•  

     

     

    Pour saisir l'importance de ce conte,

    il faut bien comprendre que les personnages représentent les éléments de la psyché d'une seule femme ; ainsi tous les aspects de l'histoire

    font partie d'une psyché individuelle en train de sortir un processus initiatique et l'élucident-ils.

    L'initiation s'accomplit par la réalisation de neuf tâches....

      

     

     

    1)  Permettre à la trop bonne mère de mourir.

     

    Au cours du processus naturel de maturation,

    la trop bonne mère doit être de moins en moins consistante

    jusqu'à ce que nous soyons capables de prendre soin de nous-mêmes d'une nouvelle manière.

    Cet effacement psychologique de la mère prédominante,

    se produit lorsque la fille quitte le nid bien protégé de la préadolescence pour la jungle de l'adolescence.

    Si nous restons ouvertement trop longtemps auprès de la mère protectrice au sein de notre propre psyché,

    nous nous coupons de tous les défis et bloquons en conséquence tout développement futur ;

    elle doit se fixer un but à atteindre et prendre les risques qui vont avec.

     

    2) Mettre à nu l'ombre brut

     

    Il faut découvrir que la bonté, un comportement agréable, la gentillesse

    ne feront pas pour autant que la vie sera belle.

    Le "matériel" de l'ombre peut être très positif

    car c'est là aussi que sont souvent relégués les dons, qui attendent, dissimulés, d'être découverts.

    Etre soi-même peut mettre à l'écart des autres, et se conformer aux désirs des autres,

    peut nous éloigner de ce que l'on est. La tension est terrible car il faut la supporter.

    Dévalorisation : "Tu n'y arriveras pas, tu n'es pas assez bonne ,tu n'es pas assez audacieuse,

    tu es stupide, insipide, vide. Tu n'as pas le temps, tu n'es bonne qu'à des tâches élémentaires".

    Vassilissa n'a pas encore conscience de son pouvoir... Elle laisse faire.

    Pour qu'elle se réapproprie son existence, quelque chose doit se passer, qui va la sauver.

    Vassilissa ne peut évoluer en restant un vrai paillasson pour les autres.

    Elle meurt à son ancienne existence et s'avance  en frissonnant vers une vie nouvelle.

     

    3)  Naviguer dans l'obscurité

    Dans cette partie du conte, le legs de la mère (la poupée),

    guide Vassilissa dans l'obscurité jusqu'à la maison de Baba Yaga.

    Cette fois les taches psychiques sont les suivantes :

    accepter de s'aventurer jusqu'au lieu de l'initiation profonde (pénétrer dans la forêt)

    et commencer à faire l'expérience du nouveau.

    Apprendre à alimenter  son intuition (nourrir la poupée),

    laisser mourir encore un peu plus la fragile et ignorante jeune fille.

    Transférer le pouvoir vers la poupée, c'est à dire vers l'intuition.

     

    4) Faire face à la vieille sorcière sauvage.

    Vassilissa a débuté dans la vie avec ce qu'on peut appeler une personnalité écrasée au niveau du quotidien.

    A sa manière brillante, l'inconscient suggère à la dormeuse une nouvelle forme de vie

    qui ne se résuma pas au sourire poli de la femme trop gentille.

     

    5) Servir le non rationnel

    Baba Yaga, la mère sauvage, est notre professeur en la matière.

    Elle apprend à mette en ordre la maison de l'âme,

    proposant au moi un autre ordre où la magie peut intervenir, la joie exister, l'appétit être intact

    où l'on fait des choses avec enthousiasme. Baba Yaga est le modèle à suivre pour être fidèle au Soi.

     

    6) Séparer ceci de cela

    A l'instar de Vassilissa,

    il nous faut faire encore et encore le tri dans les agents de guérison de notre psychisme

    de façon à comprendre que ce qui nourrit la psyché est aussi un remède pour elle

    et que nous devons en extraire l'essence, la vérité pour nous nourrir...

