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    GUERIR SON ENFANT INTERIEUR

    (D'après le livre de Moussa Nabati)

     

     

     

    "Bien caché, à l'ombre de l'adulte que nous sommes devenus, vit l'enfant intérieur. Il a l'âge de notre blessure fondamentale.

    Lorsque cette blessure est activée, nos réactions sont celles d'un enfant de cet âge...

    C'est en allant à sa rencontre, en l'accueillant, en l'aimant, en lui donnant confiance et en le rassurant que nous l'aiderons à grandir.

    Et c'est en l'aidant à grandir que nous pourrons guérir cette blessure "fondamentale".

    LISE CÔTE

     

     

    Guérir son enfant intérieur

     

    Le passé ne s'efface pas, il ne disparaitra jamais.

    Nul n'aspire de façon délibérée à souffrir, il ne le choisit pas.

    A long terme le mal être s'accentue en exerçant un refoulement supplémentaire en direction de l'enfant intérieur, déjà depuis longtemps comprimé et ne demandant au contraire qu'à être reconnu et écouté.

    L'individu se voit envahi par la présence simultanée en lui, de deux pensées, deux affects, deux volontés, amour et haine, oui ou non, je veux et je ne veux pas à l'égard du même objet, ce qui rend la situation inextricable et toute décision impossible.

    Le voici donc déchiré, tiraillé, dédoublé, commandé tout à tour par deux aspirations antinomiques (contradictoires), deux forces, deux êtres en lui, l'enfant et l'adulte.

    Pris entre le marteau et l'enclume, le frein et l'accélérateur, il tergiverse, pèse le pour et le contre, rumine, avance et recule.

    Le vœux adulte l'encourage à être lui-même, à avoir confiance en ses capacités et à s'affirmer, exprimant ses désirs et ses valeurs.

    Celle de l'enfant, à l'inverse, lui enjoint d'obtempérer, d'arrondir les angles, d'obéir par culpabilité à l'idée de décevoir ou de blesser, par crainte de déplaire et d'être rejeté.

    L'enfant intérieur apparaît donc sous deux facettes, sombre et lumineuse, en fonction de ce qu'il a intégré de son passé familial et transgénérationnel , de ce qu'il a subi ou vécu, ce qu'il a réussi ou échoué à surmonter.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La Manipulation mentale

     

     

    LES MANIPULATIONS MENTALES

     

    Les manipulations mentales proviennent en général de deux sources.

    Ils émanent d'une part de nos proches parents ou conjoint,

    qui ont parfois inconsciemment intérêt à ce que nous demeurions d'éternels enfants,

    dépendants d'eux, sages, gentils et obéissants, restant sous leur influence,

    pour qu'ils puissent nous dominer en se sentant bons, utiles et vivants.

    Interpellant de préférence la petite fille ou le petit garçon en nous,

    ils ont l'ingéniosité de titiller subtilement notre talon d'Achille, la culpabilité,

    nous rappelant tous les sacrifices qu'il ont dû consentir pour nous élever,

    toutes leurs espérances déçues en raison de notre ingratitude.

    Certaines familles résistent ainsi farouchement à l'autonomisation de leurs enfants.

    Elles ressentent toute tentative de séparation ou différenciation d'un membre

    littéralement comme un démembrement , une folie, une faute impardonnable

    risquant de faire éclater l'unité et l'harmonie factices

    de la devanture familiale donnée à voir aux passants.

     

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    LE MILIEU FAMILIAL ET LE SENTIMENT D'INFERIORITE

     

    Beaucoup de parents désirent "façonner" l'enfant à leur image,

    désirent que le comportement de l'enfant corresponde à leur propre volonté.

    Dans ce cas (très courant), ils ne tiennent nullement compte

    de la personnalité propre ou de la spontanéité de l'enfant qui devient comme un bâton que l'on casse en deux.

     

      Pierre DACO

                                                                 

     

     

     

     

     

     

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    L'amour se trouve  fortement idéalisé chez certaines personnes

    qui le considèrent comme un salut, un sauvetage ou une thérapie,

    susceptible de les guérir, tel un médicament magique, en leur enlevant à jamais leur mal être.

     

     

     

    C'est également pour cette raison qu'elles vivent la moindre inattention de la part de leur partenaire,

    le plus petit conflit, la plus brève absence avec anxiété,

    comme un désamour et un abandon définitif,

    sans parler d'une rupture éventuelle qui risquerait de les abattre.

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    "Et puis la vie m'a appris qu'il faut toujours voler plus haut.

    Plus haut que la jalousie, plus haut que la douleur, que la méchanceté.

    Plus haut que les larmes, que les jugements.

    Il faut toujours voler plus haut où certains mots ne peuvent pas vous atteindre,

    où certains gestes ne peuvent pas vous blesser,

    où certaines personnes ne pourront jamais arriver".

     

    Alda Merini

     

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    Le syndrome de Stockholm  est un mécanisme mental

    que l'on a découvert à l'occasion d'un fait divers sur des gens qui avaient été pris en otages.

    Le 23 août 1973, un évadé de prison, Jen Erik Olsson,

    tenta de commettre un hold-up au Crédit Suédois de Stockholm.

    L'intervention de la police l'obligea à se retrancher dans la banque où il prit en otage quatre employés.

    Il obtint la libération de son compagnon de cellule, Clark Olofsson, qui vint aussitôt le rejoindre.

    Six jours de négociation aboutirent finalement à la libération des otages.

    Curieusement, ceux ci s'interposèrent entre leurs ravisseurs et les forces de l'ordre.

    On s'aperçut avec stupeur à cette occasion

    que les otages étaient devenus les fervents partisans de la cause de leurs ravisseurs.

    Cela se confirma par la suite, car les otages refusèrent de témoigner à charge lors du procès,

    contribuèrent à la défense de leurs ravisseurs et leur rendirent visite en prison.

    L'une des victimes finit même par épouser Jen Erik Olsson.

     

     

     

    Comment expliquer une attitude si positive à l'égard de dangereux bandits ?

    Eh bien, il se trouve que coupés du monde, affaiblis par le choc de la séquestration,

    les otages développent peu à peu un sentiment de confiance, puis de gratitude envers leurs ravisseurs,

    et en viennent à envisager le fait qu'ils leur aient laissé la vie sauve avec gratitude.

    La voie est alors libre pour un véritable lavage de cerveau, facilité par la perte de tout sens critique.

     Placée dans des conditions extrêmes de manipulation,

    la victime adopte presque naturellement la logique de son agresseur.

    Elle se remplit de ses références et finit par penser comme lui.

     

    Christel Petitcollin

     

     

    Le syndrome de Stockholm

    Jan Erik Olsson encerclé par les forces de l'ordre.

     

    "Quand je suis allé en prison après tout cela,

    deux otages, un homme et une femme,

    sont venus me voir derrière les barreaux ;

    on est devenus en quelque sorte des amis".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La manipulation mentale fait peur et fascine à la fois !

    Elle est plus présente dans la vie quotidienne :

    chantage affectif familial, jeux de pouvoir au travail,

    domination individuelle dans le couple, forte influence d'un ami...

     

    Echapper aux manipulateurs - Christel Petitcollin

     

    Il existe une catégorie d'individus nuisibles et destructeurs dont le but reste le même à travers les siècles :

    satisfaire leurs priorités à nos dépens.

    Leurs techniques, simples et sophistiquées à la fois, sont d'une redoutable efficacité.

     

    Ainsi, de nombreuses personnes vivent une relation d'emprise ou de harcèlement sans même le savoir.

    Elles sont angoissées, stressées, désorientées, parce qu'un manipulateur dans leur entourage,

    tel un vampire, les vide de leur énergie.

     

    C'est pour ces victimes d'emprise et de manipulation au quotidien que j'ai écrit ce livre.

     

    CHRISTEL PETITCOLLIN.

     

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    Qu'est ce qu'une personne hypersensible ?

     

    L'hypersensibilité.

     

    La capacité à ressentir les choses plus vivement que les autres est l'une de leurs caractéristiques principales.

    Les hypersensibles sont très intuitifs.

    Ils vont au fond des choses pour tenter de les comprendre.

     

    Ils sont aussi plus touchés par ce qui les entoure.

    Ils ont plus d'empathie et se soucient d'avantage des problèmes de leurs amis.

    Ils sont aussi plus à l'écoute des réactions des autres face à quelque chose de négatif.

     

    Ils évitent parfois les sports d'équipe où chacun est observé en permanence

    mais préfèrent des activités physiques individuelles (cyclisme, course ou randonnée).

    Ils sont envahis par une sensation désagréable quand ils se rendent compte qu'ils se sont trompés.

    Les hypersensibles sont plus enclins à laisser parler leurs émotions.

     

    Ils sont souvent plus anxieux, plus dépressifs.

    Si vous avez eu une vie compliquée quand vous étiez petits,

    que vous ne vous sentiez pas à l'aise avec les gens, ni en sécurité chez vous ou à l'école,

    votre système nerveux est en mode "inquiet".

    Les parents des personnes hypersensibles doivent comprendre

    qu'il faut juste savoir prendre leurs enfants comme ils sont,

    sans les surprotéger, ni les abandonner à eux mêmes.

    Trouver le bon équilibre quand ils sont petits leur donnera confiance en eux, et leur permettra de s'épanouir".

     

    Ils ont tendance à faire davantage cas des autres et à se montrer plus polis.

    Ils sont aussi plus sensibles aux critiques.

    Ils s'efforcent de tout faire pour plaire ou se critiquent eux mêmes de manière préventive.

    Un hypersensible réagira de façon exacerbée à une critique qui ne vous aurait fait ni chaud ni froid.

     

    Les hypersensibles aiment généralement travailler au calme dans des bureaux fermés

    où ils ont plus d'intimité par exemple.

     

     

     

     

     

     

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    Donald WINICOTT

    (1896-1971)

     

    Pédiatre anglais qui parallèlement à son activité médicale, a pratiqué la psychanalyse pour enfants et adultes.

    Son expérience de la pédiatrie et la lecture d'un livre de Sigmund Freud

    le font s'engager dans une longue analyse personnelle, de l'âge de 30 à 40 ans.

    Il devient élève de Mélanie Klein.

     Il se forme pour devenir analyste de 1927 à 1934

    Il est qualifié comme analyste pour enfants en 1935.

     

    D.Winicott

     

    Son œuvre considérable a entrainé un tournant fondamental dans la théorie et la pratique psychanalytiques.

     Le contact permanent avec les bébés et les enfants lors de ses consultations hospitalières

    lui ont permis de valider certains éléments de la théorie freudienne mais d'en remettre d'autres en cause.

    Il constate ainsi que la plupart des  enfants présentant des troubles

    ont manifesté des difficultés dans leur développement affectif

    au cours de la toute première enfance et même au stade de nourrisson.

    Tout ne se joue pas donc autour du complexe d'Œdipe comme Freud le prétend.

     

    Son œuvre est centrée sur la nécessité, pour le développement, d'un environnement "suffisamment bon",

    faute de cela, l'enfant se construira une personnalité d'emprunt.

    Winicott apporte un éclairage nouveau sur le fonctionnement mental du très jeune enfant.

    Il considère que le bébé est une personne dès les premiers jours.

    Il estime que l'enfant sait plus de choses sur sa mère qu'elle en connaît sur lui

    car il a partagé durant neuf mois sa vie intime.

    Winnicott s'est aussi penché sur les soins prodigués aux nourrissons.

    Il donne beaucoup d'importance à la manière dont la mère porte son enfant (holding),

    la manière dont elle le soigne (handling)

    et la manière qu'elle a de lui présenter les objets nouveaux (objet presenting).

     

     

     

    Le "squiggle game"

    (Technique inventée par D.W.WINNICOTT)

     

    D.Winicott

     

    C'est une technique projective qui instaure une intimité entre patient et thérapeute,

    et qui établit une aire de jeu entre eux deux.

    Le  thérapeute fait un gribouillis et demande à l'enfant de le transformer, d'en faire quelque chose.

    Ensuite c'est l'enfant qui fait un gribouillis, et le thérapeute complète.

    En général, le jeu évolue vers le détail significatif qui permet d'atteindre la zone de conflit, le point de détresse.

    A chaque fois qu'il approche de cette zone de détresse, l'individu  se surprend lui-même à être très angoissé.

    S'opère alors un changement qualitatif dans l'expression, dans le matériel psychique.

    Il est arrivé à Donald Woods Winnicott de voir un enfant tous les six mois ou tous les ans.

    La séance peut durer 2 ou 3 heures.

     

     

     

     

     

     

     

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    "J'oscille entre un désespoir immense, inconsolable, et une grande colère.

    Je veux cracher au visage de ce salaud tout ce que j'ai sur le cœur. Je n'ai plus rien à perdre.

    J'ai disparu de la terre, il y a quinze ans, pour chevaucher du vent ; à présent, je n'ai plus de place nulle part,

    je suis un revenant, un fantôme. Si j'en réchappe, on me prendra pour un menteur, un affabulateur ;

    ou alors on me croira et on rira aux larmes de ma naïveté. Je n'ai pas forcément envie d'en réchapper".

     

    L'Apocalypse

     

    Tout le reste de l'année 93, nous avons joué au gendarme et au voleur, Jo et moi.

    Je parlais de porter plainte, et il accourait.

    J'avais trouvé un studio et je percevais une petite pension d'invalidité.

    C'était un premier pas vers la réinsertion, mais j'étais conscient que mon rétablissement matériel

    et psychologique, s'il était encore possible, passait par la récupération d'une partie au moins

    des sommes considérables que j'avais englouties dans l'Ordre.

    En janvier 1994 intervient l'épisode de la lettre circulaire qui va précipiter les hostilités.

    Un couple de l'Ordre, ou plutôt en rupture avec l'Ordre, adresse à tous les membres une lettre

    dénonçant les supercheries et les magouilles financières de Jo.

    Vous connaissez désormais la suite.

     

     

     

    53 hommes, femmes, enfants sont morts dans des circonstances atroces.

