-
Qui ne cherche pas à te voir, ne souffre pas de ton absence.
Qui ne souffre pas de ton absence, ne t'aime pas.
Le destin choisit qui entre dans ta vie mais toi seul décide qui y reste.
La vérité blesse une seule fois, le mensonge à chaque fois que tu y penses.
Alors valorise ceux qui te valorisent et ne considère pas comme priorité
ceux qui te traitent comme une option....
votre commentaire -
En chacun de nous se trouve un enfant qui souffre.
Nous avons tous connu des périodes difficiles
et beaucoup d'entre nous ont été fortement perturbés durant l'enfance.
Et pour nous protéger de toute cette souffrance,
la seule solution que nous ayons trouvée a été d'oublier ces épisodes douloureux.
Chaque fois que la douleur se réveille,
cette sensation nous est si insupportable
que nous refoulons nos sentiments et nos souvenirs au plus profond de notre inconscient.
A tel point que nous pouvons passer des années et des années à négliger cet enfant blessé.
Pourtant, ce n'est pas parce que nous l'ignorons que l'enfant n'est pas là.
L'enfant blessé est toujours là, et il essaie d'attirer notre attention.
Il se manifeste comme il peut.
Désireux d'atténuer notre peine, nous refusons de l'entendre et nous nous en tenons aussi éloignés que possible.
En vain, car cette fuite ne met pas fin à notre souffrance ;
bien au contraire, elle ne fait que le prolonger.
Nous nous perdons dans une quête permanente de divertissements
(télévision, cinéma, activités mondaines, alcool, drogues)
parce que nous ne voulons plus faire l'expérience de toute cette souffrance.
PRENDRE SOIN DE L'ENFANT INTERIEUR
Faire la paix avec soi.
THICH NHAT HANH
votre commentaire -
Imaginons un enfant dont la spontanéité est sans cesse brimée par un parent autoritaire.
Supposons que cet enfant au bout d'un certain temps, se sente coupable ou stupide
chaque fois qu'il est "lui-même" (spontané).
L'enfant va donc peu à peu refouler la partie de sa personnalité dont l'expression représente un danger.
Il va se dire :
"Si je suis spontané, je me heurte à l'opinion méprisante de mon père ou de ma mère ;
je me sens coupable d'être spontané ;
je ne serai plus spontané ; je jouerai un rôle."
votre commentaire -
Le but de la vie n'est pas de trouver le bonheur,
mais de devenir soi,
celui que l'on est depuis sa naissance mais qu'on n'a jamais eu le courage d'être,
par manque de confiance en soi.
Devenir soi permet tout d'abord de se découvrir une grande richesse intérieure.
Il serait faux de croire qu'il existe d'un côté des êtres supérieurs, intérieurement riches et intéressants,
et d'un autre des êtres inférieurs, pauvres d'esprit et rebutants.
La vraie différence consiste en ce que le premier groupe s'autorise à être soi,
vivant, branché sur son intériorité, confiant en lui-même, sans honte ni culpabilité
alors que le second s'interdit de croire en ses possibilités et de s'aimer.
D'après le livre de Monsieur Moussa Nabati
"Le bonheur d'être soi".