     

    7) Interroger les mystères

    Que suis-je au fond ? Que dois-je accomplir ici ?

     

    8) Se tenir à quatre pattes

    L'absence d'intuition, l'absence de réceptivité, le fait de ne pas s'écouter, conduisent à faire de mauvais choix.

    Plus souvent, cette forme de connaissance offre de petits bénéfices

    et les guide en leur montrant clairement ce que cachent les motifs, les idées, les actes et les paroles des autres.

    Si la psyché instinctive crie "attention", alors il faut prendre garde.

    Si l'intuition profonde dit "fais ci, fais ça, va par là, avance, arrête toi",

    il faut modifier ces plans selon ces données.

    On doit suivre son intuition au long des différentes étapes du chemin,

    qu'on se batte avec un démon intérieur ou qu'on accomplisse une tâche dans le monde extérieur.

     

    9) Re projeter l'ombre

    Toutes les femmes qui se réapproprient leur intuition sont à un moment tentées de les rejeter.

    A quoi sert, en effet, de voir et de savoir tout cela ?

    Une bonne intuition, un bon pouvoir, c'est du travail en perspective.

    Il est d'abord nécessaire de surveiller,

    de prendre en compte les forces négatives et les déséquilibres au détriment de l'intérieur comme de l'extérieur.

    Ensuite, on doit bander sa volonté pour agir par rapport à ce que l'on découvre,

    que ce soit pour améliorer, équilibrer ou permettre à quelque chose de vivre ou de mourir.

    Je ne vais pas vous mentir, il est plus facile, c'est vrai, de jeter au loin la lumière et d'aller dormir.

    Avec la lumière devant nous, nous voyons parfaitement tous les aspects de nous-mêmes et des autres,

    du disgracié au divin en passant par tous les états intermédiaires.

     

    Analyse sortie du livre de Clasirra Pinkola Estes

    "Femmes qui courent avec les loups".

    Avis d'une lectrice :

    S'il est un livre qui dépote nos vieilles habitudes et nous renvoie à la transformation et à l'abandon de vieux modèles de comportements destructeurs, c'est celui là. Admirablement écrit par Clarissa Pinkola Estes, il nous permet de retrouver la femme sauvage, la vraie qui est en nous, la louve. Nous avons toutes en nous au moins un prédateur  qui nous bouffe le cerveau et qu'il faut dégommer, ce livre nous y aidera... Divertissant, parlant à l'âme, j'ai lu ce livre comme un grimoire de vie et j'ai pris des notes, et re repris des notes, il est truffé de phrases à méditer et qui vous parleront différemment selon où vous en êtes dans votre cheminement spirituel. Ne comptez pas le dévore r d'une traite, c'est impossible ! Il vous demandera réflexion, rechercher et assimilation de ce qui doit vous toucher, de ce que cela fera résonner en vous, vous donnant ainsi accès à la guérison de certains de vos états d'âme....

     

     
       
       
     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    "Lorsque Freud fit des conférences aux Etats Unis en 1909,

    il cita un exemple de ce mécanisme de

    refoulement.

    Il dit à ses auditeurs qu'il fallait s'imaginer la présence d un élément perturbateur dans la salle

    qui en riant, en intervenant à tout bout de champ et en frappant du pied,

    gênerait son exposé au point d'obliger l'orateur à s'arrêter.

    Quelques solides gaillards se lèveraient forcément probablement

    pour conduire  manu militari l'intrus dans le couloir.

    Il serait donc refoulé et l'orateur pourrait poursuivre en paix sa conférence.

    Pour être même bien sûrs qu'il n'y ait pas de nouvelle intrusion (c'est à dire que le refoulement a réussi)

    ces mêmes hommes s'installeraient avec leurs chaises devant la porte d'entrée  pour servir de "barrage".

    Il suffit de nommer la salle de conscient  et le couloir de l'inconscient

    pour avoir une bonne image du processus de refoulement.

