•  

     

     

    "Mon expérience m'a conduit à reconnaître

    que des patients dépendants ou profondément régressés

    peuvent en apprendre plus à l'analyste sur la première enfance

    que ce qu'il peut tirer de l'observation directe des nourrissons

    et du contact avec des mères qui s'occupent de leur nourrisson.

     

    Toutefois,

    le contact clinique avec les expériences normales et anormales de la relation mère-nourrisson

    influence la théorie analytique du psychanalyste, étant donné que ce qui se passe dans le transfert

    (dans les phases de régression de certains patients)

    est une expression de cette relation mère-nourrisson.

     

     

    Les patients en analyse qui régressent dans le transfert jusqu'à un sérieux état de dépendance

    comblent cette lacune

    en dévoilant au cours de ces phases de dépendance leurs attentes et leurs besoins"

     

    DONALD W.WINNICOTT

    .

     

     

     

     

     

     

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    SCHIZOIDIE

     

    Constitution mentale ou mieux, structure de la personnalité aux limites du pathologique,

    caractérisée par une tendance à l'introversion, l'intériorisation des affects, le repli sur soi

    pouvant aller jusqu'à l'isolement, la rêverie, l'attrait pour les abstractions.

      

     

     

    Défenses Schizoïdes

     

    1) Dépersonnalisation

    Altération de la conscience,

    caractérisée par le sentiment de ne plus se reconnaître soi-même et où l'on ressent son corps comme irréel.

    Cet état s'accompagne souvent d'anxiété, d'impression d'étrangeté du monde extérieur.

     

    2) Déréalisation

    Altération de la perception du monde extérieur qui apparaît étrange, irréel et extérieur.

    Il s'agit d'un symptôme retrouvé dans différentes affections psychiatriques plus ou moins sévères.

    C'est un symptôme dissociatif qui peut également être vécu lors de périodes de stress intense et prolongé.

    Des semaines, parfois des mois sont parfois nécessaires

    pour récupérer une vision "normale" du monde extérieur après une telle expérience.

    Ressenti  ; "je suis là mais pas là, je suis avec vous mais ailleurs. C'est comme s'il y avait un voile,

    une sorte de brume entre le monde et moi".

     

    3) Clivage  (se couper pour ne pas éclater)

    C'est une sorte de filtre qui a pour fonction la protection de la personne,

    un mécanisme de défense fréquent chez les personnes atteintes de troubles de la personnalité.

    "Le moi est comme cassé, il se scinde en deux parties.

    L'une reste en contact avec la réalité alors que l'autre construit une réalité de remplacement, une néo réalité.

    C'est une opération de survie, de défense contre un éclatement, une angoisse de morcellement,

    provoquée par la confrontation avec des expériences qui n'ont pu être ni assimilées ni subjectivées.

     

    4) Division entre vrai et faux selfs 

    Le self est à la fois le Moi, Le ça et une partie du Surmoi.

    C'est la partie la plus créatrice de notre personnalité, c'est elle qui imagine, qui joue.

    C'est ce qui nous donne le sentiment d'exister, il nous donne l'impression de notre identité.

    Il se développe dans le contact avec l'environnement.

     

    Vrai self :

    Quand la personne a intégré les exigences instinctuelles .

    L'individu a suffisamment confiance en lui et en l'environnement

    pour s'accepter lui-même et accepter de le montrer.

     

    Faux Self :

     Il se construit prioritairement comme adaptation à l'environnement.

    Le faux self est favorisé très tôt au cours du développement lorsque la mère,

    incapable de répondre aux manifestations spontanées de son bébé,

    imposera ses choix et le contraindra à s'y soumettre. 

    Une attitude sociale toujours polie, de bonnes manières dans les rapports aux autres...

    L'individu a investi son apparence, protégeant son Moi derrière un écran social rigide.

     

    5) Troubles de la pensée (imagination, jugement et raisonnement).

     

    En psychiatrie le trouble de la pensée ou le désordre de la pensée

    survient lorsqu'un individu souffre de problèmes émotionnels ou comportementaux.

    Les symptômes peuvent inclure une fausse idée de soi-même, de la paranoïa,

    entendre ou voir ce que d'autres individus ne perçoivent pas,

    et une pensée ou une parole déconnectée de la réalité.

     

     

     

     

     

     

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  • Quand et comment se temine une analyse ?

     

     

     

    "Voilà une immense question débattue depuis l'avènement de la psychanalyse.

    Freud a écrit un texte célèbre : "Analyse terminable et interminable"

    mais depuis beaucoup d'encre a coulé et la question reste irrésolue.

    Une des tâches de l'analyse est de renvoyer au patient

    le fait qu'il est son propre médecin mais aussi son propre bourreau.

