•  

     

     

    Quel thérapeuthe pour quelle thérapie ?

     

    Choisir un psy.... un parcours du combattant.

     

     

    Il n'y a que deux titres qui garantissent d'une formation solide et sérieuse : psychologue et psychiatre.

    A noter aussi que tout professionnel doit être en mesure de vous fournir un numéro ADELI.

     

    Le psychologue :

    Cinq années de formation universitaire minimum lui permettent de proposer

    des psychothérapies de soutien, psychothérapies analytiques ou comportementales.

    Il ne délivre pas de médicaments.

    Les séances ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale, sauf dispensées dans un CMPP.

     

    Le psychiatre

    est un médecin qui s'est spécialisé dans les troubles psychiatriques.

    Il peut prescrire des médicaments ou une hospitalisation.

    Les séances sont prises en charge par la sécurité sociale.

     

    Le psychothérapeute :

    Ce titre est non protégé en France et peut donc être exercé sans diplôme.

    Il convient donc de rester prudent.

     

    Le psychanalyste :

    C'est une personne qui utilise comme théorie et comme technique, la psychanalyse de Sigmund Freud.

    Là encore, il convient d'être  vigilant sur la qualité de la personne.

     

     

    La Mission Interministérielle met en garde contre les nombreuses dérives sectaires

    des psychothérapies nouvelles.

    En ne consultant qu'un psychologue ou un psychiatre vous limitez les risques

    de vous retrouver pris dans des thérapies parfois douteuses

    et vous vous assurez les services d'une personne compétente. 

     

    Quel thérapeuthe pour quelle thérapie ?

     

    Bonne route à toutes celles et ceux qui entreprendront ce beau voyage....

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  • L'histoire de chaque personne est toujours singulière.

     

     

    Mais le travail thérapeutique, lui, présente une constante :

    chaque souffrance individuelle s'accompagne d'une demande de changement,

    et mon rôle consiste à aider chacun (e) à identifier les directions dans lesquelles il (elle) souhaite aller,

    et à trouver "comment" agir en vue d'accomplir ses aspirations.

    Si le contenu des thérapies est variable à l'infini,

    le processus thérapeutique demeure le même.

     

    SOPHIE CHEVAL

    Les psys se confient.

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

     

    "Une thérapie tient autant d'une promenade main dans la main que d'une bataille rangée.

    La conscience la plus claire de ce qui se passe y cohabite avec l'aveuglement inconscient le plus obscur.

    Bref une thérapie c'est l'instauration d'un grand désordre

    dont on espère que sortira pour le patient un "mieux-vivre",

    l'espoir que la lumière éclaire et rende enfin accessible quelque chose

    qui demeurait obscur, confus et douloureux,

    l'espoir que le bonheur qui se refusait advienne, qu'il devienne possible,

    non pas par la thérapie, mais grâce à elle"

     

     

    Extrait de la thérapie de la dernière chance

    SOPHIE TRAN VAN

    EMMANUEL GOLDENBERG

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Notre souffrance est ignorance :

    j'ignore une dimension de vie en moi,

    une dimension de sens qui est emmurée dans une pièce perdue de mon palais intérieur,

    une chambre oubliée.

     

     

     

    Et c'est la souffrance qui vient fissurer le mur,

    ouvrir la brèche ou tourner la clé de la porte secrète,

    de sorte que je puisse accéder à un nouvel espace en moi,

    profond et inattendu.

    Un lieu où je gouterais davantage d'aisance et de bien-être intérieur,

    davantage de solidité et de sécurité intérieures

    et d'où je pourrai me regarder et regarder les autres et le monde

    avec plus de bienveillance et de tendresse.

    Et la chambre oubliée s'ouvre alors comme une terrasse sur le monde.

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    "La façon dont on termine une thérapie est toujours décisive.

    Ou on entérine un résultat acquis et tout s'arrête là,

    ou on met en place une dynamique à poursuivre pendant la vie entière.

    Les dernières séances ont ce pouvoir extraordinaire de maintenir le patient au travail

    et de le conduire vers une autoanalyse qui se prolongera pour toujours".

     

    Thérapie

     

     

    "Dès le début de notre travail, Sophie a eu besoin que nos séances ne s'arrêtent jamais ;

    Dans ce but elle maintenait avec moi un contact permanent avec ses emails.

    La "séance ininterrompue" n'était en rien une fantaisie,

    c'était une nécessité absolue face au risque d'effondrement qui la menaçait."

     

     

    Sophie Tran Van - Emmanuel Goldenberg

     

    Thérapie

     

     

    Cet extrait m'a interpellé...