     

     

    Lapsus

     

    Il nous arrive souvent d'avoir "la langue qui fourche", c'est à dire de faire des lapsus.

    C'est ainsi que des réactions inconscientes peuvent guider nos sentiments et nos actions.

    Freud met à jour différents  mécanismes de cet ordre.

    Il y a d'abord  ce qu'il appelle les mauvaises réactions :

    nous faisons et disons de nous-mêmes quelque chose que nous avons autrefois essayé de refouler.

     

    Il cite l'exemple de cet ouvrier qui devait un jour porter un toast à son patron.

    Le problème c'est que personne n'aimait ce patron.

    Il était même ce que certains qualifient sans hésiter de "salaud".

    L'ouvrier se leva, le verre à la main et déclara solennellement  :

    "Et maintenant buvons à la santé de notre salaud !"

     

    En fait il avait juste dit ce qu'il pensait réellement,

    mais il n'avait jamais eu l'intention de le faire.

    Ces lapsus d'action ou de langage trahissent en fait nos secrets les plus intimes".

     

    Extrait du livre de Jostein Gaarder

    Le Monde de Sophie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Se faire aider par l'ostéopathie 

     

    L'ostéopathie

    peut participer à la prise en charge de la dépression et influencer favorablement le corps

    pour mener sur le chemin de la guérison.

     

    Quelquefois, il suffit d'une consultation ou deux

    pour désamorcer les signes de l'anxiété qui commencent à s'installer.

    Par son approche manuelle du corps et de la globalité du patient,

    l'ostéopathie permet de lever les tensions qui ont pu s'accumuler

    et de donner un bien-être aux personnes angoissées, inquiètes et sujettes aux baisses  de moral.

     

    L'approche de l'ostéopathie pour lutter contre la dépression nécessite un plus grand nombre de séances,

    quand les causes et les signes sont installés depuis longtemps.

    Par l'approche somato-émotionnelle (voir "mes livres références"),

    l'ostéopathe peut libérer des tensions tissulaires liées à des chocs émotionnels vécus par le patient.

     

    Se faire aider par l'ostéopathie

     

    Et ça marche - FAUSTINE.

     

     


    votre commentaire
  •  

    Bien que dérangeante,

    la scarification n'en est pas moins  apaisante,

    et agit comme un fusible pour  ne pas franchir le pas fatidique.

     

     

    La Scarification

     

     

    La douleur ressentie est une présence réconfortante, un compagnon,

    qui face au malaise psychique permet de ne pas se sentir seul.

    Addictive, la scarification comble un vide existentiel, calme la colère, la peine qui vous  submergent.

    La douleur physique étouffe la douleur psychique.

     

    FAUSTINE.

     


    votre commentaire
  •  

    "Accueillir les adolescents et leurs familles,

    évaluer leurs besoins, leur proposer des soins psychiques et somatiques ou les orienter,

    utiliser toutes les manières de s'exprimer et de créer,

    travailler de manière pluridisciplinaire,

    faire de l'enseignement et de la recherche dans le champ de l'adolescence et de ses souffrances,

    telles sont les missions de cette maison des adolescents, la Maison de Solenn.

     

    Afficher l'image d'origine

     

    Fondée par Bernadette Chirac et Patrick Poivre d'Arvor,

    la Maison de Solenn est aujourd'hui la référence

    pour l'accueil des adolescents souffrant de dépressions nerveuses,

    d'états suicidaires, de névroses obsessionnelles, de troubles du comportement alimentaire.

    Fondée en 2004, la Maison de Solenn est désormais l'un des plus grands centres français dans ce domaine.

    Les chiffres parlent d'eux mêmes : 500 hospitalisations et plus de 15 000 consultations annuelles.

    C'est un lieu très lumineux, situé dans le XIV ème arrondissement de Paris,

    dans l'enceinte de l'hôpital Cochin, noyé dans la verdure.

     


    votre commentaire
  •                                                                                                      A MA MERE....

     

    Citation...

     

    Parfois, vous devez laisser les gens partir parce qu'ils sont toxiques pour vous.

    Les laisser partir parce qu'ils prennent et prennent et vous laissent vidé.

    Les laisser partir parce que dans l'océan de la vie,

    Quand tout ce que vous faites c'est essayer de rester à flot,

    Ils sont l'ancre qui vous noie.

     

    Auteur Inconnu.

     

     

     


    1 commentaire
  •  

     

     

    LA PAROLE EST SON INSTRUMENT DE MANIPULATION PREFERE :

     

    - Messages contradictoires

    - Détournement de la parole

    - En perdant son souffre douleur dans un dédale d'informations contradictoires,

    il l'empêchera de penser et de réagir sainement.

    - Le pervers garde une impression de contrôle... une manière pour lui de se valoriser.

    - Le pervers communique de façon paradoxale ce qui va lui permettre d'assujettir sa victime.

     

     

     

    PN - La parole, son instrument de manipulation préféré.

     

     

     

    S'EN SORTIR :

     

    - Expliquer les évènements et demander de l'aide aux autres.

    - Arrêter de se justifier : plus on se justifie, plus le pervers se sent en position de force.

    - Oser la détester

    - Couper court à toute communication : s'éloigner et ne plus avoir aucun contact

     

    Jean-Charles Bouchoux

    Eyrolles 2013

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    LA BLESSURE D'ABANDON

     

    Chacun sait que donner la peur à un enfant revient à cacher un serpent dans sa poche.

    Or on distille la peur, goutte à goutte, jour après jour, année après année.

    C'est une peur souterraine, souvent inconsciente, qui touche les fibres les plus profondes de l'enfant, puis de l'adolescent, puis de l'adulte.

    Qu'arrive-t-il si un enfant à l'impression que sa mère lui retire son amour ?

    C'est la situation la plus profondément angoissante pour lui (même s'il ne s'en rend pas compte consciemment).

    L'angoisse la plus grande qui puisse saisir un enfant vient de la sensation d'être abandonné,

    donc de perdre toute sécurité

     Il ne s'agit pas ici d'abandon physique mais d'abandon psychologique, infiniment plus profond et plus grave.

     

     

    L'abandon

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    "Je caressais le rêve d'écrire le récit de ma vie depuis longtemps, avant même de devenir psychothérapeute.

    J'en avais vraiment envie.

    Je ne pouvais pas dire exactement pourquoi j'avais ce désir, mais aujourd'hui je le sais :

    c'est pour aider d'autres personnes qui souffrent.

    Les gens aiment s'identifier à quelqu'un, surtout quand ils vivent un problème.

    Ils ont besoin de ne pas se sentir seuls.

     

     

     

    C'est ce qui m'a amené aussi, un jour, à devenir psychothérapeute.

    On ne choisit pas cette activité professionnelle par vertu.

    La plupart des thérapeutes que je connais ont un passé chargé,

    un  vécu qu'ils ont essayé de comprendre et dont ils veulent tirer profit pour aider les autres.

    Le mien est marqué du signe des carences affectives, de l'alcoolisme et de la dépendance.

    Ce sont ces expériences qui m'ont amené à travailler sur moi pour m'en sortir.

     

    En 1983, j'ai rencontré la fraternité des Alcooliques Anonymes et j'ai finalement cessé de boire.

    Mais où était le bonheur promis ?

    J'étais encore très malheureux parce que le problème de fond n'était pas résolu.

    Je me sentais vulnérable, isolé, souffrant.

    L'abstinence n'avait pas mis fin à cette horrible sensation de vide intérieur que je traînais depuis des années.

    Heureusement je n'ai pas rechuté, ce qui aurait facilement pu m'arriver.

     

    Je me suis alors tourné vers la psychothérapie individuelle et vers les thérapies de groupe.

