•  

     

     

    Le premier chemin pour développer une joie active, permanente,

    consiste à aller vers soi, afin de devenir pleinement soi-même.

     

    la déliaison

     

    Ce chemin commence par un travail d'introspection :

    on s'examine en tentant de reconnaître tout ce qui, en nous, n'est pas nous,

    et qui nous a été plus ou moins imposé de l'extérieur par le biais de notre éducation et de notre culture.

    Ce sont des idées, des croyances sur la société, sur Dieu, sur nous-mêmes,

    qui ont tendance à museler notre vrai "nous", à l'étouffer...

    et donc à nous rendre tristes.

    A partir de là, nous pouvons commencer à nous délier, c'est-à-dire à nous débarrasser de ces liens.

    Nous sommes tissés de liens, ils nous sont nécessaires :

    on ne veut pas vivre sans communauté, sans famille, sans valeurs, sans croyances dont on hérite au départ.

    Mais il est tout aussi nécessaire, si on veut aller vers la joie la plus profonde,

    de porter un jour un regard critique sur ces liens et de se défaire de ceux qui nous encombrent.

    Ce chemin, que j'appelle "déliaison", constitue le premier grand pas vers la libération.

    Ce processus d'individuation est un travail de déliaison qui procède d'un double effort d'introspection  :

    prendre conscience de ce qui ne nous convient pas, de ce qui n'est pas nous et, conjointement,

    prendre conscience de ce que nous sommes vraiment, de nos véritables besoins et de notre nature profonde.

    Celle qui n'est pas étouffée par les pensées et croyances familiales,

    culturelles du milieu où le hasard ou le destin, a voulu que l'on naisse,

    voire le fruit d'archétypes de l'inconscient collectif.

     

     

    Frédéric Lenoir

    La puissance de la joie

    la déliaison

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    "Ce qui est demeuré incompris fait retour ;

    telle une âme en peine, il n'a pas de repos jusqu'à ce que soient trouvées résolution et délivrance "

    Sigmund Freud - Le Petit Hans

     

    Si nous considérons un symptôme comme véhiculant une information,

    alors, au lieu de tenter de le gommer, nous chercherons à l'entendre.

     

    Tout symptôme est porteur d'une information.

    Toute crise permet de dégager de l'énergie.

     

     

     

     

     

    Les violences visibles sont faciles à repérer.

    S'il est un avantage, c'est qu'elles pourront être nommées.

      Pouvoir dire c'est déjà être sur le chemin de la résilience.

     

    A contrario, les violences invisibles sont, par définition, difficiles à repérer.

    Elles peuvent être administrées avec le sourire par des personnes d'une telle gentillesse

    que si vous vous plaignez à votre entourage, ils vous considéreront comme paranoïaque.

    Il n'est d'ailleurs pas rare de rencontrer des personnes qui ont été victimes de malveillances invisibles

    et deviennent leur propre bourreau : "Est-ce que je n'ai pas rêvé ?",

    "Est-ce que je surinterprète ?", "Suis-je fou ? paranoïaque ?"

     

    Une fois que le "virus" est installé, il est très difficile d'y échapper.

    C 'est pour ça qu'il est important de bien étudier le sujet, d'assainir son entourage,

    de revenir à ses valeurs fondamentales, de se rencontrer...

    Alors, même si l'épreuve est difficile, à l'instar de ces alchimistes qui transforment le plomb en or,

    nous en ressortirons grandis, plus proches de nos vraies valeurs que nous avions peut-être perdues.

    En fait, grâce à cette épreuve, nous avons la possibilité de nous retrouver.

     

    Le véritable sujet n'est pas cet autre qui vous a fait souffrir ;

    le véritable sujet, c'est vous !

     

     

    Extrait du livre

    Les violences invisibles- JC Bouchoux

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Le premier chemin pour développer une joie active, permanente,

    consiste à aller vers soi, afin de devenir pleinement soi-même.

     

    la déliaison

     

    Ce chemin commence par un travail d'introspection :

    on s'examine en tentant de reconnaître tout ce qui, en nous, n'est pas nous,

    et qui nous a été plus ou moins imposé de l'extérieur par le biais de notre éducation et de notre culture.

    Ce sont des idées, des croyances sur la société, sur Dieu, sur nous-mêmes,

    qui ont tendance à museler notre vrai "nous", à l'étouffer...

    et donc à nous rendre tristes.