    Le mouvement de réappropriation de sa capacité d'auto guérison intérieure

    est probablement interminable car c'est aussi essentiel qu'aimer ou respirer.

    Ensuite, je pense qu'il y a clairement des temps dans l'analyse.

    Si on parle du point de vue de la rencontre, c'est à dire de ce que nous appelons le transfert,

    sans doutes y a t il, comme dans toutes relations, un début, une acmé et une fin, à déterminer ensemble.

    La capacité d'exploration de ce thérapeute là avec ce patient là du champ psychique n'est pas inépuisable,

     à moins qu'ensemble ils ne fassent preuve d'une métamorphose,

    mais cela supposerait d'une certaine manière que le patient soit guéri.

    C'est la raison pour laquelle il est parfois bénéfique de faire plusieurs tranches d'analyse,

    avec des thérapeutes, et des approches, différentes.

    Il faut dire aussi que, malheureusement, beaucoup d'analyses s'arrêtent prématurément

    au seuil de prises de consciences cruciales.

     

    Quand la souffrance qui a conduit le patient en analyse s'est atténuée,

    il se sent suffisamment de force pour partir.

    Mais il ressemble à un crabe en période de mue dont la carapace est trop tendre.

    C'est souvent encore un peu tôt.

    Seulement il est difficile pour un analyste de l'exprimer, car sa réserve risque d'être entendue comme un

    "Vous n'êtes pas encore sortie d'affaire" alors que le patient l'est,

    mais il a encore besoin d'une surface de protection.

    Parfois, dans ces moments de fin d'analyse, le thérapeute se prend un paquet d'affects négatifs,

    qu'il faut là aussi dépasser et comprendre.

    Il faudrait avoir la sagesse de s'accorder de part et d'autre le temps de travailler  les fins d'analyse.

    Même dans ce cas, on ne saura peut être toujours pas ce que c'est une fin".

     

    ANNE DUFOURMANTELLE

    "SE TROUVER".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  •  

    Si le patient est prêt à accepter cette vérité d'un genre bizarre

    que ce dont il n'a pas encore fait l'épreuve s'est cependant produit dans le passé,

    la voie est alors ouverte pour que l'angoisse disséquante soit éprouvée dans le transfert,

    en réaction aux faillites et aux erreurs de l'analyste.

    Le patient peut se débrouiller avec ces erreurs, quand elles sont à dose raisonnable ;

    quant à chaque faillite technique, le patient peut la mettre au compte du contre-transfert.

    Autrement dit, il recueille peu à peu la faillite originelle de l'environnement facilitateur

    dans l'aire de son omnipotence et dans l'expérience de l'omnipotence propre à l'état de dépendance

    (fait transférentiel).

     

     

    Tout cela est très difficile, c'est douloureux, cela prend du temps

    mais en tout cas ce n'est pas vain.

     

    (Je confirme - FAUSTINE)

     

    D.W.WINNICOTT

     

     

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  •  

    Si le patient est prêt à accepter cette vérité d'un genre bizarre

    que ce dont il n'a pas encore fait l'épreuve s'est cependant produit dans le passé,

    la voie est alors ouverte pour que l'angoisse disséquante soit éprouvée dans le transfert,

    en réaction aux faillites et aux erreurs de l'analyste.

    Le patient peut se débrouiller avec ces erreurs, quand elles sont à dose raisonnable ;

    quant à chaque faillite technique, le patient peut la mettre au compte du contre-transfert.

    Autrement dit, il recueille peu à peu la faillite originelle de l'environnement facilitateur

    dans l'aire de son omnipotence et dans l'expérience de l'omnipotence propre à l'état de dépendance

    (fait transférentiel).

     

     

    Tout cela est très difficile, c'est douloureux, cela prend du temps

    mais en tout cas ce n'est pas vain.

     

    (Je confirme - FAUSTINE)

     

    D.W.WINNICOTT

     

     

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    "Des patients dépendants ou profondément régressés

    peuvent en apprendre plus à l'analyste sur la première enfance

    que ce qu'il peut tirer de l'observation directe des nourrissons

    et du contact avec des mères qui s'en occupent. 

     

    Transfert et Régression....

     

    Toutefois, le contact clinique avec les expériences normales et anormales de la relation mère-nourrisson

    influence la théorie analytique du psychanalyste,

    étant donné que ce qui se passe dans le transfert

    (dans les phases de régression de certains patients)

    est une expression de cette relation mère-nourrisson.

    Les patients en analyse qui régressent dans le transfert jusqu'à un sérieux état de dépendance

    comblent cette lacune en dévoilant au cours de ces phases de dépendance,

    leurs attentes et leurs besoins"....

     

    DONALD W.WINNICOTT

     

     

     

    Transfert et Régression....

    "Je connais bien ces périodes de régression qui servent de levier à l'analyste....