votre commentaire -
LE SON DU SILENCE
Hello darkness, my old friend, Bonsoir ténèbres, mon vieil ami,
I've come to talk with you again Je suis venu discuter encore une fois avec toi
Because a vision softly creeping, Car une vision s'insinuant doucement en moi,
Left its seeds while I was sleeping a semé ses graines durant mon sommeil
And the vision that was planted in my brain, still remains Et la vision qui fut plantée dans mon cerveau,
demeure encore
Within the sound of silence A l'intérieur, le son du silence
In restless dreams I waldes alone, Dans mes rêves agités j'arpentais seul,
Narrow Streets of cobbleston Des rues étroites et pavées
Neath the halo of a street lamp, Sous le halo d'un réverbère,
I turned my collar to the cold and damp Je tournais mon col à cause du froid et de l'humidité
When my eyes were stabbed by the flash of a neon light Lorsque mes yeux furent éblouis par l'éclat de la lumière
d'un néon,
That split the night and touched the sound of silence Qui déchira la nuit et atteignit le son du silence
And in the naked light I saw, Et dans cette lumière pure je vis,
Ten thousand people, maybe more Dix mille personnes peut être plus,
People talking without speaking, Des personnes qui discutaient sans parler,
People hearing without listening Des personnes qui entendaient sans écouter
People writing songs that voices never share, Des personnes qui écrivaient des chansons
qu'aucune voix n'a jamais emprunté
And no one dared disturb the sound of silence Et personne n 'osa déranger le son du silence
Fools, said I, you do not know, Idiots, dis je vous ignorez,
Silence, like a cancer, grows Que le silence, tel un cancer, évolue
Hear my words that I might teach you, Entendez mes paroles que je puisse vous apprendre,
Take my arms that I might reach you Prenez mes bras que je puisse vous atteindre
But my words, like silent raindrops fell, Mais mes paroles tombèrent telles
des gouttes de pluie silencieuses,
And echoed in the wells of silence Et résonnèrent dans les puis du silence
And the people bowed and prayed Et ces personnes s'inclinaient et priaient
To the neon god they made Autour du dieu de néon qu'ils avaient créé
And the sign flashed out its warning Et le panneau étincela ses avertissements
In the words that it was forming A travers les mots qu'il avait formés
And the sigh said : the words of the prophets Et le signe dit : les mots des prophètes
Are written on the subway walls Sont écrits sur les murs des souterrains
And tenement halls, Et des halls d'immeubles,
And whispered in the sounds of silence Et murmurés à travers les sons du silence.
votre commentaire -
La dépendance affective trouve son origine dans notre vie "pré oeudipienne",
c'est à dire dans notre toute petite enfance.
Le nouveau né est par définition, un être dépendant, en absence totale d'autonomie.
La dépendance affective fait bien souvent écho à un abandon vécu à ce premier stade de notre vie.
Il peut s'agir d'un abandon émotionnel, plus que physique :
une mère dépressive, un père affectivement absent.
La dépendance n'est pas symptomatique.
Le problème c'est quand elle devient source de souffrance,
de sentiment d'abandon, de la peur de ne pas être reconnu, de ne pas être aimé.
La personne "dépendante affective" est à la recherche de son droit à l'existence.
Mais elle effectue cette recherche d'une manière déficiente.
A la conquête de son droit d'être, elle souhaite être aimée, acceptée telle qu'elle est..
Elle présente des troubles au niveau de son identité personnelle.
Elle est angoissée et manque de confiance en elle,
découlant d'un complexe d'infériorité qui est le plus grand symptôme de cette pathologie.
Elle éprouve aussi une peur irrépressible d'être abandonnée.
Son bonheur dépend d'autrui, elle vit dans l'insécurité.
Au niveau relationnel, elle se laisse facilement abuser par les autres.
votre commentaire -
Pourquoi perçoit on les choses différemment ?
Pourquoi souffre t-on plus que les autres ?
Pourquoi trouve t-on refuge dans la solitude ?
Pourquoi observons nous et sentons nous les choses que, généralement, les autres ne remarquent pas ?
20 % de la population est hypersensible mais ce n'est pas un défaut.
L'hypersensibilité est un don,
un outil qui peut vous permettre d'approfondir les choses
qui ont la capacité d'arriver à ce point vital d'apprentissage.
Les dons de la personne hypersensible :
Dès leur plus jeune âge,
certaines personnes sont capables de percevoir certains aspects de leur vie quotidienne qui feront naître en elles angoisses et contradictions.
Leurs yeux capteront des choses dont les adultes ne tiennent même pas compte ;
la frustration de leur maître d'école, l'inquiétude de leur mère...
Ils verront le monde avec leurs yeux d'enfant,
mais d'un enfant qui s'ouvre précocement au monde des émotions
et ce sans savoir ce qui est à l'origine de la souffrance que les adultes ressentent.
Votre connaissance des émotions exige aussi de vous
que vous sachiez vous protéger et prendre soin de vous.
Le don d'apprécier la solitude.
Les personnes hypersensibles ressentent un certain plaisir quand elles sont seules.
Ce sont des personnes créatives qui aiment écouter de la musique, lire...
Le don de mener une vie où tout part du cœur.
Personne ne vit plus intensément l'amour,
personne n'apprécie autant les petits gestes quotidiens, l'amitié, la tendresse...