    A partir de là, nous pouvons commencer à nous délier, c'est-à-dire à nous débarrasser de ces liens.

    Nous sommes tissés de liens, ils nous sont nécessaires :

    on ne veut pas vivre sans communauté, sans famille, sans valeurs, sans croyances dont on hérite au départ.

    Mais il est tout aussi nécessaire, si on veut aller vers la joie la plus profonde,

    de porter un jour un regard critique sur ces liens et de se défaire de ceux qui nous encombrent.

    Ce chemin, que j'appelle "déliaison", constitue le premier grand pas vers la libération.

    Ce processus d'individuation est un travail de déliaison qui procède d'un double effort d'introspection  :

    prendre conscience de ce qui ne nous convient pas, de ce qui n'est pas nous et, conjointement,

    prendre conscience de ce que nous sommes vraiment, de nos véritables besoins et de notre nature profonde.

    Celle qui n'est pas étouffée par les pensées et croyances familiales,

    culturelles du milieu où le hasard ou le destin, a voulu que l'on naisse,

    voire le fruit d'archétypes de l'inconscient collectif.

     

     

    Frédéric Lenoir

    La puissance de la joie

    la déliaison

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    1 commentaire
  •  

    Ce qui est souvent nommé crise de la quarantaine ou plutôt crise de la cinquantaine

    n'est en réalité pas une crise, mais une étape majeure

    dans la transition entre la première et la seconde moitié de la vie :

    c'est la psychanalyste suisse, Carl Jung, qui l'a mise en évidence,

    en la conceptualisant, dès 1916, sous le terme de "processus d'individuation".

    Tout individu, l'homme comme la femme, le traverse :

    c'est un passage obligatoire, tout comme l'a été notre adolescence.

    Il nous affecte au niveau physique, psychologique, relationnel et spirituel,

    et tout l'enjeu est de le vivre avec pragmatisme et intelligence.

    Une condition essentielle pour le bon déroulement de ce processus :

    on ne doit pas le vivre passivement.

     

    Processus d'individuation...

     

    Il a besoin d'être accueilli et vécu le plus consciemment possible.

    On croit à tort que le processus d'individuation est un recentrage égoïste sur soi,

    un repli narcissique sur sa petite personne, qui fait peu de cas des autres.

    Ce repli est indispensable : il consolide notre base intérieure, nous renforce,

    nous donne la capacité de nous tourner vers les autres.

    C'est donc l'opposé d'une démarche égocentrique :

    il vise au contraire à faire la lumière sur la réalité de son être profond.

    Prendre soin de soi pour mieux prendre soin d'autrui, en quelque sorte !

     

    "Sophie DAVANT"

    "Ce que j'ai appris de moi".

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

    Il n'y a aucune fatalité.

    Nul n'est condamné à vivre avec un "faux moi" indéfiniment.

     

     

    Citation....

     

     

    "La fatigue chronique, la répétition de rencontres malheureuses, la colère ou le manque d'estime de soi

    indiquent que notre être profond désire ardemment être libéré de sa prison.

     

    SARAH SERIEVIC.

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

    Quand nous avons peut être été un vilain petit canard,

    au moins à nos propres yeux pour certaines choses,

    nous pouvons aussi changer grâce à des attentions affectueuses,

    et en être transformé.

     

    Le Vilain Petit Canard.

     

     

    Notre destin est d'être complètement et totalement vivant,

    plein d'amour pour nous mêmes et pour les autres

    et nous grandissons et nous nous développons dans ce sens.

     

    STEPHANE ROY "LES PSY SE CONFIENT".

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  FAUSTINE aujourd'hui...

     

    Les épreuves modifient le regard que l'on pose sur soi, sur sa vie et sur les autres.

    Après les avoir traversées, il n'est pas toujours facile de retrouver confiance et légèreté.

    C'est pourtant la condition pour revenir au centre de sa vie,

    plus conscient et plus attentif à ce qui en fait sa valeur.

    Vous remontez à la surface.

     

    Les 7 signes qui prouvent que vous allez mieux...

     

    C'est un fait vous n'êtes plus au cœur de la tempête.

    Même si vous êtes encore traversée par des sentiments et des émotions difficiles, le plus violent est passé.

    Et vous l'avez traversé.