    J'ai connu ce besoin d'écrire en permanence à mon premier psy et cela a duré plusieurs années (8 ans je crois)

    Faustine

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    L'Approche analytique :

     

    Une analyse ou une psychothérapie analytique travaillent en profondeur sur l'inconscient

    à partir de l'association d'idées, de rêves, de lapsus.

    En revivant par le biais de la parole les traumatismes de l'enfance,

    l'analysant parvient à dénouer ses conflits intérieurs et à les dépasser.

    Ce travail nécessite plusieurs années, à raison d'une à plusieurs séances par semaine.

     

     

     

    L'Approche comportementale :

     

    Elle est plus courte et plus ciblée sur une difficulté.

    Elle ne se préoccupe pas du passé du patient

    et propose des techniques concrètes pour se débarrasser d'un symptôme.

    Sa limite ?

    Elle ne s'attaque pas aux causes comme le fait la psychanalyse.

     

     

     

    L'Approche corporelle :

     

    Elle vise à relier le corps et l'inconscient, dans le but de prendre en compte la globalité de la personne.

    Nos émotions, nos affects ont une inscription corporelle aussi bien que psychique.

    La thérapie permet d'en prendre conscience et de lever les éventuels blocages.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

    Avant, pendant et après une psychothérapie

    par Jacques Salomé - psychosociologue et écrivain.

     

    Avant, Pendant et après une psychothérapie....

     

    C'est le plus souvent, poussé par un mal-être,

    une souffrance intime difficile à dire,

    un disfonctionnement psychique ou relationnel

    qui se répète ou encore

    par la résurgence d'une blessure

    inscrite dans l'enfance

    et qui s'est brutalement réveillée,

    ou par des tensions dans notre couple

    ou avec la famille d'origine

    que nous envisageons l'aventure d'une psychothérapie.

    Demander de l'aide n'est pas facile.

    Cela suppose à la fois

    une pression intérieure liée à l'urgence

    (en période de crise)

    et une humilité que nous n'avons pas toujours,

    pour accepter de se dire à une ou un inconnu.

     

     

     

    Demander de l'aide, oui mais à qui ?

     

    Un vrai thérapeute dans l'éthique que j'en ai, ne propose pas son aide,

    il attend (et le bouche à oreille fonctionne bien en ce sens) que l'on fasse appel à lui.

    Et puis, nous avons des doutes, des inquiétudes sur l'efficacité de la démarche, sur le sérieux de l'aidant,

    que nous tentons de dépasser par des lectures,

    par la recherche de témoignages de "ceux qui sont passés par là !" et qui ont survécu

    (la plupart du temps de façon satisfaisante) à la traversée de la thérapie !

     

    Nous questionnons, cherchons un conseil de façon indirecte oh pas pour nous, pour un ami,

    une amie qui voudrait savoir comment cela se passe...."

     

    Commencer une thérapie, c'est plonger dans l'inconnu de son histoire,

    c'est prendre le risque de découvrir les zones d'ombre de notre vie, de celles de nos parents,

    c'est être confronté à des sentiments, des sensations, des désirs

    que nous avons du mal à reconnaître comme étant les nôtres......

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    L'élaboration purement verbale d'une thérapie ne pourra pas libérer un patient de ses troubles.

    Les émotions éprouvées autrefois se sont inscrites dans les tissus et les muscles,

    entrainant  des tensions qui constituent une véritable carapace,

    une cuirasse qui bloque la libre circulation de l'énergie vitale.

     

    Notre système de défense a pour but de nier notre souffrance,

    de mettre en place un système mental très puissant qui garde le pouvoir sur tout.

     

    Cicatriser les blessures de l'âme

     

    Le but de la thérapie est donc d'assouplir cette cuirasse, d'assouplir nos défenses.

    Se rapprocher de ses émotions est donc parfois d'une intensité aussi forte que la peur de mourir.

    La devise "Connais toi toi-même" est une priorité si l'on veut faire un travail en profondeur,

    opérer un véritable déconditionnement à la douleur, au conflit.

     

    La psychologie est un outil de transformation puissant,

    qui, si il est bien utilisé, doit permettre de reconnecter la tête au corps,

    cette dualité qui est la source de tensions, somatisations et maladies en tous genres.

     

    Ce travail est un travail de confiance, de patience,

    et la clé de voûte de sa réussite est dans la qualité de la relation d'aide qui lie le thérapeute et le patient.

    Ecoute, accueil, accompagnement permettent de créer ce climat de confiance,

     sans lequel aucune libération n'est possible.

