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    On lui livre sa face cachée, ses ombres, ses travers, ses mesquineries.

    Homme ou Femme, il est celui qui écoute sans juger.

    Entre lui et son patient, un lien singulier se noue et une relation parfois complexe peut s'installer.

     

    Un ami ? Certainement pas.

    Un confident ? Oui forcément.

     

     

     

    Pas facile de définir le lien hors norme qui s'établit entre un patient

    et celui désigné le plus souvent par un laconique "mon psy".

    Pourtant le véritable moteur d'une thérapie est ce qui se passe entre patient et thérapeute.

    Cette rencontre humaine qui se joue dans un cadre très précis.

     

    De quoi est donc faite cette singulière relation ?

     

    Le transfert mais aussi son au-delà

     

    Les psychothérapeutes intègrent cette notion de transfert dans leur pratique,

    mais ne limitent pas la relation du patient à ce mécanisme.

    "Il y a aussi un au-delà du transfert, de la tendresse, et un amour sans passion et sans passage à l'acte".

     

    Besoin d'écoute, besoin de cadre.

     

    "Mes parents ne se sont pas occupés de moi.

    Ce qui m'avait manqué, je suis allée le chercher chez les psys".

     

    Le thérapeute est pour beaucoup l'interlocuteur idéal, celui qui enfin accueille, ouvre un espace.

    Ecoutant et capable d'attention sans jugement, le psy est celui à qui on peut livrer sa face cachée.

    C'est donc à l'intérieur d'un cadre plutôt rigide (régularité des séances, temps limité, coût financier),

    que se rencontre la plus grande des libertés.

    Un psy bien formé apprend à ne pas mette ses humeurs, ses sentiments, sa personnalité en avant.

    Un psy est toujours "faussement ami", il garde à l'intérieur de lui la distance bénéfique au patient.

     

    Apprendre la juste distance

     

    Les psychothérapeutes,

    même s'ils n'interprètent pas tous le transfert comme leurs confrères psychanalystes,

    savent bien que ce qui se joue dans la rencontre avec leurs patients est souvent emblématique d'autre chose.

    Le lieu thérapeutique est alors comme une chambre d'échos.

    Grâce aux liens qui se nouent avec le psy,

    une thérapie permet de revisiter toutes les manières erronées ou saines

    que nous avons de nous lier aux autres.

     

    SOURCE : Psychologie.com

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Personne n'a encore jamais réussi à inventer le remède miracle, la solution magique contre la dépression.

    Le manque sur lequel repose la dépression n'est pas concrètement réparable.

    L'attitude la plus saine et la plus salutaire consiste dans un premier temps

    à s'accepter comme déprimé et à changer son regard.

     

     

    Que faire de la dépression ?

     

     

    Il est en effet capital de considérer la dépression, la sienne ou celle de son entourage

    non pas comme une maladie honteuse, mais comme un message de l'inconscient

    signalant une souffrance de l'enfant intérieur.

    Elle contient la promesse de devenir soi,

    celui ou celle qu'on a toujours été mais qu'on n'a jamais osé être, par crainte de nuire de blesser...

     

    Un tel changement de regard favorise un lâcher-prise , une attitude d'écoute et de réceptivité

    permettant ainsi aux émotions refoulées, séquestrées par couches depuis des décennies,

    d'être enfin ressenties et dites à travers les mots.

     

    Plus le déprimé se débat en cherchant à se débarrasser de sa souffrance dans la précipitation et l'urgence,

    plus la dépression s'accentue et lui colle à la peau en se chronicisant dans le temps.

    La dépression lâchera sans que l'on ait à se débattre

    dès qu'on aura entendu son message et compris son sens.

     

    * Il faut cesser d'éponger en "pharmakos", toutes les fautes et tous les péchés tout le mal d'autrui,

    ne plus se sacrifier, s'écraser, en ne disant jamais non, en étant parfait, gentil, sage comme une image

    et modelable pour plaire, pour ne pas se sentir coupable.

