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    L'enfant face à la détresse de son parent, va vouloir combler ou réparer ses blessures.

    Le parent MPN va utiliser la culpabilisation, le chantage affectif, le chantage au suicide

    et sa position de victime pour obtenir l'aide et le soutien de son enfant.

    Celui-ci se retrouve donc enfermé dans un lien de dépendance,

    tiraillé entre son envie d'aider son parent et son incapacité à le faire,

    car un parent MPN n'a aucun intérêt à aller mieux et à reconnaître l'aide de son enfant.

    La peur de ne "plus" être aimé par son parent, de le décevoir,

    la peur qu'il mette ses menaces de suicide à exécution vont placer l'enfant dans un rôle qui n'est pas le sien.

     

    JULIE ARCOULIN.

    D'après ce livre que je vous recommande vivement...

     

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    "Imaginez un individu qui se définit en tant que parent

    "je suis mère/père avant tout" et qui exprime son autorité à la maison.

    Il ne supportera pas de voir son enfant s'émanciper.

    C'est sans doute celui qui crie : "Tu ne vas pas y arriver... ", "Ne va pas avec eux, c'est dangereux...",

    "tu n'es vraiment qu'un bon à rien..."

    L'enfant est infantilisé, empêché de grandir.

    En empêchant l'enfant d'accéder à sa juste place, le parent est assuré de garder la sienne.

     

     

    Il est une chose que nous devons comprendre :

    nous avons réussi, le jour où nous ne servons plus à rien.

    Ca a l'air difficile à entendre dans une société où il faut toujours plus, et encore plus et plus.

    Un parent suffisamment bon aime voir partir ses enfants ;

    un thérapeute qui ne souhaite pas perdre son pouvoir accompagne ses patients dans la maladie,

    il ne les accompagne pas dans la guérison."

     

    Extrait du livre "Les violences invisibles"

    Jean Charles Bouchoux

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    « Quand mes parents ont divorcé, mon père m’a très vite fait comprendre que je devais être là pour lui »

     confie Fanny, jeune avocate de 31 ans. « Pendant des années j’ai essuyé ses larmes,

    mais je n’avais rien en retour si ce n’est du mépris.

    Mon père était un père idéal aux yeux de tout le monde,

    mais à la maison il montrait un tout autre visage, j’en ai beaucoup souffert ».

     

     

     

     

    Le pervers narcissique se caractérise par deux traits de personnalité très distincts :

    « La personnalité narcissique est extrêmement égocentrique d’une part,

    et d’autre part il a une grande immaturité émotionnelle.

    Son âge émotionnel s‘est figé à 5-6 ans et il adopte au fil du temps

    un comportement de celui d’un pré-adolescent.

    Il a une incapacité à gérer les frustrations, une image de soi primordiale,

    un caractère boudeur, il punit, il râle… » explique Geneviève Schmit,

    thérapeute spécialisée dans l’accompagnement des victimes de manipulateurs.

     

     Enfant, il est assez difficile - voire impossible - de se rendre compte qu’un de ses parents se comporte ainsi.

    Une prise de conscience souvent très longue :

    « De lui même l’enfant va pouvoir réaliser qu’il se trouve dans ce système lorsque sa propre maturité

    émotionnelle commence à dépasser celle du parent toxique.

    À ce moment là, il y a souvent un clash,

    soit l’enfant se soumet au parent toxique parce que c’est ce qui est le plus confortable pour lui,

    soit il va chercher le moyen de nager en eaux troubles. »

    Une situation difficile, que Fanny, 31 ans, a vécu à la sortie de l’adolescence :

    «  Vers mes 18-19 ans, j’ai commencé à réaliser que mon père avait une emprise terrible sur moi,

    mais je me sentais totalement prisonnière de cette relation.

    Pendant quelques années j’ai décidé de faire le dos rond pour ne pas le brusquer, mais cela n’a pas duré ». 

     

    Vivre avec un parent pervers narcissique est un vrai combat,

    et s’en défaire est extrêmement compliqué

    car cela peut rapidement nous faire perdre tous nos repères, toute confiance en soi.

    À l’âge adulte, il est important de faire un travail de reconstruction :

    « Un individu qui a une bonne image de soi retrouvée, une stabilité,

    pourra trouver la bonne position par rapport au parent toxique. »

     

    Pour se défaire de cette relation étouffante il n’existe pas beaucoup de solutions :

    Soit on s’éloigne du parent toxique, on met des distances, on coupe les ponts mais sans culpabiliser.

    Soit on agit avec suffisamment de recul, presque comme si c’était une personne étrangère,

    comme un infirmier qui gère un malade, mais cela demande beaucoup de stabilité émotionnelle.