     

    Pour que le corps ose enfin,

    il faut des ingrédients indispensables qui ont pu faire défaut par le passé :

    "La Présence et l'Amour".

     

     

    ARTICLE PARU DANS "OBJECTIF SANTE"

    "RECTO-VERSEAU"

    (non il n'y a pas de faute d'orthographe.)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

    "LA RELATION THERAPEUTIQUE CONSTITUE POUR LE PATIENT ABANDONIQUE,

    L'EXPERIENCE EXTRAORDINAIRE D'UNE RELATION STABLE.

     

     

    La route de la Liberté.

     

    La route de la Liberté.

     

      

    IL SE SENT ACCEPTE, COMPRIS, SOUVENT POUR LA PREMIERE FOIS DE SA VIE."

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

    Les enfances bousculées par des parents déséquilibrés,

    prisonniers de leurs angoisses et de leurs démons,

    sont souvent lourdes à porter

    et laissent des traces.

    La psychanalyse permet de fouiller le passé,

    de dépasser les traumatismes,

    mais elle ne suffit pas toujours pour vivre avec soi-même.

     

    Un article bien à propos....

     

    On guérit par ce qu'on fait de sa vie, en soignant, en créant, en donnant, en pardonnant.

    La psychanalyse permet de vivre et ensuite on se guérit par la vie qu'on se construit.

     

    SOPHIE CARQUAIN, MARYSE VAILLANT

    RECITS DE DIVAN, PROPOS DE FAUTEUIL.

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    "Notre arbre généalogique nous donne une relation privilégiée, consciente ou inconsciente, avec nos ancêtres.

    L'histoire de notre clan est notre histoire, nous ne pouvons échapper à notre appartenance.

    Comprendre notre arbre, c'est comprendre nos problématiques, nos schémas  répétitifs.

     

    La Psycho Généalogie

     

     

    Tout ce qui n'a pas  été réglé, dit, accepté, se transmet de générations en générations.

    Nous héritons des traumatismes, des secrets, des spoliations, des deuils pas faits.

    Mais aussi des dons, des qualités, une intelligence particulière, des qualités humaines.

     

    Travailler sur l'histoire familiale, c'est libérer les ascendants, nous même et les descendants.

    C'est un travail qui va en profondeur, car contrairement à nos croyances,

    nous savons qu'il y a des secrets, des non-dits.

     

    On ne meurt pas avec nos secrets, on va les laisser dans les prénoms, dans les dates de naissance,

    dans les métiers choisis, dans nos comportements addictifs.

     

    Remettre chaque ancêtre à sa place libère notre arbre.

    Les enfants partis trop tôt, les assassinats, les suicides... sont souvent, devant la douleur trop forte, les oubliés.

    L'arbre généalogique représente le support indispensable pour faire tenir ensemble une famille.

    La psycho généalogie est le "thérapeute" de l'âme des ancêtres.

    Entrer dans l'arbre, c'est sortir des répétitions, des schémas, de la transmission trans générationnelle,

    de la fidélité familiale inconsciente".

     

    Monique Damel

    La Voie de l'Etoile.

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Lorsque les "thérapisés" deviennent eux mêmes des professionnels  de la thérapie en font leur métier,

    leur engagement dans  l'exploration de l'inconscient

    déteint de manière assez forte sur leur vie familiale.

     

    psy de père en fils...

     

    C'est la thèse d'une jeune psychologue, Marion Mari Bouzid, elle même enfant de thérapeute,

    qui a rencontré neuf enfants adultes, de psychanalystes ou psychologues ;

    Sur ces neuf, huit d'entre eux avaient déjà fait une psychothérapie ou étaient en voie de devenir psy...

    "Dans leur majorité, ces enfants ont confié qu'ils avaient entamé une psychothérapie

    parce que c'était pour eux la seule manière de se rapprocher de leurs  parents.

    Des parents psy qui se marient entre psy, n'ont que des amis psys,

    ont tendance à interpréter au quotidien  les actes manqués de leurs proches...

    "La psychothérapie ou la psychanalyse est plus qu'une simple profession,

    c'est une passion, une manière de vivre.

     

    En même temps, la règle est de ne pas pratiquer de thérapie en famille.

    Résultat : les enfants à l'adolescence se ruent sur les livres de Freud

    pour comprendre la théorie qui mobilise tant leurs parents,

    se forger des arguments pour communiquer avec eux...

     

    Et quelques années plus tard,

    ils s'allongent eux-mêmes sur le divan ou entreprennent des études de psychologie.

     

    SOURCE : LE FIGARO

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique