• La Thérapie de la Dernière Chance

     

     

    Une patiente et son psy témoignent

    "Elle allait si mal qu'elle n'arrivait pas à parler.

    Alors elle lui écrivait des mails après les séances.

    Quand elle ne pouvait pas écrire, elle dessinait.

    Des dessins de petite fille. Et il lui répondait.

     

    Elle n'est pas la seule enfant à avoir vécu ce genre de drame et ces autres enfants qui souffrent la hantent.

    Surtout ceux qui ne disent rien.

    Le silence dans lequel ils sont enfermés, elle l'a connu.

    Elle sait qu'il empêche d'aimer et de partager.

     

    Aujourd'hui, il dit qu'elle est guérie ; elle préfère dire qu'elle est libérée.

    Et elle aimerait que tous ceux qui lui ressemblent aient cette chance

    d'une rencontre qui les sauve et les guérisse de leur enfance.

     

    Tout ce qu'ils écrivent s'est passé comme ils le racontent."

     

    Sophie Tran Van (Editrice jeunesse) et Emmanuel Goldenberg, (médecin, psychiatre et psychothérapeute)

     

    MON AVIS

    Un livre que j'ai beaucoup apprécié et dans lequel je me suis quelquefois retrouvée,

    non pas de par la problématique mais par ce que l'on ressent en séances

    à travers le transfert (attachement) et le chaos provoqué par la régression.

    Un témoignage clair sur ce que l'on peut vivre de fou à travers une psychothérapie.

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    Les victimes d'emprise ont un énorme besoin de parler.

    Elles ruminent, ressassent, butent sur des détails,

    tournent en rond dans le problème dans lequel elles se sentent piégées.

     

    L'écoute

     

    Ne cherchez pas à rationaliser et ne donnez pas de conseils.

    Laissez sortir le flot de paroles et accueillez-le avec beaucoup d'empathie.

    Quelques mots d'accompagnement suffisent.

    "C'est dur, ce que tu vis.", "Tiens bons, je suis là.", "Tu vas en sortir".

     

    Christel Petitcolin

     

     

     

    L'écoute


    votre commentaire
  •  

    TEST : FATIGUE OU DEPRIME

     

     

    Fatigué ou Déprimé ?

     

     

      LE FATIGUE                                                                                  LE DEPRIME

    - A ENVIE DE FAIRE LES CHOSES MAIS SE FATIGUE .                         -  A PERDU L'ENVIE D'ENTREPRENDRE QUOI QUE CE SOIT ET SE LE REPROCHE.

    _______________________________________________________________________________________________________________________

    - ENTAME SA JOURNEE AVEC UN CERTAIN ENTRAIN                         -  EST ANEANTI DES LE REVEIL A LA PERSPECTIVE DE LA JOURNEE QUI

       MAIS NE TIENT PAS LA DISTANCE, NE PEUT ACHEVER                       S'ANNONCE.

       CE QU'IL A ENTREPRIS                                                                           SON MANQUE D'ELAN VITAL LUI FAIT DIRE : "ENCORE UNE JOURNEE".

     ________________________________________________________________________________________________________________________

     

    - TERMINE SA JOURNEE DECOURAGEE, A BOUT.                               - SE SENT MOINS MAL LE SOIR : "LE MEILLEUR MOMENT DE LA JOURNEE, C'EST

                                                                                                                       LE SOIR.

    ________________________________________________________________________________________________________________________

     

    - RUMINE VOLONTIERS SES SOUCIS AVANT DE                                - S'ENDORT SOUVENT BIEN, MAIS SE REVEILLE PLUS TOT QU'A L'ORDINAIRE ET

      S'ENDORMIR.                                                                                           CONNAIT ALORS DES ETATS D'ANGOISSE.

    _______________________________________________________________________________________________________________________

     

    - EST TRES CONSCIENT DES FACTEURS EXTERIEURS :                     - PERCOIT SOUVENT QUE SON ETAT VIENT DE L'INTERIEUR.

      TROP DE TRAVAIL, VIE INADAPTEE.

    ________________________________________________________________________________________________________________________

     

    - SAIT QU'IL DOIT Y AVOIR UNE SOLUTION, MEME SI                      - N'A PAS VRAIMENT D'ESPOIR D'EN SORTIR.

      ELLE EST DIFFICILE A TROUVER DANS L'INSTANT.