    Félicitez vous d'avoir parcouru ce chemin, de vous être relevé, plusieurs fois peut-être.

     

    Vous vous révélez

    Les épreuves mettent souvent au jour des ressources et des capacités insoupçonnées.

    Persévérance, résistance, créativité et plus que tout courage.

    Nous avons tendance à trouver normal, banal, ce que nous faisons ou produisons,

    tout simplement parce qu'il est difficile de se dédoubler (de faire et de se voir faire en même temps).

     

    Vous faites plus et mieux

    La convalescence émotionnelle a une particularité :

    elle ressemble à la fin d'une hibernation.

    Elle génère une énergie vitale nouvelle, 

    plus puissante car boostée par le désir, plus ou moins conscient,

    de laisser l'inconfort et la souffrance derrière soi.

    Cela peut se traduire par l'envie de réaliser plusieurs projets personnels

    mais aussi par l'envie de vous impliquer totalement dans tout ce que vous faites.

    Comme s'il fallait rattraper le temps perdu.

     

    Vous choisissez mieux vos relations

    Il y a ceux qui vous ont laissé sur la route, ceux  qui se sont progressivement éloignés et les autres.

    Quand des amitiés déçoivent, d'autres se révèlent. 

    Des soutiens inattendus, sous des formes inattendues, viennent surprendre et réconforter.

    (tellement vrai !)

    Dans tous les cas, une épreuve de vie, professionnelle ou personnelle, est un puissant révélateur.

    Nul doute que vous savez aujourd'hui sur qui compter et qui oublier.

    Cette expérience a remis vos croyances en question et a ouvert votre esprit.

     

    Vous vous connaissez de mieux en mieux.

    Une autre vertu des épreuves :

    elles nous font gagner en connaissance de soi en nous poussant, souvent malgré nous, à l'introspection.

    Elles nous poussent à réfléchir sur notre fonctionnement, nos conditionnements,

    nos croyances, nos désirs, nos blessures du passé.

    Elles nous imposent de faire halte, de ressentir et de comprendre.

    Comprendre ce qui s'est passé, ce qui se joue et ce qui se dessine.

    Des lignes de force et de fragilité apparaissent, des pièces de notre puzzle personnel et/ou familial s'agencent.

    Nous y voyons plus clair. En nous et autour de nous.

    Mesurez le chemin parcouru.

     

    Vous retrouvez le goût du plaisir.

    L'abattement et la souffrance éloignés, le plaisir reprend peur à peu ses  droits.

    Etouffé, enseveli sous l'épreuve, il éclot à nouveau, par petites touches.

    Un repas partagé avec  des amis, un moment de lecture lové dans son canapé,

    une balade en forêt, mais aussi l'envie encore timide de faire des projets, de les réaliser.

    La vie circule à nouveau.

     

    Vous reconsidérez votre chemin de vie.

    Entre le passé qui n'est plus et le futur qui n'est pas, il y a notre présent.

    A appréhender comme le lieu de tous les possibles.

    Celui où l'on reprend des forces et où l'on se questionne sur ce que sera le premier jour du reste de notre vie.

    Comment veut on la vivre ? Dans quelles conditions ? Entouré de quelles personnes ?

    Une page est tournée. Tout un livre reste à écrire.

    Prenez des notes, questionnez vous , accueillez vos envies  et vos désirs sans les juger,

    interrogez vous sur la meilleure manière de les faire éclore.

    C'est aussi à cela que servent les épreuves, pas à dire "jamais plus", mais "comment, autrement ?"

     

     

    SOURCE : PSYCHOLOGIE.COM

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    Tous les tourments proviennent de la confusion entre le passé et le présent,

    entre la réalité et la croyance.

    Réussir à jongler avec les deux pôles de la dialectique des contraires,

    comme avec le Yin  et le Yang, le féminin et le masculin, l'amour et l'autorité, la joie et la tristesse,

    comporte d'inestimables bénéfices.

    Cela favorise l'autonomie psychique, nourrit la confiance en soi,

    garantit l'unité de l'identité plurielle et, surtout,

    initie au désir, libérant de l'oppression du besoin infantile de plaire.

     

    Le sujet ne craint plus de déclencher un tsunami s'il ose se montrer vrai,

    il ne dit plus "amen" à tous par peur de blesser ou de déplaire.

    Il ne s'exténue plus, enfant thérapeute-pharmakos, à panser toutes les plaies.