    J'ai fait plusieurs démarches en ce sens.

    Peu à peu, je me suis découvert et j'ai évolué vers une plus grande ouverture.

    Le cheminement était cependant très lent.

    Les livres de psychologie se sont accumulés sur les tablettes de ma bibliothèque.

    Puis j'ai commencé des études dans cette discipline,

    autant par besoin personnel que dans une perspective de réorientation professionnelle.

     

     

    Il m'aura fallu beaucoup de thérapies, de démarches personnelles,

    de remises en question et de réflexion pour m'en sortir.

    Peu à peu, j'ai changé des choses en dedans de moi et je suis devenu autonome.

    J'ai découvert que je pouvais développer une saine estime de soi

    et atteindre l'autonomie affective par des efforts personnels".

     

    DANIEL PIETRO

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Vous allez passer par une phase de deuil,

    et vous allez devoir continuer à vaincre culpabilité et incertitudes.

     

    Thérapie

     

    Mais petit à petit, la douleur va disparaître.

    Et vous allez sentir pousser en vous les racines d'une nouvelle vie épanouissante.

     

    SUSAN FORWARD.

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

      Tout travail psychologique,

    qu'il soit en surface ou en profondeur,

    est une relation humaine entre le psychologue et son patient et vice et versa.

    Ils sont des compagnons de route.

     

    Le travail thérapeutique.

     

    L'analyste représente le monde tel que le patient voudrait qu'il fût, parce qu'il ne juge jamais.

    Souvent le patient se relie comme un enfant à son père analytique.

     

    L'analyste entend souvent :

    "Je ne vis qu'en fonction de ma séance d'analyse",

    "Je n'ai que vous au monde",

    "Si vous m'abandonnez, je suis perdue".

     

    Il y a donc fixation temporaire du patient sur l'analyste.

    Or pour progresser, cette fixation doit cesser harmonieusement,

    au fur et à mesure que la personnalité adulte du patient se renforce.

     

                                                                                Pierre DACO.

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

    L'écriture offre  des avantages positifs inégalables sur de nombreux aspects.

    Vous aurez l'impression de vous être libéré de tout ce qui vous préoccupait,

    en y mettant des mots, en essayant de le comprendre et de le résoudre.

    Voici quelques uns des avantages de l'écriture en tant que thérapie :

     

    1 - Favorise la créativité

     

    Ecrire est une chose créative en soi,

    cela nous aide à mieux nous exprimer, à chercher de nouvelles solutions,

    de nouvelles idées et nous aide à imaginer et à rêver.

     

    2 - Nous aide à gérer nos émotions

    Lorsque nous écrivons, nous renversons toutes nos émotions sur le papier.

    Ce n'est pas rare que nous pleurions ou que nous riions en rédigeant.

    Cependant, ce que nous transmettons par le biais de l'écriture, nous aide à gérer ces émotions

    et à apprendre à les vivre depuis un autre point de vue.

     

    3 - Nous permet de mieux nous connaître

    Ce que nous écrivons provient du cœur, de notre être le plus profond.

    Ainsi, exprimer ce que l'on ressent avec des mots nous permet de nous connaître nous-même,

    de voir à quel point les circonstances de la vie nous affectent,

    d'analyser cette colère ou cette frustration que nous ressentons.

    Nous pouvons y mettre un nom et les affronter droit dans les yeux.

     

    4 - Nous  donne la possibilité de partager nos sentiments.

     

    Ce que  nous écrivons peut rester pour nous ou peut être montré à d'autres personnes,

    pour partager ce que nous ressentons et ce que nous avons vécu.

     

    Le fait de montrer ce que nous avons écrit permet d'avoir d'autres points de vue,

    et les autres pourront alors ressentir de l'empathie pour nous.

     

    Docteur James Pennebaker

    Expresive Whriting : Words  that heal

     

     

     


    votre commentaire