    ________________________________________________________________________________________________________________________

     

    - A UN FUTUR CLAIR, CA IRA MEIUX DEMAIN OU APRES-                 - A UN FUTUR SOMBRE, "JE NE VOIS PAS CE QUI POURRAIT CHANGER".

      DEMAIN, OU APRES LES VACANCES.

     

     

     

    SOURCE : JE VAIS CRAQUER

    DR HENRI CUCHE

    DR ALAIN GERARD.

     

     

     


    1 commentaire
  • Quand et comment se temine une analyse ?

     

     

     

    "Voilà une immense question débattue depuis l'avènement de la psychanalyse.

    Freud a écrit un texte célèbre : "Analyse terminable et interminable"

    mais depuis beaucoup d'encre a coulé et la question reste irrésolue.

    Une des tâches de l'analyse est de renvoyer au patient

    le fait qu'il est son propre médecin mais aussi son propre bourreau.

    Le mouvement de réappropriation de sa capacité d'auto guérison intérieure

    est probablement interminable car c'est aussi essentiel qu'aimer ou respirer.

    Ensuite, je pense qu'il y a clairement des temps dans l'analyse.

    Si on parle du point de vue de la rencontre, c'est à dire de ce que nous appelons le transfert,

    sans doutes y a t il, comme dans toutes relations, un début, une acmé et une fin, à déterminer ensemble.

    La capacité d'exploration de ce thérapeute là avec ce patient là du champ psychique n'est pas inépuisable,

     à moins qu'ensemble ils ne fassent preuve d'une métamorphose,

    mais cela supposerait d'une certaine manière que le patient soit guéri.

    C'est la raison pour laquelle il est parfois bénéfique de faire plusieurs tranches d'analyse,

    avec des thérapeutes, et des approches, différentes.

    Il faut dire aussi que, malheureusement, beaucoup d'analyses s'arrêtent prématurément

    au seuil de prises de consciences cruciales.

     

    Quand la souffrance qui a conduit le patient en analyse s'est atténuée,

    il se sent suffisamment de force pour partir.

    Mais il ressemble à un crabe en période de mue dont la carapace est trop tendre.

    C'est souvent encore un peu tôt.

    Seulement il est difficile pour un analyste de l'exprimer, car sa réserve risque d'être entendue comme un

    "Vous n'êtes pas encore sortie d'affaire" alors que le patient l'est,

    mais il a encore besoin d'une surface de protection.

    Parfois, dans ces moments de fin d'analyse, le thérapeute se prend un paquet d'affects négatifs,

    qu'il faut là aussi dépasser et comprendre.

    Il faudrait avoir la sagesse de s'accorder de part et d'autre le temps de travailler  les fins d'analyse.

    Même dans ce cas, on ne saura peut être toujours pas ce que c'est une fin".

     

    ANNE DUFOURMANTELLE

    "SE TROUVER".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  •  

     

     

    Pendant des années, certaines femmes se sont silencieusement interrogées :

    "Pourquoi suis-je si différente ? Pourquoi suis-je née au sein d'une famille aussi étrange ?"

     

     

     

    A chaque fois que leur existence voulait s'épanouir,

    il y avait quelqu'un pour répandre du sel sur le sol afin de le rendre stérile.

    Toutes les proscriptions à l'encontre de leurs désirs naturels les tourmentaient.

    Filles de la nature, on les gardait dans les maisons.

    Scientifiques dans l'âme, on leur apprenait le métier de mère.

    Si elles voulaient être mères, on leur disait qu'elles avaient intérêt à se couler doucement dans le moule,

    si elles voulaient inventer, on leur disait d'être des manuelles

    si elles voulaient créer, on leur disait qu'on n'en a jamais fini avec les tâches ménagères.

    Parfois, elles essayaient de satisfaire à ces critères

    et ne s'apercevaient que plus tard de leurs souhaits véritables.

    Il leur fallait alors, pour mener leur vie, connaître l'épreuve mutilante de la famille que l'on quitte,

    du mariage rompu avant que "la mort nous sépare"

    et des jobs abandonnés avant qu'ils puissent se révéler les marchepieds promis vers un avenir rémunérateur.

    Leur route était jonchée de rêves brisées.

    Souvent, ces femmes étaient des artistes qui tentaient de se montrer raisonnables

    en consacrant 80 % de leur temps à des tâches qui tuaient dans l'œuf, jour après jour, leur créativité. 

    Les scénarios sont légion, mais on retrouve une constante :

    on leur a fait remarquer très précocement qu'elles étaient "différentes", avec une connotation péjorative.

    En fait, elles étaient passionnées, curieuses, particulières et dans le droit-fil de leurs instincts.

     

     

    Extrait du Livre

    De Clarissa Pinkilo Estes

    "Femmes qui courent avec  les Loups".

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

    Oui, il est possible de se reconstruire...

    Il faut pour cela, passer par certaines étapes.

    Il y a une série de deuils à faire, des croyances à nettoyer, des chaînes à briser, il y a de l'amour à se donner.

    Ce travail de reconstruction peut-être long ou pas.

    Chaque situation, chaque personne a son rythme et il est important de le respecter.

     

    Artiste européen émigré en Australie dès son plus jeune âge, Loui Jover fait partie de ces créatifs qui associent une esthétique élégante à une logique de réutilisation. Quand de vieux livres sont font œuvres d'art...  Né en 1967 en Europe, Loui Jover immigre rapidement en Australie où il développe un goût et un talent assez prononcé pour le dessin. Talent qui le poussera à faire des études en art dès 1980, grâce à un cours par correspondance du Melbourne Art Institute, et à en faire plus...

     

    Il est important de vous faire accompagner par un thérapeute à certains moments de cette reconstruction.

    Cela ne fera qu'accélérer les choses.

    Veillez cependant à vous adresser à quelqu'un qui est informé (voire formé)

    sur cette problématique et qui la comprend.

    Certains psys et thérapeutes ne connaissent pas bien ce "phénomène".

     

     

    Extrait de ce livre que je vous recommande....

     

    Se reconstruire

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    "Les Benzodiazépines qui ont vu le jour il y a une quarantaine d'années,

     

    sont les psychotropes les plus prescrits,

    en raison de leurs effets tranquillisants (anxiolytiques) et hypnotiques (somnifères).

     

     

     

    La France bat le record du monde de consommation de BZD.

    Une des raisons de leur vaste succès est probablement le flou entourant leurs indications thérapeutiques,

    l'anxiété et l'angoisse étant des concepts particulièrement extensibles.

    Il faut souligner que, lorsqu'il sont administrés à long terme,

    les études ne relèvent dans les troubles anxieux aucune preuve décisive de leur efficacité.

    Pour les troubles du sommeil,

    on mentionne l'épuisement de l'effet objectif de ces produits en quelques semaines.

    La dépendance se manifeste par l'impossibilité d'arrêter le traitement,

    par la tendance à augmenter les posologies (la tolérance) et par un comportement d'automédication.

    Ce risque a conduit à recommander aux médecins de limiter la durée des traitements.

     

    Cette dépendance peut aussi bien être psychique que physique.

    L'intensité varie d'un sujet à l'autre,

    allant de signes peu marqués à des crises convulsives ou à un syndrome confusionnel

    lors d'usages massifs durant des années.

    Le sevrage médicalisé se fait par réduction progressive des doses".

     

    SOURCE : Le Petit Larousse de la Psychologie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  •  

     

     

     

    La dénégation est à la fois le plus primitif  et le plus puissant

    des systèmes de défense psychologiques.

     

     

    "Le soulagement conféré par la dénégation n'est au mieux que temporaire,

    et le prix à payer pour ce soulagement est élevé.

    La dénégation est le couvercle de notre cocotte-minute émotionnelle :

    plus longtemps nous le laissons  fermé, plus nous faisons monter la pression.

    Tôt ou tard, la pression fait inévitablement sauter le couvercle et nous avons une crise émotionnelle

    Quand cela arrive, il nous faut affronter les vérités que nous avons si désespérément évitées.

    La Dénégation

    Malheureusement, votre propre dénégation n'est probablement pas la seule avec laquelle vous ayez à lutter.

    Vos parents ont des systèmes de dénégation qui leur sont propres.

    Lorsque vous vous efforcez avec peine de rétablir la vérité sur votre passé,

    vos parents sont capables de répéter avec insistance

    que "ce n'était pas si grave", que "ça ne s'est pas passé comme ça", ou même que "ça n'est pas arrivé du tout".

    De telles déclarations ont le pouvoir de décourager vos tentatives pour reconstituer votre histoire personnelle,

    en vous faisant douter de vos propres souvenirs et de vos propres impressions.

