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    Plus nous avons des attentes envers les autres et plus nous risquons d'être déçus...

     

     

    Pour parler d'amitié....

     

     

    Si nous attendons que les autres nous aiment, nous admirent, prennent soin de nous et nous respectent,

    nous risquons d'attendre longtemps.

    Mais  si vous vous aimez, si vous vous donnez toute l'attention dont vous avez besoin,

    si vous êtes fier de ce que vous êtes et de ce que vous faites,

    alors vous n'aurez plus besoin d'attendre que les autres le fassent à votre place.

     

    Chaque fois que vous avez des attentes envers quelqu'un, 

    c'est le signe qu'il y a un besoin en vous que vous ne comblez pas vous-mêmes :

    vous attendez que quelqu'un le comble pour vous...

     

    Quand vous apprenez à vous donner vous-même ce que vous demandez aux autres,

    ce que vous attendez des autres,

    une grande liberté apparaît dans votre vie.

     

    Vivre sans attente est une forme de liberté majestueuse !

    Plus vous répondrez vous-même à vos propres besoins, plus votre estime de vous augmentera

    et plus vos besoins seront comblés, par la personne la plus importante de votre vie :

    VOUS.

     

     

    Extrait du livre "Apprendre à s'aimer, un jour à la fois"

    DIANE GAGNON.

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Illustration tirée du livre de R. Fiammeti :

    les cartes du langage émotionnel du corps.

     

     

    Quand on rencontre la souffrance que l'on a occultée et surtout imprimée dans son corps,

    ce corps réagira démesurément.

    Les vertèbres jouent le rôle de fusibles.

    Si la tension est trop forte, les fusibles "sautent". La  vertèbre se met en lésion.

    Chaque vertèbre possède une signification émotionnelle.

    Elles est la partie visible, palpable de nos émotions enfouies au plus profond de nos tissus.

    Emotions imprimées car pas exprimées.

     

    Il est fréquent de rencontrer des individus

    qui ont totalement occulté un événement trop douloureux

    et qui retrouvent cette mémoire suite au traitement de libération des tissus du corps

    et des émotions par l'Approche Somato Emotionnelle.

     

    ROGER FIAMMETTI.

     

    Je confirme - FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Les maux du système nerveux autonome.

     

    Les déséquilibres du système neurovégétatif

    expriment notre difficulté à relier en nous le conscient et le non conscient.

     

    Dis moi où tu as mal, je te dirai pourquoi....

     

     

    Ils nous disent que notre non conscient a de la difficulté à gérer les sollicitations

    qui viennent du monde extérieur et notamment les émotions.

    Toutes les manifestations de la fameuse spasmophilie comme les tremblements,

    les tics dits "nerveux", les nausées, les migraines, les crampes, les crises de tétanie

    sont les expressions de cette difficulté intérieure à maîtriser et à répondre correctement

    aux sollicitations du monde extérieur.

     

    L'hyperthyroïdie (yang) ou l'hypothyroïdie (yin), par exemple,

    sont souvent les signes d'une impossibilité à dire ou à faire ce que l'on voudrait.

    Personne ne peut nous comprendre,

    nous n'avons pas les moyens de faire "passer" ce que nous croyons,

    nous avons peur de la non acceptation par l'autre de ce que nous voudrions dire,

    nous avons peur de la force ou la violence de ce qui pourrait sortir.

    Il y a toujours derrière cette non expression,

    une notion de risque, de danger, qui nous fait arrêter, retenir l'expression.

     

     

    MICHEL ODOUL

    DIS MOI OU TU AS MAL JE TE DIRAI POURQUOI.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Le journal américain The New York Times a publié il y a quelques temps un article extraordinaire.

    Il rapporte l'histoire d'un combattant de la seconde Guerre mondiale d'origine grecque,

    Stamatis Moraitis, qui partit s'installer aux Etats Unis après l'Armistice. 

    Alors qu'il avait adopté le style de vie américain, avec villa en Floride, deux voitures, trois enfants,

    Stamatis Moraitis apprit en 1976 qu'il avait un cancer des poumons.

    Neuf médecins confirmèrent le diagnostic et lui donnèrent neuf mois à vivre. Il avait 62 ans.

     

     

    Il décida alors de retourner avec son épouse sur son île natale d'Icare, en mer Egée,

    pour être enterré aux côtés de ses ancêtres dans un cimetière ombragé surplombant la mer.

    Stamalis s'installa dans une maisonnette blanchie à la chaux, au milieu d'un  hectare de vignes escarpées,

    sur la côte nord est d'Icare, et se prépara à mourir...

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

     

     

     

    D'abord il passa ses journées au lit, soigné par sa mère et sa femme.

    Lorsque ses amis d'enfance apprirent son retour, ils commencèrent à lui rendre visite chaque après midi

    . Leurs conversations pouvaient durer des heures,

    et s'accompagnaient invariablement d'une ou deux bouteilles de vin du cru.

    "Autant mourir heureux", se disait Stamatis.

     

    Pendant les mois qui suivirent, quelque chose d'étrange se produisit.

    Il dit qu'il commença à sentir ses forces le regagner. Il planta quelques légumes dans son jardin.