     

    * Il faut s'aimer, devenir plus égoïste, se préférer à autrui,

    s'occuper et prendre soin de soi-même comme une gentille mère le ferait de son bébé,

    s'accorder du temps, dépenser de l'argent pour soi, y compris pour des futilités,

    afin de désincarcérer sa libido, d'arroser les plantes de son propre jardin plutôt que celui d'autrui.

     

    * Etre moins sévère, moins exigeant, plus tendre avec soi-même,

    mais plus mauvais à l'égard d'autrui,

    en osant dire non à ceux qui cherchent à nous faire couler.

     

    * Apprendre à se révolter, à désobéir, à refuser d'être passivement conforme aux attentes

    et aux modèles extérieurs afin de découvrir sa vérité profonde et devenir soi.

     

    * Parvenir à se pardonner tout le mal qu'on a subi durant des décennies sans avoir pu réagir,

    tout le mal qu'on s'est infligé pour expier sa culpabilité imaginaire et puis...

    tout le mal qu'on n'a pas fait à autrui.

     

    Extrait du Livre de Moussa Nabatti

    "La Dépression, une épreuve pour grandir."

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Comment faire face à notre propre mort ?

    Comment affronter le départ d'un proche ?

    Qu'advient-il de ceux que nous aimons, après leur mort ?

     

    Nous ne mourons jamais - Bernard Jakoby

    Dans cet ouvrage pionnier, Bernard Jakoby décrit de manière concrète ce qui nous arrive après le mort.

    Il explore systématiquement les recherches les plus récentes et les plus diverses sur la mort :

    expériences de mort imminente,

    retour par hypnose dans des vies antérieures

    et comptes-rendus des médiums communiquant avec l'au-delà.

     

    Tous les témoignages concordent parfaitement et nous apportent des descriptions saisissantes

    de la vie après la mort.

    Les conclusions de l'auteur sont remarquables :

    chacun d'entre nous est immortel et la vie terrestre est une étape du cheminement éternel de notre esprit.

    Après notre mort, nous retrouvons ceux  qui nous ont précédés,

    et nous poursuivons sans cesse notre élévation spirituelle.

     

    Ce livre, clair et précis, est un guide précieux pour découvrir les mystères de l'au-delà.

    Il permet aussi de comprendre le sens profond de notre vie.

     

    --------------------

     

    Bernard Jakoby

     

    Nous ne mourons jamais - Bernard Jakoby

     

    Né en 1957 en Allemagne, Bernard Jakoby est le grand spécialiste allemand

    de la trans communication et des NDE.

    Il est considéré aujourd'hui comme un expert de la recherche sur la mort et l'après-vie.

    Il a participé à nombre de séminaires et conférences en collaboration avec des médecins,

    psychologues et infirmières travaillant dans les services de soins palliatifs.

    Il vit à Berlin.

    Ses livres sont des best-sellers, traduits dans de nombreuses langues.

     

     

     

     

     

     

     

     


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    car le Pervers passe toujours pour quelqu'un de formidable.

     

     

     

    Evidemment ! Ne vous en désolez pas puisque son arme, c'est la séduction.

    Ne tentez pas de convaincre vos amis ou les gens de votre famille. C'est inutile.

    Plus vous tenterez et plus vous heurterez leur logique et crisperez leur refus !

    éliminez les faux amis.

    N'essayez pas de convaincre ceux qui ne vous croient pas.

    Le Pervers Narcissique sera toujours plus fort que vous dans l'adversité.

     

    Le Pervers Narcissique a une force incroyable

    car sans jamais avoir mauvaise conscience, il arrive à déstabiliser sa victime

    jusqu'au plus profond d'elle même, à la limite de la vie et de la mort.

    La victime finit vampirisée, rabaissée,

    n'ayant plus aucune volonté, avec des idées de suicide.