Elles se sentent vulnérables face au stimuli du monde extérieur, au comportement des autres.
votre commentaire -
Le jeune Freud a connu la honte
quand son oncle Joseph, accusé d'un trafic de fausse monnaie, a fait la une des journaux de Vienne
et surtout quand son père s'est laissé humilier.
"Quand j'étais jeune, raconte le père, je suis sorti dans la rue un samedi,
bien habillé avec un bonnet de fourrure tout neuf.
Un chrétien survint, d'un coup envoya mon bonnet dans la boue en criant ;
"juif, descends du trottoir !"
"Qu'as tu fait ?" demande l'enfant.
"J'ai ramassé mon bonnet".
Dès lors, le jeune Sigmund se met à élaborer des fantasmes de revanche.
Il s'identifie à Hannibal, ce sémite magnifique et intrépide
qui avait juré de venger Carthage malgré la puissance de Rome...
L'enfant fit preuve d'indépendance intellectuelle, de maîtrise de soi et de bravoure physique.
Le petit garçon avait ressenti la honte,
parce que l'escroquerie d'un proche et la lâcheté du père
avaient été exposées aux yeux de tous dans les journaux de Vienne et sur la scène publique.
BORIS CYRULNIK - MOURIR DE DIRE - LA HONTE.
votre commentaire -
"Laissez faire le temps, vous êtes trop pressée, vous ne comptez pas assez avec le temps, il est à vous.
La force du temps est plus grande que vous ne le croyez.
Et puis, respectez les croyances de chacun,
ne tentez pas de prouver que vous avez raison à des esprits qui ne sont pas préparés à recevoir la vérité ;
vous les agressez.
N'oubliez pas que vous êtes guérisseur.
Un guérisseur ne doit pas agresser les esprits.
Il doit savoir reconnaître le niveau de chacun et s'adresser à lui selon son développement.
Un guérisseur doit savoir donner à chacun ce qu'il est en mesure de recevoir.
Il faut adapter votre langage au niveau d'évolution de chacun, et chacun est différent.
Respectez les croyances et les opinions d'autrui
et gardez surtout votre calme intérieur dans toutes les circonstances,
car le temps est votre allié".
TONY AGPAOA
votre commentaire -
J'avais besoin d'écrire ce livre.
Profondément besoin.
Cela s'est imposé à moi.
Je ne l'ai pas choisi, pas décidé. J'ai hésité, plusieurs fois renoncé.
Puis c'est devenu une évidence.
Il fallait absolument que je raconte mon expérience de la méditation.
Que j'explique comment, pourquoi, la méditation a vraiment, totalement changé ma vie.
On peut aussi croire que la méditation consiste à ne plus penser, à faire le vide.
Moi aussi je le croyais. Je ne savais pas que la méditation pouvait être autre chose.
Un entrainement de l'esprit pour devenir un expert de soi même,
pour en connaître la plus infime parcelle.
Une pratique incroyablement efficace pour trouver le calme intérieur,
se recharger psychiquement et physiquement, apaiser le stress,
l'agitation des pensées, les turbulences émotionnelles
tout en renforçant son système immunitaire et en développant ses neurones,
son intelligence, son attention, sa concentration.
Jeanne Siaud Facchin.
l
votre commentaire -
Celia est débordée par ses angoisses : une amie lui conseille de "voir quelqu'un".
Paul fait face à des échecs à répétition : son médecin l'adresse à une psychothérapeute...
Mais aller chez le psy, à quoi ça sert ?
A la manière d'une série, ce livre met en situation des patients venus voir un psy.
Les séances se succèdent comme des épisodes dont Celia et Paul sont les héros et vous font partager,
à travers leur cheminement, les points capitaux de cette aventure.
Dina Karoubi-Pecon, psychologue-clinicienne, psychanalyste,
éclaire le fonctionnement d'une cure par la parole et présente les bénéfices que l'on peut tirer d'une psychanalyse. Elle aborde très clairement toutes les questions, des plus classiques (l'argent, le silence, la neutralité...) aux plus concrètes :
Qu'est ce que je vais dire ? Combien de temps ça dure ? Pourquoi payer une séance manquée ?...
votre commentaire