    Il ne projetait pas de les récolter lui-même mais il appréciait le soleil, et respirer l'air de la mer.

    Six mois s'écoulèrent, Stamatis était toujours vivant.

    Loin d'entrer en agonie, il avait agrandi son potager et, sentant ses forces revenir,

    il avait aussi nettoyé la vigne familiale.

    S'accommodant de mieux en mieux du rythme de vie paisible de la petite île,

    il se levait le matin quand bon lui semblait,  travaillait à la vigne jusqu'en début d'après midi,

    se faisait  un bon déjeuner puis enchaînait sur une longue sieste....

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

    Aujourd'hui, 35 ans plus tard, il a atteint 97 ans,et il n'a plus le cancer.

    Il ne suivit jamais de chimiothérapie, ne prit aucun médicament d'aucune sorte.

    Tout ce qu'il fit fut de partir pou Icare.

    Le cas de Stamatis Moraitis et de l'île d'Icare,

    est rapporté par un scientifique de la National Geographic Society,

    qui s'est spécialisé dans l'étude du mode de vie des populations bénéficiant d'une longévité exceptionnelle.

    Selon le Docteur Leriadis, qui vit et soigne les habitants  d'Icare,

    leur bonne santé tient à leur mode de vie et aux bonnes relations sociales qui existent entre les habitants,

    mais aussi à une sorte de tisane "le thé des montagnes",

    faite d'herbes  sèches qui poussent sur cette île et qui est consommée en fin de journée :

    il s'agit d'un mélange de marjolaine sauvage, de sauge, de romarin, d'armoise, de feuilles de pissenlit

    et de menthe auquel on ajoute un peu de citron.

     

    Le Docteur Christina Chrysohou,

    cardiologue à la Faculté de Médecine de l'Université d'Athènes,

    a étudié le régime de 673 habitants d'Icare,

    et a constaté qu'ils consomment six fois plus de légumineuses (haricots, lentilles, pois) que les Américains,

    mangent du poisson deux fois par semaine et  de la viande cinq fois par mois

    et boivent deux à trois tasses de café et deux à quatre verres de vin par jour.

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

     

     

     

    A votre santé !

     

    SOURCE :

    Jean Marc Dupuis.

    SANTE NATURE INOVATION

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "Laissez faire le temps, vous êtes trop pressée, vous ne comptez pas assez avec le temps, il est à vous.

    La force du temps est plus grande que vous ne le croyez.

    Et puis, respectez les croyances de chacun,

    ne tentez pas de prouver que vous avez raison à des esprits qui ne sont pas préparés à recevoir la vérité ;

    vous les agressez.

     

    A propos des guérisseurs...

    N'oubliez pas que vous êtes guérisseur.

    Un guérisseur ne doit pas agresser les esprits.

    Il doit savoir reconnaître le niveau de chacun et s'adresser à lui selon son développement.

    Un guérisseur doit savoir donner à chacun ce qu'il est en mesure de recevoir.

    Il faut adapter votre langage au niveau d'évolution de chacun, et chacun est différent.

    Respectez les croyances et les opinions d'autrui

    et gardez surtout votre calme intérieur dans toutes les circonstances,

    car le temps est votre allié".

     

    TONY AGPAOA

     

     


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    Reich en fut l'initiateur.

    Pour lui, le caractère se devine à l'attitude physique,

    car celle ci dépend de l'état de contraction de nos muscles.

     

    La bioenergie

     

    Nos tensions musculaires sont localisées dans les muscles qui tendent à nous protéger.

    Cette autoprotection porte aussi bien sur les agressions que peut nous infliger l'entourage

    que sur nos propres impulsions dont nous nous défendons.

    Les émotions refoulées peuvent donc se convertir en tensions musculaires.

    Ainsi se constituent des blocages et des rétentions d'énergie au niveau de ces zones.

    Cette énergie n'est plus disponible pour les fonctions physiologiques.

    S'il est vrai que les émotions sont "engrammées" dans les muscles,

    la logique veut qu'elles se manifestent alors que l'énergie est remise en circulation.

    C'est exactement ce qui se produit :

    des cris, des pleurs, des manisfestations impressionnantes

    accompagnent la libération émotionnelle.

     

    Source : "Médecin des trois corps"

    Dr Jeanine Fontaine.

     

    La bioenergie

     

    Wilhelm Reich est un médecin, psychiatre, psychanalyste et critique de la société autrichienne,

    né le 24 mars 1897 à Dobrzcynica et mort en prison le 3 novembre 1957 (à 60 ans)

    à Lewisburg, Pennsylvanie, États-Unis.

    Âgé de 22 ans lorsqu'il prend contact avec la psychanalyse,

    il est le plus jeune collaborateur intégré dans le cercle intime de Sigmund Freud à Vienne ;

    il est connu pour ses recherches sur l'« énergie d'orgone ».

    Ses prises de positions relatives au fait social comme maintien de la névrose individuelle,

    l'ont ensuite éloigné du créateur de la psychanalyse, et exclu de l'Association Psychanalytique Internationale en 1933.

     

    Source Wikipédia

     

     

     

     

     

     

     

     


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