    Sans s'en rendre compte, elle a été prise dans une toile d'araignée.

    Son socle s'est dérobé sous elle.

     

    Source : extrait du site de l'Association française "Poil de Carotte".

     

     

     


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    "La différence dans la façon dont votre mère perçoit les attitudes de votre frère et les vôtres

    est à mettre en rapport avec une rivalité ou compétition entre la mère et la fille.

    Cette compétition est malsaine parce que la mère ne devrait pas en faire partie.

    Il est possible qu'une enfant veuille entrer en compétition avec sa mère. 

    Mais le contraire est abject, pathologique et malheureusement bien trop fréquent.

     

     

    C'est votre mère qui vous a fait croire que vous pouviez être abandonnée.

    Par une omission empreinte d'un soupçon de négligence voire de cruauté.

    Et notre fille pleure alors on la traite d'idiote... C'est la réaction de choix... Brillant.

     

     

    PASCALE CLAIRE - L'ENVOL DU CYGNE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "L'exercice est personnellement difficile et ambitieux :

    il n'est pas toujours évident d'ouvrir le livre de sa vie plusieurs années en arrière,

    dans des moments parfois difficiles et d'en reprendre le fil, jour après jour.

     

     

    C'est loin de toute revendication ou de tout besoin de reconnaissance que j'ai décidé de créer,

    au début de l'année 2005, mon blog personnel. A l'époque, j'avais vingt ans, étais en école d'ingénieurs

    et avais, a priori, toute la vie devant moi. C'était sans compter sur l'immense solitude

    et le profond malaise existentiel que je ressentais au fond de moi...

     

    Le blog aura été pour moi l'espace de liberté et d'expression

    que je n'arrivais pas à trouver dans la "vraie vie", une sorte de prolongement du moi, vivant à mon rythme,

    loin  des contraintes et de la rapidité du monde environnant. Il m'aura permis, dans un premier temps,

    de m'affirmer et d'assumer mon existence avant de servir, finalement,

    de support à l'expression de mes névroses les plus passionnelles : le temps, l'amour la passion, le moi, le nous...

     

    Datés et repris chronologiquement,

    les articles sont parfois accompagnés des commentaires que les internautes, auront bien voulu poster.

    Ces témoignages anonymes assurent, par le nombre et leur pertinence,

    le soutien dont j'ai eu besoin à certains moments clés.

     

    J'ai toujours été assez surpris du succès que pouvait rencontrer mon blog

    d'autant plus qu'il est purement et simplement anonyme pour celui qui aura tapé "blog Annecy" dans Google.

    Je ne me présente que brièvement, je ne dis pas mes goûts, je n'affiche pas de photo.

    Pour ça, je vous adresse mes plus sincères remerciements :

    merci d'avoir soutenu, même dans les pires moments, un jeune homme anonyme, perdu

    et dont le blog était le seul moyen de crier, d'exorciser les démons.

     

    Le fait d'être publié aujourd'hui apporte la dose immense de reconnaissance dont j'avais besoin.

    Ce sentiment qui dit que, malgré le temps que je passe à alimenter mon blog,

    plusieurs dizaines de personnes continuent de le lire régulièrement,

    parce qu'elles retrouvent, dans mes lignes, des fragments de vécu et de sincère.

    Tout ça pour adresser mes plus sincères remerciements à un jeune journaliste

    pour l'intérêt qu'il a porté à mon site ;

    et aussi pour vous remercier, vous qui lisez ces lignes, pour votre soutien sans faille".

     

    MATHIEU ALEXANDRE

    Extrait du livre

    que je vous recommande....

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    J'ai ajouté ce livre à ma bibliothèque

    car il relate l'histoire d'un jeune garçon qui assume mal son orientation sexuelle....

    Il décide alors, d'ouvrir un blog qui lui permet d'exprimer ses émotions,

    de rechercher de l'aide  et de sortir de sa solitude par rapport à sa "problématique"....