    Il osera dire non parfois,

    fixer des limites, frustrer, exprimer son agressivité longtemps censurée,

    sans brutalité, de façon juste et saine.

     

     

    Mr MOUSSA NABATI

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

    Le chemin de guérison n'est pas toujours facile.

    Il faut du courage pour s'affronter et sortir ce qui est enfoui en nous,

    et parfois ça fait même très mal !

    Mais c'est le seul chemin pour s'en libérer, juste accepter et se donner le temps.

    Arrive un jour où tout s'éclaircit et devient léger

    et un sentiment d'immense paix intérieure vient remplir ce qui vous a si longtemps torturé et déchiré.

     

    Donner du temps eu temps...

     

     

    Donner du temps au temps,

    le chemin de guérison demande du temps pour cicatriser,

    mais c'est le seul chemin pour se reconstruire et soigner ses blessures.

    Celui qui se fouit ne pourra jamais se guérir,

    la guérison demande courage et volonté et surtout authenticité envers soi-même.

    Un cœur blessé se soigne, une âme en peine retrouve sa paix,

    ce n'est qu'une question de temps à celui qui ose se mettre face à lui-même.

     

    Christine GONZALES.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

     

    La quasi totalité des angoisses, des phobies, des crises de panique

    ne sont pratiquement jamais motivées par des dangers objectifs, extérieurs.

    Elles proviennent de la difficulté d'être soi, vivant et entier...

     

    Devenir "soi"

     

    Devenir soi donne le courage de contester, de se révolter.

    Etre soi, jouir de la sécurité intérieure,

    permet aussi de ne pas craindre sans cesse d'être jugé, critiqué,

    regardé de façon sévère et négative par les autres, pour un oui ou pour un non.

    Le regard d'autrui constitue rarement une réalité objective,

    mais plutôt une crainte fantasmatique reflétant la mauvaise image que l'on a de sa personne

    ainsi que les reproches que l'on s'adresse en raison de l'existence de la culpabilité et de la DIP. 

     

    D'après le livre de Monsieur Moussa NABATI

    "Le bonheur d'être soi"

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Le but de la vie n'est pas de trouver le bonheur,

    mais de devenir soi,

    celui que l'on est depuis sa naissance mais qu'on n'a jamais eu le courage d'être,

    par manque de confiance en soi.

     

    "Devenir "Soi"

     

    Devenir soi permet tout d'abord de se découvrir une grande richesse intérieure.

    Il serait faux de croire qu'il existe d'un côté des êtres supérieurs, intérieurement riches et intéressants,

    et d'un autre des êtres inférieurs, pauvres d'esprit et rebutants.

     

    La vraie différence consiste en ce que le premier groupe s'autorise à être soi,

    vivant, branché sur son intériorité, confiant en lui-même, sans honte ni culpabilité

    alors que le second s'interdit de croire en ses possibilités et de s'aimer.

     

    D'après le livre de Monsieur Moussa Nabati

    "Le bonheur d'être soi".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Une mère ça reste socialement sacrée.

    "Se dire que l'on a une mauvaise mère, ça peut détruire...

    Elle vous a donné la vie, elle aurait donc le pouvoir de vous donner la mort"

     

    Quand l'enfant est tout petit, sa maman est un être idéal, capable de subvenir à tous ses besoins.

    Lorsqu'il se rend compte qu'elle est imparfaite, le choc est brutal.

     

     

     

    Plus la relation est mauvaise,

    plus l'impact est violent et génère parfois un ressentiment profond qui confine à la haine".

    Nous avons tous connu ces moments de violence contre elle, c'est un passage obligé.

    Ces moments d'hostilité font parties du développement de l'enfant.

    Tout va bien s'ils sont  ponctuels.

     

    En revanche si ils s'installent dans la durée, c'est plus problématique.

    C'est souvent le cas avec les enfants de mères narcissiques, dépressives ou abandonniques.

     

    L'indifférence c'est de la carence affective dépassée, de la haine consolée.

    Quand on a fait le tri entre sentiments et culpabilité,

    on a défait le nœud de départ,

    on arrive à prendre ses distances et à faire sa route.

    Devenir adulte, c'est ça : se détacher de ce qui nous encombre.

    Mais c'est un long chemin à parcourir.

     

    Danielle Rapoport.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pin It

    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique