m'a demandé "qu'as-tu fait de ta vie ?"
Je n'avais rien fait de ma vie. Ce fut un choc.
L'Etre lui annonce qu'elle va revenir sur terre en vertu d'une mission à accomplir.
Comme la plupart des expérienceurs, elle proteste et refuse de revenir.
En réponse, on lui annonce que non seulement elle va vivre, mais que son fils va mourir.
A ce moment, elle ne devra surtout pas se suicider.
"Il m'a montré ce qui m'attendait : des images tellement terrifiantes que je ne les ai pas oubliées.
En cas de suicide, je ne reverrais pas mon fils."
Pendant dix ans, cette infirmière psychiatrique ne parlera de son expérience à personne
de peur d'être internée.
"Je savais au fond de moi que je n'étais pas hallucinée."
Au total, elle vivra 23 autres années d'écartèlement entre la certitude absolue de la réalité de son expérience
et la peur de perdre son fils... Sans oser lui en parler et tout en étant persuadée qu'après sa mort,
il serait heureux.
Il finit par disparaître dans un accident de voiture. Je redoutais ce moment depuis 23 ans.
Aujourd'hui, Evelyne Dumet est médecin et psychanalyste.
"J'étais athée, je suis devenue croyante.
Quand je vais à des funérailles, je suis envahie par la souffrance des gens :
c'est cela qui me fait pleurer, pas la mort de la personne.
Je parle de ma NDE, un jour ou l'autre à tout patient en deuil.
" Elle reçoit beaucoup de mères qui ont perdu leur enfant, au point d'envisager un groupe de parole spécifique.
"Ma mission est de leur apprendre que leurs enfants sont toujours là, qu'il y a une vie après la mort.
Ma mission est d'aider les autres. Même si ma vie est difficile,
je n'ai pas le droit de ne pas aller au bout de ce qu'on a prévu pour moi.
Cette vie est un cadeau, je ne peux pas la gâcher.
Source : Le Cercle Psy
La colère est chargée d'émotions dérangeantes
mais les choses que nous avons peur de provoquer si nous nous mettons en colère
sont justement les choses qui ont toutes les chances d'arriver si nous ne nous mettons pas en colère !
Quand vous refoulez votre colère, vous risquez de devenir déprimé ou agressif.
La colère refoulée est imprévisible, elle peut exploser à tout moment.
Et, quand ça arrive, c'est souvent de façon incontrôlable.
La colère est toujours destructrice à moins d'être canalisée,
surtout si on l'a laissée couver au niveau de l'inconscient.
Les adultes élevés par des parents toxiques ont des difficultés particulières avec leur colère
parce qu'ils ont grandi dans des familles où on ne laissait pas les émotions s'exprimer.
La colère était un privilège réservé aux parents.
La plupart des enfants de parents toxiques deviennent très tolérants aux mauvais traitements.
Vous pouvez très bien n'être que vaguement conscient
qu'il vous est arrivé quelque chose de pas ordinaire au cours de votre enfance.
Il y a des chances pour que vous ne sachiez pas à quel point vous êtes réellement en colère.
Vous avez sans doute une façon parmi d'autres d'affronter votre colère :
enterrer votre colère et devenir malade ou déprimé ;
détourner votre colère et la transformer en souffrance ou en calvaire ;
la tuer dans l'alcool, la drogue, la nourriture ou le sexe ;
ou encore exploser à chaque occasion,
en laissant votre colère faire de vous une personne tendue, frustrée, suspicieuse, agressive.
Susan Forward
"Il est tellement important de laisser certaines choses disparaître.
De s'en défaire. De s'en libérer.
Vous devez clore les cycles,
non par fierté, par orgueil ou par incapacité,
mais simplement parce que ce qui précède
n'a plus sa place dans votre vie.
Faites le ménage, secouez la Poussière,
Fermez la porte...
Cessez d'être ce que vous étiez et devenez ce que vous êtes..."
PAULO COELHO
Abandonner, c'est quitter, laisser, ne pas vouloir s'en occuper.
Selon Lise Bourbeau, la blessure d'abandon est vécue avec le parent du sexe opposé.
Ce parent peut être physiquement présent,
mais affectivement et moralement absent de la vie de l'enfant.
Celui qui souffre de la blessure d'abandon ne s'est pas senti suffisamment nourri affectivement.
Lise Bourbeau met en avant la difficulté de distinguer la blessure de rejet de celle d'abandon.
Afin d'éviter sa blessure, l'enfant va se créer un masque, celui du DEPENDANT .
La principale caractéristique du dépendant
est sa croyance qu'il ne peut arriver à rien tout seul
et qu'il a besoin de quelqu'un d'autre pour tenir debout, pour le supporter dans la plupart de ses actions.
Au travers de son masque, on peut y distinguer le petit enfant insécurisé qui a besoin d'aide.
De tous les masques, le dépendant est celui le plus à même de devenir victime.
Prêt à tout pour ne pas perdre l'autre,
il est capable d'endurer des situations extrêmement difficiles plutôt que de rompre.
Pour ce faire, le dépendant a souvent recours au déni de sa situation,
en proclamant à qui veut l'entendre que tout va bien,
plutôt que d'affronter son problème et prendre le risque, selon lui, d'être abandonné.
Le dépendant fusionne facilement.
Il pense que seul l'amour des autres peut lui permettre de tenir debout.
Sa recherche d'une présence constante d'un autre
est aussi pour lui un moyen d'éviter de ressentir la tristesse qui l'habite, au plus profond de lui,
sans parvenir à la comprendre. Pour ne jamais la laisser monter en lui,
il se « gave » de contacts et d'interactions.
Le dépendant préfère ne pas formuler de demandes,
car leur refus serait vécu comme un abandon.
Sa plus grande peur est la solitude.
Le dépendant développe toutes sortes de stratégies pour ne jamais se confronter à sa blessure d'abandon
(acceptation sans limites de situations abusives, rôle de sauveur, dramatisation de sa situation, etc.).
Tout est bon pour attirer l'attention et, surtout, ne pas se retrouver seul,
ce qui provoquerait irrémédiablement le réveil de ses souffrances les plus profondes.
SOURCE : LE NET
Elle est le besoin compulsif et parfois non maîtrisable d'avaler de la nourriture.
La Boulimie nous parle du besoin de combler un vide existentiel,
de gérer nos angoisses à tout moment par la nourriture.
La relation que nous entretenons avec la nourriture
est fortement imprégnée du souvenir de cette relation à la mère.
Chaque tension, frustration, manque, besoin de compenser ou de récompenser,
se fera par la nourriture.
La peur, l'incertitude de ne pouvoir recommencer
entraînent l'attitude compulsive et répétitive ou bien le stockage.
MICHEL ODOUL
DIS MOI OU TU AS MAL JE TE DIRAI POURQUOI.
L'épuisement moral, émotionnel et physique qui découle de la relation avec le manipulateur pervers
rend la victime pratiquement incapable de s'en sortir sans l'aide de professionnels avertis.
Le fait que le pervers narcissique oscille entre un comportement "gentil" et "pas gentil"
maintient sa victime dans un stress constant l'obligeant à une adaptation perpétuelle.
La victime doit en permanence réajuster son attitude pour tenter de préserver les moments agréables
et faire ainsi peut être durer son illusion personnelle.
Cet épuisement empêche le cerveau de fonctionner normalement :
la victime se focalise et tourne en boucle sur des choses qui ne sont pas les plus importantes à gérer.
L'épuisement coupe la personne de toute réflexion utile,
la fait s'enfoncer de plus en plus sous le joug du manipulateur pervers.
"Durant toutes ces années, je croyais que j'avais vraiment des parents merveilleux
et que j'étais un problème pour eux
. J'ai vraiment eu beaucoup de mal à admettre que mes parents ne savent pas m'aimer.
Ils savent me contrôler, me critiquer, ils savent me culpabiliser et me rendre malheureuse,
mais ils ne savent pas me laisser être moi même ni me respecter.
Ils me donnent ou me reprennent leur amour, selon qu'ils pensent que j'ai été ou non une gentille fille.
Je sais que cela ne changera pas.
Ils sont ce qu'ils sont et j'ai mieux à faire que de continuer à essayer de les changer".
Susan Forward
"Parents toxiques".
Le tatouage porte atteinte au corps, le blesse, le modifie, donc le désacralise.
La marque est désormais choisie et non subie ; mon corps m'appartient et j'en fais ce que je veux.
Au même moment, ce corps devient messager et retranscrit ce qui n'est pas exprimé
mais qui prend une forme symbolique.
Le tatouage est devenu une forme de communication.
Le tatouage et la scarification
sont deux façons de marquer le corps et relèvent de pratiques bien différentes.
Le terme "scarification" est utilisé pour indiquer des pratiques d'automutilation,
des incisions effectuées sur certaines parties du corps.
La scarification est effectuée par des sujets en souffrance avec plus ou moins de violence,
c'est une sorte d'exutoire corporel à une douleur psychique.
La scarification peut être une manière de passer par l'acte quand la parole est défaillante.
Le tatouage est une inscription en surface.
Il permet de retravailler ce corps
qu'ont donné les parents, d'en reprendre le contrôle d'une certaine façon.
Se faire tatouer est souvent une manière de démontrer son indépendance.
Le désir de se faire tatouer est indissociable de la relation parentale et au besoin d'individualisation.
Le tatouage incarne généralement une profonde volonté d'affirmation de soi.
Frontière entre le monde intérieur et extérieur,
la peau dit aux autres ce que l'on est, ou ce que l'on désire être.
Le choix du motif, jamais anodin, exprime une valeur intime...
SOURCE
La Cabane Psychologique
Le Net