    Réactions douloureuses et au combien déstabilisantes

    qui vous plongent quelquefois dans des situations ressenties comme ridicules....

    Non une analyse n'est pas un long fleuve tranquille"...

     

    FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Avec l'aide d'un accompagnement compétent, non pas neutre,

    mais notre allié, il est possible de trouver sa vérité.

     

     

    Il est possible, grâce à ce travail, de se délivrer de ses symptômes,

    de guérir de sa dépression et de découvrir la joie de vivre.

    On arrivera à sortir de son état d'épuisement et on pourra acquérir un surcroît d'énergie,

    puisqu'il ne sera plus nécessaire de consacrer toutes ses forces au refoulement de sa vérité.

     

    ALICE MILLER.

     

     

     

     

     

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    Le concept du défaut fondamental

     

    M. Balint l'introduit en relevant l'écart qu'il peut y avoir

    entre les besoins de l'enfant dans ses premiers mois ou ses premières années

    et les soins qu'il a reçus à cette époque.

    De même, chaque fois que l'individu sera amené à prendre conscience de la limitation que la réalité lui impose,

    il y aura une blessure narcissique plus ou moins importante.

    Le Concept du Défaut Fondamental...

    Le défaut fondamental  ne peut être ni supprimé, ni résolu, ni défait ;

    il peut éventuellement se cicatriser, laissant une trace indélébile de son existence dans  le passé.

    Le processus de deuil envisagé  est relatif à l'abandon définitif

    de tout espoir d'atteindre l'idéal de soi sans défaut ;

    Un traitement réussi doit aboutir à accepter l'existence en soi d'un défaut fondamental,

    et à s'adapter avec réalisme à cet état de choses.

     

    D'après les travaux de Mr Michael BALINT.

     

    Pour info

    les Groupes Balint ont été créés par Michaël et Enid Balint.

    Ce sont des séminaires de supervision et de réflexion destinés aux médecins généralistes

    afin de les aider à penser la relation d'aide avec leurs patients.

    La pratique Balint s'est ensuite élargie à d'autres professionnels du soin et de la relation,

    dans une perspective de régulation.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    "Lorsque Freud fit des conférences aux Etats Unis en 1909,

    il cita un exemple de ce mécanisme de

    refoulement.

    Il dit à ses auditeurs qu'il fallait s'imaginer la présence d un élément perturbateur dans la salle

    qui en riant, en intervenant à tout bout de champ et en frappant du pied,

    gênerait son exposé au point d'obliger l'orateur à s'arrêter.

    Quelques solides gaillards se lèveraient forcément probablement

    pour conduire  manu militari l'intrus dans le couloir.

    Il serait donc refoulé et l'orateur pourrait poursuivre en paix sa conférence.

    Pour être même bien sûrs qu'il n'y ait pas de nouvelle intrusion (c'est à dire que le refoulement a réussi)

    ces mêmes hommes s'installeraient avec leurs chaises devant la porte d'entrée  pour servir de "barrage".

    Il suffit de nommer la salle de conscient  et le couloir de l'inconscient

    pour avoir une bonne image du processus de refoulement.

     

     

    Lapsus

     

    Il nous arrive souvent d'avoir "la langue qui fourche", c'est à dire de faire des lapsus.

    C'est ainsi que des réactions inconscientes peuvent guider nos sentiments et nos actions.

    Freud met à jour différents  mécanismes de cet ordre.

    Il y a d'abord  ce qu'il appelle les mauvaises réactions :

    nous faisons et disons de nous-mêmes quelque chose que nous avons autrefois essayé de refouler.

     

    Il cite l'exemple de cet ouvrier qui devait un jour porter un toast à son patron.

    Le problème c'est que personne n'aimait ce patron.

    Il était même ce que certains qualifient sans hésiter de "salaud".

    L'ouvrier se leva, le verre à la main et déclara solennellement  :

    "Et maintenant buvons à la santé de notre salaud !"

     

    En fait il avait juste dit ce qu'il pensait réellement,

    mais il n'avait jamais eu l'intention de le faire.

    Ces lapsus d'action ou de langage trahissent en fait nos secrets les plus intimes".

     

    Extrait du livre de Jostein Gaarder

    Le Monde de Sophie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    "Lorsque Freud fit des conférences aux Etats Unis en 1909,

    il cita un exemple de ce mécanisme de

    refoulement.

    Il dit à ses auditeurs qu'il fallait s'imaginer la présence d un élément perturbateur dans la salle

    qui en riant, en intervenant à tout bout de champ et en frappant du pied,

    gênerait son exposé au point d'obliger l'orateur à s'arrêter.

    Quelques solides gaillards se lèveraient forcément probablement

    pour conduire  manu militari l'intrus dans le couloir.

    Il serait donc refoulé et l'orateur pourrait poursuivre en paix sa conférence.

    Pour être même bien sûrs qu'il n'y ait pas de nouvelle intrusion (c'est à dire que le refoulement a réussi)

    ces mêmes hommes s'installeraient avec leurs chaises devant la porte d'entrée  pour servir de "barrage".

    Il suffit de nommer la salle de conscient  et le couloir de l'inconscient

    pour avoir une bonne image du processus de refoulement.

     

     

    Lapsus

     

    Il nous arrive souvent d'avoir "la langue qui fourche", c'est à dire de faire des lapsus.

    C'est ainsi que des réactions inconscientes peuvent guider nos sentiments et nos actions.

    Freud met à jour différents  mécanismes de cet ordre.

    Il y a d'abord  ce qu'il appelle les mauvaises réactions :

    nous faisons et disons de nous-mêmes quelque chose que nous avons autrefois essayé de refouler.

     

    Il cite l'exemple de cet ouvrier qui devait un jour porter un toast à son patron.

    Le problème c'est que personne n'aimait ce patron.

    Il était même ce que certains qualifient sans hésiter de "salaud".

    L'ouvrier se leva, le verre à la main et déclara solennellement  :

    "Et maintenant buvons à la santé de notre salaud !"

     

    En fait il avait juste dit ce qu'il pensait réellement,

    mais il n'avait jamais eu l'intention de le faire.

    Ces lapsus d'action ou de langage trahissent en fait nos secrets les plus intimes".

     

    Extrait du livre de Jostein Gaarder

    Le Monde de Sophie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    L'analyste n'a pas à satisfaire immédiatement et inconditionnellement tous les besoins du patient,

    mais il doit être en mesure de montrer qu'il peut le comprendre et travailler en harmonie en accord avec lui.

     

    Tous les patients en état de régression paraissent extrêmement sensibles aux humeurs de l'analyste

    et plus la régression du patient est profonde, plus cette sensibilité augmente.

    Ce qu'un patient normal ou névrosé ne remarquerait même pas,

    souvent affecte ou, plus exactement, perturbe profondément un patient en état de régression.

     

    Pour éviter que cela ne se produise, l'analyste doit être "en accord" avec son patient.

    Tant qu'il y parvient, le travail analytique peut progresser à un rythme constant,

    à la manière d'une croissance régulière.

    Mais s'il ne réussit pas à rester en accord,

    le patient risque de réagir par de l'angoisse, par des symptômes agressifs très bruyants ou par du désespoir.

    De temps à autre l'analyste doit prendre ses distances vis-à-vis de son patient

    pour faire un examen "objectif" de la situation

    et peut-être même pour donner une interprétation soigneusement pesée.

     

    Michael Balint - Le défaut fondamental.

     

    La régression

    REGRESSION A LA DEPENDANCE

     

    Il faut que le patient puisse revenir avec l'analyste

    à la situation de dépendance primordiale qui a été la sienne lorsqu'il était nourrisson,

    afin de restaurer le narcissisme primaire qui n'a pu s'établir à l'époque, en raison de la défaillance maternelle.

    La situation analytique reconstitue les conditions d'un "maternage suffisamment bon".

     

    Le modèle du changement chez Winnicott est donc celui d'un retour, par une régression contrôlée,

    à la situation primitive de carence et, à partir de là,

    d'une reprise de la maturation en suivant les étapes naturelles du développement.

    Il s'agit au départ d'aménager une situation thérapeutique sécurisante,

    qui puisse donner confiance au patient, le soutenir et dans laquelle il se sente libre de régresser complètement.

    La régression est ici un retour organisé à une dépendance primitive

    où l'analyste tient la place de "la mère suffisamment bonne".

    Il y a "dégel" de la situation de carence :

    le Soi se sentant fortifié dans sa nouvelle position,

    il peut ressentir et exprimer dans le présent sa frustration et sa colère relative aux carences primitives.

     

    Pendant tout ce processus, l'analyste accompagne et soutient le patient par une attitude empathique

    et s'efforce de répondre à ses besoins profonds.

     

    D.W WINICOTT.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    L'acting out

    est un terme de psychologie lié aux mécanismes de défense et d'autocontrôle.

     

    L'acting out

     

    Ce terme signifie qu'on effectue une action au lieu d'y résister ou de maîtriser ses pulsions.

    L'action va habituellement au-delà des règles sociales et peut prendre des formes diverses :

    s'abandonner à une dépendance (alcool, drogue, vol) ou, inconsciemment ou partiellement consciemment,

    attirer l'attention par des provocations ou des comportements anormaux.

    De manière générale, l'action est auto destructive ou dérangeante envers autrui

    et empêche le développement de réponses plus appropriées aux sentiments ressentis.

     

     

     

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