    Cinquante trois êtres que j'ai connus pour la plupart et sincèrement aimés.

    Comme moi ils ont répondu à une convocation de Jo Di Mambro.

    Comme à l'habitude, il leur a annoncé une réunion urgente :

    les maîtres avaient appelé, leur message était d'une importance vitale.

    Ils sont venus de France, du Canada, des Antilles, ils ont obéi aveuglément.

    Les cérémonies qui se sont déroulées à Cheiry, nous les connaissons bien.

    Cette entrée dans le sanctuaire, tous revêtus de la cape de l'Ordre du Temple, les chants liturgiques,

    l'apparition du maître, l'exaltation et les frissons qui nous saisissaient.

    Je peux m'y revoir. La terrible différence, c'est que cette fois-ci, le message  a été lancé  :

    l'heure du départ, du "transit" comme nous le disions avait sonné.

    Jo avait toujours parlé d'un passage paisible et serein.

     

     

     

    Et voici que ce chemin mène aux corps criblés de balles dans le sanctuaire de la ferme de Cheiry,

    à ces corps d'enfants abattus en Suisse comme au Canada.

    Voici que ces capes de cérémonies, dont tous étaient si fiers,

    ces capes qui distinguaient les "élus", n'apparaissaient plus que comme des oripeaux dérisoires

    couvrant des corps aux têtes enveloppées dans un sac-poubelle.

    C'est dans ces cendres fumantes des chalets incendiés que se terminait une aventure qui se voulait lumineuse.

    Ils étaient cinquante-trois. J'aurais dû être compté parmi eux.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     a

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    Reich en fut l'initiateur.

    Pour lui, le caractère se devine à l'attitude physique,

    car celle ci dépend de l'état de contraction de nos muscles.

     

    La bioenergie

     

    Nos tensions musculaires sont localisées dans les muscles qui tendent à nous protéger.

    Cette autoprotection porte aussi bien sur les agressions que peut nous infliger l'entourage

    que sur nos propres impulsions dont nous nous défendons.

    Les émotions refoulées peuvent donc se convertir en tensions musculaires.

    Ainsi se constituent des blocages et des rétentions d'énergie au niveau de ces zones.

    Cette énergie n'est plus disponible pour les fonctions physiologiques.

    S'il est vrai que les émotions sont "engrammées" dans les muscles,

    la logique veut qu'elles se manifestent alors que l'énergie est remise en circulation.

    C'est exactement ce qui se produit :

    des cris, des pleurs, des manisfestations impressionnantes

    accompagnent la libération émotionnelle.

     

    Source : "Médecin des trois corps"

    Dr Jeanine Fontaine.

     

    La bioenergie

     

    Wilhelm Reich est un médecin, psychiatre, psychanalyste et critique de la société autrichienne,

    né le 24 mars 1897 à Dobrzcynica et mort en prison le 3 novembre 1957 (à 60 ans)

    à Lewisburg, Pennsylvanie, États-Unis.

    Âgé de 22 ans lorsqu'il prend contact avec la psychanalyse,

    il est le plus jeune collaborateur intégré dans le cercle intime de Sigmund Freud à Vienne ;

    il est connu pour ses recherches sur l'« énergie d'orgone ».

    Ses prises de positions relatives au fait social comme maintien de la névrose individuelle,

    l'ont ensuite éloigné du créateur de la psychanalyse, et exclu de l'Association Psychanalytique Internationale en 1933.

     

    Source Wikipédia

     

     

     

     

     

     

     

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    Nous sommes tellement prisonniers de nos automatismes que nous avons oublié les chemins de traverse.

    Ces chemins qui s'écartent de l'autoroute bruyante et effrénée.

    Ces petits sentiers qui nous font découvrir de nouveaux horizons possibles.

    Où l'on peut se poser, se reposer.

     

     

     

    La liberté de découvrir tout un champ de possibles que l'on croyait inaccessible

    et dont on ne soupçonnait même pas l'existence.

     

    Jeanne Siaud-Facchin.

     

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    "J'étais restée enfermée toute la journée et j'avais besoin d'air frais.

    Le soleil brillait, alors à la pause déjeuner,

    même s'il faisait assez froid, j'ai décidé d'aller faire une promenade.

     

    ERICA...

     

     

    J'ai cherché le coin le plus ensoleillé que je pouvais trouver, mais c'était dingue :

    ça avait effectivement l'air d'être du soleil,

    c'était lumineux comme le soleil,

    mais il n'y avait aucune chaleur qui s'en dégageait.

     

    Et cette vague de tristesse m'est tombée dessus :

    le soleil était comme ma mère".

    ERICA

     

    Extrait de "Ces mères qui ne savent pas aimer"

    SUSAN FORWARD.

     

     

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