     

    La similitude avec mon histoire,

    c'est cette bouée de sauvetage qu'a constituée à un moment donné de notre vie,

    la tenue d'un blog, les réponses et le soutien que l'on a pu trouver

    à travers les commentaires d'autres blogueurs....

     

     

      

    Le Moi Pour Toi

     

    "J'ai créé Le Moi Pour Toi le 31 mars 2005.

    Ce blog s'efforce de retracer au fil des mois, l'évolution de la vie presque ordinaire d'un jeune gay.

    Depuis mes premiers coming-out, en passant par ma première histoire d'amour,

    mes convictions politiques ou même l'enfer d'une rupture passionnelle,

    ce blog m'aura permis de m'affirmer et d'assumer mon existence avant de servir finalement,

    de support à l'expression de mes névroses les plus passionnelles :

    le temps, l'amour, la passion, le moi, le nous"...

     

     

    Auteur du blog Le Moi Pour Toi depuis 2005,

    Mathieu Alexandre est né en 1984. Il a étudié à Orléans puis Annecy avant de s'installer à Lyon.

    Aujourd'hui, ingénieur dans le secteur de l'informatique,

    il continue de raconter son quotidien de garçon presque comme tous les autres.

    www.lemoipourtoi.fr

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Respiration consciente et méditation....

     

     

    La respiration consciente est la base même de la pratique de la pleine conscience.

    En respirant consciemment, je ramène mon esprit à mon corps et, ainsi, je suis vraiment présent.

    C'est précisément en pratiquant cette respiration que nous pourrons développer ce lien d'amitié

    avec notre corps, nos émotions, notre mental et nos perceptions.

    Ce n'est qu'après avoir développé cette véritable amitié avec nous-mêmes

    que nous pourrons procéder aux transformations sur différents plans.

     

    THICH NHAT HANH.

     

     

     


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      Et si vous appreniez à vous accepter physiquement ?

     

    Etes vous en paix avec vous même ?

     

    Un inconnu qui vous fait un compliment, un regard dans le miroir,

    une fluctuation de votre poids ou la simple contemplation d'une photo de vous...

    Pour bon nombre d'entre nous, ces événements du quotidien sont plutôt anodins.

    Pour vous, ils peuvent relever de l'épreuve.

    Et pour cause : le regard que vous portez sur votre apparence, votre mauvaise image de vous

    et tous les complexes qui y participent, vous empêchent d'être en paix avec vous-même.

     

    Si votre entourage les voit parfois d'un œil attendri,

    ces complexes physiques peuvent être, pour vous, très difficiles à gérer, voire intolérables,

    tant vous avez tendance à vivre les situations du quotidien à travers ce prisme déformant.

    Une simple balade dans la rue peut ainsi devenir une véritable épreuve

    tant vous redoutez que l'on vous remarque, vous, mais surtout vos défauts.

     

    À l'origine de ces complexes :

    des blessures parfois bien plus profondes que l'on est prêt à l'admettre.

    En effet, une image négative de soi trouve souvent ses racines dans l'enfance,

    le regard que nos parents ont porté sur nous, la bienveillance qui nous a manqué.

    Loin de la superficialité apparente de quelques kilos en trop, c'est ainsi peut-être l'amour infantile,

    parfois insuffisant ou douloureux, qui s'exprime et vous pousse, des années plus tard,

    à avoir un regard dépréciatif sur celle ou celui que vous êtes devenue.

     

    Sans compter l'impact que ces complexes ont sur votre relation aux autres.

    Après tout, ils ne naissent pas uniquement du regard que vous portez sur vous,

    mais sont aussi dépendants de l'image que les autres vous renvoient !

    C'est en effet le jugement des autres qui est bien souvent à l'origine du complexe physique

    (une moquerie sur un nez trop grand dans la cour d'école, une remarque déplacée d'un proche)

    et des mécanismes de défense qui en découlent

    (« Je n'accepte pas le compliment que me fait cet inconnu car il le fait par pitié »).

    Et malheureusement, l'isolement, le retrait et la méfiance en découlent trop souvent.

     

    SOURCE : TEST PSYCOLOGIE.COM

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La blessure émotionnelle la plus profonde.

     

    Il y a des blessures qui ne se voient pas mais qui peuvent s'enraciner profondément dans notre âme

    et coexister avec nous pour le reste de nos jours.

    L'une de ces blessures émotionnelles parmi les plus profondes est le rejet.

    Elle se met en place très tôt dans la vie de l'enfant.

    Quiconque en souffre se sent rejeté en son for intérieur,

    et interprète tout ce qui arrive dans son entourage à travers le filtre de cette blessure.

    Il se sent rejeté dans certaines situations alors que ce n'est pas le cas.

    Selon Lise Bourbeau, la blessure de rejet est vécue avec le parent du même sexe.

     

    Le Rejet....

     

    Rejeter signifie s'opposer, mépriser ou dénier.

    On peut aussi le traduire par "ne pas aimer" quelqu'un ou quelque chose. 

    Afin d'éviter sa blessure, l'enfant va se créer un masque, celui du fuyant.

    Il n'est donc pas rare, qu'il s'invente un monde imaginaire.

    Il pense ne pas être assez important pour avoir le droit à une place,

    il aura aussi tendance à se croire nul, sans valeur.

    Une des caractéristiques du fuyant est  de se dévaloriser sans cesse.

    Il aura du mal à croire qu'un autre puisse l'aimer. 

    Cette situation l'amène à une recherche constante de la reconnaissance des autres,

    une reconnaissance très difficile à rassasier.

     

    Le fuyant a aussi peur du jugement car synonyme de rejet selon lui.

    En plus de sa peur de prendre trop de place, de gêner les autres,

     il est  pétrifié par le fait de commettre une erreur.

    Afin d'éviter cette peur, il aura tendance à être perfectionniste.

     

    Mais derrière ce masque se cache une personne débrouillarde,

    dotée d'une bonne capacité de créer, d'inventer et d'imaginer.

    Une personne efficace et attentionnée aux détails, apte à réagir et à faire ce qu'il faut

    lorsqu'une situation l'exige.  Elle possède une aptitude particulière à travailler seule et être autonome.

     

    La blessure de rejet se guérit en apportant une attention toute particulière à l'estime de soi.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LA PORTE DU CHANGEMENT

    NE PEUT S'OUVRIR QUE DE L'INTERIEUR...

     

    Jacques SALOME.

     


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  • Un film à voir....

     

     

    Un des meilleurs films des années quatre-vingt-dix,

    Will Hunting est aussi un des rares succès au box-office

    qui se révèle à la hauteur de l'admiration et des récompenses qui lui ont été décernées.

     

    Les jeunes stars Matt Damon et Ben Affleck ont reçu un Oscar pour leur scénario, drôle et percutant.

    Matt Damon joue le rôle d'un homme de ménage au MIT qui se révèle être un mathématicien de génie.

    Des profs de fac alléchés amènent le jeune homme, perturbé et en colère, chez le psychiatre

    (Robin Williams, qui a remporté un Oscar pour son interprétation, très émouvante)

    avec l'espoir de le voir se plier aux exigences de la vie d'étudiant.

     Il s'agit d'une histoire poignante servie par une interprétation remarquable.

     Un drame à multiples facettes :

     L'amitié, les attentes de la société ainsi que les conséquences à long terme d'une enfance brisée

    sont illustrées avec tant de finesse que l'histoire ne sombre jamais dans la lourdeur.

    D'un optimisme à toute épreuve, Will Hunting est exceptionnel

    parce qu'il rend heureux tout en faisant réfléchir. -

     

    Rochelle O'Gorman

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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