    Ils minent la confiance que vous avez en votre capacité de percevoir la réalité,

    avec pour effet de rendre encore plus difficile la réhabilitation de votre estime personnelle".

     

    Susan Forward

    "Parents toxiques, comment échapper à leur emprise"

     

    La Dénégation

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Un article de Monsieur Pascal Couderc

    Psychanalyste et psychologue clinicien

    exerce à Montpellier et Paris et par téléconsultation (psy en ligne).

     

    Tellement, mais tellement ça !!!

     

    Le cas de la famille perverse

     

    La famille perverse narcissique est le milieu, par excellence, où ce mode relationnel se met en place et s'élabore.

    On peut être victime de ce type de famille de plusieurs manières : en y entrant par le biais d'une union, ou pire

    en y naissant sans pour autant être atteint du trouble commun au reste de la cellule familiale.

     

     

     

    La famille perverse narcissique

     

    Il semble difficile de dresser un portrait robot de la famille perverse narcissique.

    Souvent, le trouble pourra être partagé par les parents et s'étendre à certains membre de la fratrie,

    sans que cela ne soit le cas pour tous. Il y a par contre, toujours un dominant au sein de cette famille,

    mais il n'y a pas de membre attitré pour ce rôle. Parfois, le problème peut venir d'un oncle, d'une tante

    ou d'un grand parent.

    Il semble y avoir en revanche, un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres à la famille perverse

    narcissique. On parle de système tribal ou de fonctionnement "en meute",

    car la structure familiale est dominée par un "chef", un pervers dominant.

    Les membres respectent donc une hiérarchie qui les met aux ordres de leur chef.

    Ce dernier a besoin et que l'on l'admire et que l'on l'encense perpétuellement.

    Le rôle des membres d'une famille manipulatrice est donc de servir le chef.

     

    Ces familles représentent de petites sociétés en soi, fonctionnant sur le mode de la pensée unique

    et réglés par des règles rigides. Elles vivent selon des normes comme le goût pour l'argent et les apparences,

    le silence sur soi, la haine de la différence, la xénophobie, l'exclusion de ce qui  n'appartient pas au clan...

    Le fonctionnement d'une famille perverse narcissique se rapproche de celui des sectes.

    Elles veulent donner à croire que leurs membres sont heureux et unis entre eux,

    alors qu'ils sont en réalité tenus par les liens de dépendance.

    L'individualité de chacun a été étouffée très tôt au profit de la personnalité écrasante du chef.

    Le système clanique d'une telle famille exige que son chef désigne un "héritier".

    C'est celui ou celle à qui il va transmettre symboliquement son pouvoir de manipulation.

    Cet héritier ou cette héritière deviendra à son tour plus tard l'homme ou la femme forte du clan.

    Une famille perverse narcissique est un milieu fermé.

    Elle n'a pas d'amis et fuit la compagnie des autres.

    Elle redoute que l'on découvre ce qui se passe dans son huit clos et a peur de se faire démasquer.

    Cette famille dissimule jalousement ses secrets de famille.

     

     

     

    Ce que subissent les victimes

     

    Les victimes de telles familles sont étrangères à leur propre clan, et en deviennent très tôt les esclaves.

    Parce qu'elles refusent d'être au service du chef, elles sont l'objet d'un rejet des autres membres.

    Elles subissent ce que les victimes d'un parent narcissique manipulateur subissent, augmenté par le poids du clan. La blessure de trahison vécue auprès des autres membres de la famille

    dont on aura vainement cherché le soutien, sera cuisante.

    Plus encore que la victime d'un seul parent destructeur,

    la victime d'une famille perverse narcissique vit prisonnière d'un enfer.

    Elle fait face à la perversion vécue comme normale et normative dans un contexte clos où chacun la pratique....

    Le sort des victimes est donc celui des enfants de manipulateurs qui grandissent très tôt dans la peur de leurs

    parents toxiques, de leur harcèlement continuel, de leurs colères, de leurs blessures et de l'humiliation.

    Un parent toxique exerce une véritable emprise sur un enfant en le persuadant très tôt qu'il pense à sa place :

    il fait ainsi de lui son jouet. Dans le cas de la famille toxique, c'est le clan entier qui va se relayer dans ce rôle.

    L'enfant qu'ils auront choisi pour victime sera donc leur bouc-émissaire.

    Il est celui qu'ils choisissent de façon inconsciente pour devenir fou à leur place.