     

    En somme, il faut partir ou agir mais surtout parvenir à se défaire de cette emprise,

    qui parfois relève de la manipulation affective :

    « Le parent toxique peut se faire passer pour victime, ou se montrer comme s’il avait besoin de l‘autre.

    L’enfant, même à l’âge adulte, va se sentir responsable du bonheur et du bien-être du parent toxique

    et va essayer d’aider ses parents qu’il n’arrivera, en réalité, jamais à aider. » 

     

    Face à un parent toxique, le réel risque est de passer à côté de sa propre vie

    pour s’occuper de sa mère ou son père.

    Un risque que Fanny a décidé de ne pas prendre :

    « J’ai réussi à m’affirmer vers mes 21 ans. Un jour j’ai dit stop, plus rien ne pouvait m’atteindre venant de lui.

    Aujourd’hui je me suis libérée, je vois toujours mon père mais j’ai instauré beaucoup de distance. »

     

    Et de conclure :

     « Son mal-être ne me touche plus, je me suis fait ma carapace,

    mais je n’arrive malgré tout pas encore à lui lâcher entièrement la main ».

     

    Geneviève Schmitt

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    "Toutes les mères n'aiment pas, et tous les pères ne protègent pas.

    Il y a des familles si toxiques, que la distance tracée, claire et ferme,

    Est le seul remède pour guérir.

     

    Nous ne venons pas tous par amour,

    Y en a qui sont non désirés, non attendus, non planifiés

    et dans de nombreux cas, le produit d'un viol, même si nos parents étaient mariés.

    Il y a des mères rendues folles, qui déversent sur nous leur colère et leurs blessures.

    Il y a des pères pour qui nous ne comptons pas, ni avant, ni maintenant, ni jamais.

     

    Il y a des frères cruels, abusifs, violents et qui se croient en droit sur nous.

    Il y a des soeurs qui trahissent, volent, parlent, envient, même ce qui nous appartient.

     

    Il y a des enfants violents, ingrats, distants et abusifs envers leurs parents.

    Des enfants qui n'aiment pas leurs propres parents,

    qui sont avec eux par intérêt ou pour en tirer un profit quelconque.

     

    Il y a des familles qui ne sont jamais, ou ne seront jamais là pour nous,

    seulement quand cela leur convient

    pour continuer à nous utiliser, au nom du sang qui nous unit.

     

    Tant que nous ne cesserons pas de romantiser la famille, le couple, les parents, les frères,

    nous ne pourrons pas grandir, guérir et établir des limites saines.

     

    Pour guérir, il est nécessaire de voir l'Ombre, le côté sombre de notre Arbre.

    Il faut de la force et du courage pour t'éloigner de ce qui t'a blessé toute ta vie".

     

    SOURCE : La Manipulation Perverse Narcissique - Facebook

     

     

     

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    Les enfants de parents toxiques ont un tel besoin d'approbation

    que cela les empêche de vivre comme ils le veulent.

    Il est vrai qu'il subsiste entre la plupart des adultes et leurs parents une certaine fusion.

    Si on leur demande :

    "Etes vous capable d'avoir vos propres pensées, d'entreprendre vos propres actions,

    de ressentir vos propres sentiments sans prendre en considération en aucune façon

    les espoirs et les ambitions de vos parents ?",

    rares sont ceux qui pourraient répondre par un "oui" catégorique.

     

     

    Quand vous fondez la majorité des décisions de votre vie sur l'effet qu'elles auront sur vos parents,

    vous renoncez à votre libre arbitre.

    Si leurs sentiments passent toujours en premier, ce sont eux qui sont aux commandes de votre vie

    et vous empêchent de vous sentir un véritable adulte vis-à-vis de vos parents.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Oui, il est possible de se reconstruire...

    Il faut pour cela, passer par certaines étapes.

    Il y a une série de deuils à faire, des croyances à nettoyer, des chaînes à briser, il y a de l'amour à se donner.

    Ce travail de reconstruction peut-être long ou pas.

    Chaque situation, chaque personne a son rythme et il est important de le respecter.

     

    Artiste européen émigré en Australie dès son plus jeune âge, Loui Jover fait partie de ces créatifs qui associent une esthétique élégante à une logique de réutilisation. Quand de vieux livres sont font œuvres d'art...  Né en 1967 en Europe, Loui Jover immigre rapidement en Australie où il développe un goût et un talent assez prononcé pour le dessin. Talent qui le poussera à faire des études en art dès 1980, grâce à un cours par correspondance du Melbourne Art Institute, et à en faire plus...

     

    Il est important de vous faire accompagner par un thérapeute à certains moments de cette reconstruction.

    Cela ne fera qu'accélérer les choses.

    Veillez cependant à vous adresser à quelqu'un qui est informé (voire formé)

    sur cette problématique et qui la comprend.

    Certains psys et thérapeutes ne connaissent pas bien ce "phénomène".

     

     

    Extrait de ce livre que je vous recommande....

     

    Se reconstruire

     

     

     

     

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    Les Deuil à faire

     

    LE DEUIL DU PARENT TOUJOURS VIVANT

    Ce qu'il faut combler,

    ce sont LES VIDES de la déficience de ce parent....

     

     

    LE DEUIL DE LA RELATION  

    Il s'agit de faire le deuil de la relation,

    de ce que vous étiez en droit d'attendre, des efforts que vous avez fournis pour que "ça aille mieux" ,

    de ce lien auquel vous teniez car, malgré tout, c'était votre parent ou, en tout cas, il était censé l'être...

    Il arrive très souvent que les enfants de MPN s'en veuillent d'avoir mis tant de temps à comprendre,

    à ouvrir les yeux et à accepter qu'il n'y avait rien à faire.

     

     

    LE DEUIL DE L'ESPOIR 

    Si, en tant qu'enfant de MPN,

    vous aviez mis longtemps à admette, à comprendre ou à voir que votre parent était toxique,

    c'est parce que vous aviez toujours l'espoir de le changer.

    Animés et habités par leur bon sens et leur espoir,

    les enfants de MPN ne peuvent pas imaginer qu'une personne qu'ils considèrent comme intelligente

    ne puisse pas avoir le même bon sens qu'eux, qu'elle continue à nier l'évidence.

    Les enfants de MPN sont les rois de l'espoir :

    espoir que leur parent change, espoir de se faire aimer, espoir d'être acceptés tels qu'ils sont,

    espoir de se faire comprendre, espoir de la justice et de la réparation.

     

     

    LE DEUIL DE L'AMOUR INCONDITIONNEL DE SON PARENT

    La société Judéo-chrétienne dans laquelle nous vivons ne donne pas le droit de penser cela. 

    Pourtant il est évident qu'un parent MPN n'aime pas  son enfant.

    Ne pas se sentir aimé pour ce que l'on est

    et accepter que ça ne sera jamais le cas est un processus douloureux.

     

     

    LE DEUIL DES PARTIES DE SOI BLESSEES

    Les blessures sont nombreuses, l'ego souffre.

    Grandir avec un parent MPN, c'est se construire en tentant d'éviter les balles, mais en en prenant quand même.

    Il faut bien comprendre que les enfants de MPN

    n'ont pas le droit d'avoir des besoins, des émotions, des envies autres que celles de leur parent.

    Ils ont tendance à grandir et à se développer en fonction des attentes de leur parent MPN,

    et non en fonction de ce qu'ils sont vraiment.

     

     

    LE DEUIL DE LA RECONNAISSANCE

     

     

    LE DEUIL DE L'ENTOURAGE ENCORE SOUS EMPRISE.

    En plus de faire le deuil de son parent,

    il doit faire celui de ses freres et sœurs, de sa famille, de son entourage.

    Il sera incompris et jugé, culpabilisé et rejeté.

    Dans ces cas-là, les enfants (devenus adultes) ressentent un grand et profond sentiment de solitude.

     

     

    JULIE ARCOULIN

    extrait de....

     

    Les Deuils à faire

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Les enfants de MPN

    ne montrent rien de leurs émotions et sentiments.

     

     

    Il ne s'agit pas tant d'un trait de personnalité que d'une stratégie de survie.

    Lorsqu'on est face à un parent qui utilise contre vous

    la moindre émotion, la moindre faiblesse, le moindre sourcillement,

    on a vite fait de comprendre qu'il faut en montrer le moins possible.

    Il faut bien se rendre compte qu'un MPN  a une espèce de sixième sens

    qui lui permet de s'engouffrer dans les failles de ses proies.

    Il se servira du moindre signe pour nuire.

    L'enfant affiche constamment un sourire et prend soin de ne pas laisser paraître ses émois.

    Les enfants qui ont développé cette stratégie de survie sont des adultes à l'apparence froide et insensible,

    semblant avoir une grande maîtrise d'eux mêmes.

    Pourtant, à l'intérieur, c'est le déchirement et un raz de marée d'émotions

    qu'ils ont simplement appris à cacher.

     

    JULIE ARCOULIN

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Extraits de l'émission

    "Ca commence aujourd'hui" du 19 mars 2020"

    https://www.france.tv/france-2/ca-commence-aujourd-hui/1306377-pervers-narcissiques-quand-leurs-enfants-sont-leurs-victimes.html?fbclid=IwAR1aTfNSlbAsM

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "Ces enfants devenus adultes en apparence,

    qui ont grandi face à un parent manipulateur pervers narcissique

    ne deviennent réellement adultes que lorsqu'ils se sont complètement libérés de ce "parent poison".

    Jusque-là, ces enfants restent dans la sur adaptation

    et dans l'espoir que leur parent changera et les aimera enfin inconditionnellement.

      Ils font des choses absurdes pour obtenir cette reconnaissance qui leur est refusée.

    JAMAIS cette reconnaissance, ni cet amour inconditionnel ne leur sera donné.

    Ainsi, tant qu'il poursuivra sa quête du Graal,

    l'enfant devenu adulte aura toujours une partie de lui qui restera enfant.

    Cet enfant à la recherche de ce parent "normal"

    capable de lui apporter l'amour inconditionnel, soutien et bienveillance".

     

    JULIE ARCOULIN - SURVIVRE AUX PARENTS TOXIQUES.

     

     

     

     

     

     

     

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    POUR MIEUX COMPRENDRE FAUSTINE...

    (C'est tout à fait ça... Merci Annabelle Boyer)

     

    Parents manipulateurs narcissiques...

     

    Quand la limite est atteinte, il faut bien se dire que le manipulateur ne changera pas.

    Il est centré sur lui et le reste.

    Le parent PN reste dans un rapport d'autorité ;

    il n'a pas compris que vous avez murie, que vous avez grandie, vieillie et que le rapport est devenu égalitaire.

    Il n'a jamais franchi cette étape car il est incapable d'introspection,

    incapable de se rendre compte qu'il cause du tort.

    Il faut couper les ponts totalement.

     

    A chaque fois que vous acceptez de répondre au téléphone,

    à chaque fois que vous acceptez de vous rendre dans un repas de famille,

    à chaque fois que vous acceptez de l'aider ou de faire quelque chose pour lui,

    à chaque fois vous retombez dans le piège de la manipulation et tout reprend...

     

    Il va vous avoir à l'usure, il va essayer de vous demander des petits services

    et les parents manipulateurs sont excellents pour vous faire sentir coupable.

    L'enfant devenu adulte va culpabiliser comme si tout ce qui arrive à son parent était de sa faute.

    Il faut couper les ponts et gérer le sentiment de culpabilité qui va ressortir et rejaillir...

     

    Il faut accepter de vous couper de votre famille,

    il faut vous construire une autre famille, un autre réseau...

     

    Consolidez votre confiance en vous.

    Vos parents savent quand vous êtes dans une période de vulnérabilité, quand vous êtes fatiguée,

    Le manipulateur a trouvé le chemin pour se rendre à votre esprit.

    Il faut donc se consolider.

     

    Vous avez une force incroyable en vous et cette force a été écrasée par les phrases du manipulateur.

    Il faut arrêter les pensées inconscientes qui passent par votre esprit.

    Consolidez continuellement votre confiance en vous.

    C'est difficile quand ça vient d'un parent...

     

     

     

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    "Des familles heureuses, des couples en harmonie, des enfants joyeux et sages...

    Voilà ce que l'on voit en apparence.

    Mais parfois, pourtant, la réalité est tout autre, car l'un des parents est un pervers narcissique.

     

     

    En fait écrire le mot "parent" et "pervers narcissique" l'un à la suite de l'autre

    est presque une insulte pour les parents dignes de ce nom.

    Un parent PN est tout sauf structurant, aimant et préoccupé par le bien être de son enfant.

    Même s'il l'est en apparence, ce n'est que pour mieux le manipuler et le rendre redevable et dépendant.

    Le parent PN considère son enfant comme un objet qui peut servir ses intérêts et son image sociale.

    Il est incapable de considérer que son enfant a des désirs, des émotions et des besoins qui lui sont propres.

    Il considère son enfant comme une propriété sur laquelle il a tous les droits.

    Tant que son enfant fait ce qu'il considère comme bien, il est adulé.

    Si, par hasard, son enfant se distancie en s'affirmant, il le rejette.

    C'est systématique.

    Le parent PN est incapable d'aimer son enfant de façon inconditionnelle.

    Il le culpabilise, fait du chantage affectif, ne prend aucune responsabilité et rejette la faute sur les autres.

    Comme son parent le culpabilise, le rend responsable de tous les maux qui touchent la famille,

    lui fait du chantage, lui fait comprendre que les besoins de son parent sont prioritaires,

    l'enfant pense que tout est de sa faute. 

    L'enfant, jusqu'au moment où sa conscience se réveille,

    est incapable de remettre en cause les comportements et attitudes de son parent toxique.

    De plus, il vit là-dedans depuis tout petit, alors il considère que c'est sa normalité.

    Il ne sait pas qu'ailleurs c'est différent : plus aimant, plus bienveillant, plus sain.

     

    Comme il est en quête de l'amour inconditionnel de son parent,

    il se pliera à ses exigences et se coupera de ses émotions, de ses désirs et de ses besoins.

    Il est, en quelque sorte, coupé de lui-même, de son identité".

     

     

     

    Extrait du livre "Survivre aux parents toxiques"

    de Julie Arcoulin chez City Editions.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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