     

     

    Echapper à son emprise.

     

    Comprendre que l'on est issu d'une famille perverse narcissique entière est un chemin difficile.

    Il faut accepter d'être vraiment seul au monde et être capable de se reforger entièrement des repères.

    Plus profondément, cela pose un problème identitaire, relatif à la question de ses origines.

    Des difficultés qui bien souvent, font reculer et atermoient le processus de la prise de conscience.

    De plus il est difficile de fuir ces familles, car elles ne lâchent pas facilement leurs proies.

    Parmi leurs techniques de manipulation, la culpabilité est très employée.

    On en appelle aux devoirs filiaux de la victime, aux liens du sang, si elle décide de prendre ses distances.

    Malheureusement, ce type de manipulation émotionnelle est très fort et fonctionne sur les victimes.

    Faute d'avoir pu se construire, elles restent inconsciemment en quête d 'appuis et d identifications

    dans l'existence. Toutes sortes de justifications peuvent naître en elles pour ne pas rompre alors

    avec cette famille toxique. La plus courante est un faux principe de responsabilité.

    Cela les prédispose à penser qu'elles peuvent "aider" les leurs, au travers d'une dangereuse illusion :

    devenir "le parent de leurs parents".

    Quant aux victimes qui réussissent à fuir courageusement ces familles,

    elles n'en ont pas pour autant fini avec elles !

    Tout comme l'individu, la famille perverse narcissique répugne à lâcher sa proie

    et la poursuit longtemps de sa vindicte.

    Elle tente donc de s'immiscer dans sa vie pour briser tous ses accomplissements personnels :

    son union, son foyer, son travail...

    Il faut s'attendre parfois au pire comme à des attaques en justice sous des prétextes fallacieux,

    car ces  familles sont expertes dans l'art d'instrumentaliser la justice.

    S'il est difficile de "guérir de son enfance",

    il est bien plus compliqué encore de guérir d'une famille perverse narcissique...

    Face à la famille comme face à l'individu rongé par ce trouble, se préserver exige de fuir.

     

    PASCAL COUDERC

     

    Pascal Couderc, psychanalyste et psychologue clinicien accompagne tous ceux  qui désirent se libérer d'une emprise familiale, d'un partenaire narcissique ou d'un supérieur hiérarchique pathologique et manipulateur. Ne restez pas isolés et confiez vos problèmes à un professionnel par Skype ou en cabinet...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Il n'y a aucune fatalité.

    Nul n'est condamné à vivre avec un "faux moi" indéfiniment.

     

     

    Citation....

     

     

    "La fatigue chronique, la répétition de rencontres malheureuses, la colère ou le manque d'estime de soi

    indiquent que notre être profond désire ardemment être libéré de sa prison.

     

    SARAH SERIEVIC.

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

    Pour favoriser l'épanouissement des enfants,

    il est vital de répondre à leurs besoins fondamentaux,

    amour inconditionnel, affection, tendresse physique,

    attention et encouragements,

    sécurité et protection,

    responsabilisation et autonomisation progressive,

    et aussi des limites claires, un cadre ferme et étayant

    pour leur faire comprendre

    les nécessaires règles de la vie en communauté....

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

      

     

    L'enfant thérapeute de sa mère.

     

     

    X a souffert de la DIP (dépression infantile précoce) en raison d'une carence narcissique.

    Il était certes aimé, couvé, hyper protégé, mais pas pour lui-même,

    simplement en tant que petit garçon,

    dans la gratuité du désir.

     

     

    Sa mère, déprimée, donc psychologiquement absente,

    avait un besoin vital de son fils comme prothèse,

    comme antidépresseur pour continuer à se sentir vivante, bonne et utile.

     

     X sorti de sa fonction et de sa place d'enfant,

    empêché de vivre sainement son enfance,

    s'est érigé en enfant thérapeute,

    en parent de sa mère.

     

    Ainsi confronté aux infortunes de sa mère,

    X s'était donné inconsciemment pour mission de la protéger,

    de ne jamais la quitter pour la rendre heureuse.

     

    Plus un enfant est petit et plus il est sensible aux épreuves que ses parents affrontent consciemment.

    Il entreprend surtout d'éponger ce qui les tourmente intérieurement à l'insu d'eux mêmes.

     

    Extrait de "Guérir son enfant intérieur" de Moussa Nabati.

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire