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    Quel lien entretenez-vous avec votre mère ?

    Dans l'attente de l'amour maternel...

     

     

    En apparence, vous paraissez vivre d'une façon très indépendante et libérée de toutes pressions extérieures.

    Pourtant, vos réponses révèlent une dépendance psychique qui vous lie à votre maman.

    Elle provient des préceptes maternels qui semblent puissamment ancrée en vous.

    Il est possible que vous ne puissiez pas vous opposer à cette Loi qui fait autorité.

     

    Vous ne pouvez rien refuser à votre mère sous peine de transgresser des règles qui ont régi toute votre vie.

    Pas question de la contrarier, ni de la brusquer.

    Vous préférez parfois acquiescer pour la contenter.

    Au risque de laisser de côté votre propre réalisation personnelle.

    Et cette pensée vous mine.

    Il serait bon de comprendre ce qui vous empêche de contredire votre mère.

    Est-elle autoritaire ?

    N'a-t-elle eu de cesse de vous faire des reproches, de pointer vos manques et vos faiblesses

    par peur de se faire voler sa place de Femme à la maison ?

     

    Si vous avez expérimenté de telles  situations,

    vous avez pu développer un sentiment de culpabilité par rapport aux attentes de votre mère.

    Mais il se peut également que votre comportement soit né du souhait inconscient

    de rester la fille idéale que votre mère désirait tant.

    Quel que soit votre cas,

    vous vous situez toujours dans l'attente maternelle

    tout en continuant de croire en cette mère aimante que vous avez toujours souhaitée...

     

    Test PSYCHOLOGIE.COM

    (Toujours aussi étonnée de la justesse de ces tests...)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La nouvelle réalité est nôtre depuis que nous l'avons conçue ;

    il nous faut maintenant vivre avec elle.

    Elle ne peut être un poids puisque nous la désirons au plus profond de nous ,

    mais il arrive qu'elle dérange une partie de notre entourage qui peut se sentir déstabilisé par elle.

     

     

    Vivre notre nouvelle réalité...

     

    Si notre entourage nous respecte, aucune difficulté ne surviendra.

    Si ce n'est pas le cas, une séparation interviendra.

    Celle-ci peut provoquer de la tristesse mais pas de la douleur,

    car, si notre entourage ne nous respecte pas, nous ne souffrirons pas de nous éloigner.

    Quant à celles et ceux qui nous aiment pour ce que nous sommes et non pour ce qu'ils désirent que nous soyons,

    ils apprécieront notre changement

    qui est la preuve que nous nous respectons et que nous sommes en vie.

     

     

    DR Daniel Dufour - Rebondir

    Vivre notre nouvelle réalité...

     

     

     


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    dependance affective

    Il est certain, en premier lieu,

    que plus un enfant a souffert de carence narcissique,

    a été privé de sa dose de fusion, de façon précoce et massive,

    plus il risquera par la suite de se montrer avide d'affection.

    La pénurie de l'attachement fusionnel naturel primitif maintient le sujet prisonnier du fantôme qui rôde,

    en quête désespérée d'affection.

     

     

     


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    Le but de la vie n'est pas de trouver le bonheur,

    mais de devenir soi,

    celui que l'on est depuis sa naissance mais qu'on n'a jamais eu le courage d'être,

    par manque de confiance en soi.

     

    "Devenir "Soi"

     

    Devenir soi permet tout d'abord de se découvrir une grande richesse intérieure.

    Il serait faux de croire qu'il existe d'un côté des êtres supérieurs, intérieurement riches et intéressants,

    et d'un autre des êtres inférieurs, pauvres d'esprit et rebutants.

     

    La vraie différence consiste en ce que le premier groupe s'autorise à être soi,

    vivant, branché sur son intériorité, confiant en lui-même, sans honte ni culpabilité

    alors que le second s'interdit de croire en ses possibilités et de s'aimer.

     

    D'après le livre de Monsieur Moussa Nabati

    "Le bonheur d'être soi".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    LES ENFANTS SONT TOUJOURS PLUS HEUREUX

    AVEC DEUX PARENTS SEPARES MAIS EPANOUIS,

     

     

    QU'AVEC CEUX QUI S'OBLIGENT A RESTER ENSEMBLE POUR EUX.

     

     

     

     

     

     

     


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    Une personne qui souffre de sentiments de culpabilité dépend de l'opinion des autres.

    Elle vit en fonction de l'opinion des autres.

    Elle éprouve immédiatement de l'angoisse si elle croit qu'on a d'elle une opinion défavorable.

     

    angoisse et sentiment de culpabilité

                                                       

     

    L'angoisse et le sentiment de culpabilité sont frères jumeaux.

     

    Symptômes :

    *sensations d'être toujours fautif

    *peur d'être rejeté, blâmé, critiqué

    *sensations fréquentes ou permanentes d'être rejeté

    *soulagement dès qu'on a la sensation d'être pardonné ou accepté

    *vivre en fonction de l'opinion d'autrui

    *sensation permanente d'avoir des comptes à rendre

    *besoin d'être admiré, de recevoir des marques extérieures d'affection ou d'amour

    *sentiment d'infériorité, de timidité.

     

     

     

     

     


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    Le jardin de la Sylphide

     

     

    LE JARDIN DE LA SYLPHIDE

     

    Pénétrez dans les jardins de la Sylphide,

    elle a tant de choses à dire, à partager...

     

    Elle a des mots pleins la tête, ils virevoltent au fil du temps,

    au vent léger,

    bravant les tempêtes pour finir par se poser en douceur sur ces pages.

     

    Vous toucherez ainsi, du bout des doigts, les contours de son âme...  

     

     

     

     

     

    De très beaux textes écrits par Sylvie Henocq....

    Je vous invite à la rencontrer à travers son blog "BLUEDOLPHIN62"

    qui figure dans mes blogs favoris

     

     

     


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    RESUME :

    On peut avoir plusieurs enfants, plusieurs conjoints, on n'a qu'une mère, et c'est à cette réalité que se heurtent comme à un mur, ceux dont la mère fut mal-aimante, cruelle, nocive. Ceux qui ne trouvèrent jamais en elle les traits de la figure glorifiée par l'imaginaire collectif  des affectueux, une oreille attentive, un tuteur, un refuge pour la  vie, un océan de douceur.

     

    Comment vivre avec ce vide obsédant et incommunicable, faire face à des questions qui ne trouvent pas de réponse "Pourquoi m'a-t-elle traitée ainsi ? " " Que lui ai je fait ?" sous le regard parfois suspicieux ou sévère des bien-aimés, ces chanceux qui ne peuvent pas comprendre ?

     

    Douze adultes, femmes et hommes, ont raconté à Catherine Siguret leur enfance malmenée, dessinant le portrait d'une mère où tous les blessés des origines reconnaîtront la leur. Le psychanalyste Patrick Delaroche décrypte le comportement de ces mères malades, indifférentes, outrancières, psychotiques, sadiques, simplement égoïstes ou un peu tout cela à la fois. Et on lit à rebours que c'est grâce à la parole, loin du silence de l'amour maternel, qu'il est possible de se reconstruire, et de renaître au monde.

     

    MON AVIS :

    Fort heureusement pour moi, je n'ai retrouvé ma mère dans aucune des descriptions transposées dans ce livre,

    tout au plus quelques traits communs avec les mères dépressives.

    Ce livre est très "dure", impensable que de telles mères puissent exister et n'être pas punies....

    Patrick Delaroche ne dit-il pas dans sa post face : "La lecture de ces témoignages m'a procuré un sentiment d'horreur teinté d'incrédulité : comment une mère peut-elle être aussi "méchante"" avec une telle constance au cours de la vie de ses enfants ? Il y a dans ces textes un accent de sincérité authentifié par ces "petites phrases qui tuent" et ne laissent pas de place au doute.

     


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    La dépression et la Mort

     

     

     

    La mort est toujours présente dans la pensée dépressive,

    allant de quelques évocations qui traversent l'esprit de temps à autre,

    à la volonté de mourir, longuement ruminée et préméditée.

     

    Ce peut être une sorte de soulagement face au constat d'échec de vie que crée la dépression ;

    c'est quelquefois le terme d'une souffrance intolérable liée à la pensée de ruine et d'incurabilité ;

    c'est aussi, dans  l 'esprit de certains déprimés convaincus de leur indignité et de leur culpabilité,

    une issue obligée et méritée.

     

    L'idée de mort dans l'esprit du déprimé, peut se limiter à un concept vague, sans précision,

    demeurer une éventualité acceptée, une sorte de sommeil prolongé :

    "si demain je pouvais ne pas me réveiller".

    La pensée peut se concentrer sur les moyens précis de réaliser la mort.

    Enfin l'idée de mort et le passage à l'acte suicidaire peuvent apparaître brutalement et en même temps :

    volonté brutale de mourir qui déborde le sujet

    incapable de prendre le recul nécessaire vis-à-vis de ses propres pensées,

    incapable de différer son projet soudainement apparu.

    Ces suicides étonnent l'entourage par leur caractère imprévu et brutal.

     

    SOURCE : DR HENRI CUCHE ET DR ALAIN GERARD 

    "JE VAIS CRAQUER"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    MANIPULATION MENTALE ET PERVERS NARCISSIQUE.

     

    Manipulation mentale et pervers narcissique

     

    On parle de manipulation mentale lorsqu'un individu exerce, d'une façon ou d'une autre,

    une tentative de contrôle, le plus souvent psychique, sur autrui

    entraînant une déstabilisation des processus décisionnels, de la capacité à juger, du pouvoir d'auto critique.

    Autrement dit, la manipulation mentale est le fait d'obtenir de quelqu'un qu'il fasse ou pense quelque chose,

    sans qu'il ne s'en aperçoive véritablement,

    sans qu'il puisse décoder que sa réflexion est hors service.

     

    LE MECANISME D'EMPRISE PAR UN PERVERS NARCISSIQUE.

     

    Lorsqu'elle vise à exercer une emprise sur autrui,

    la manipulation mentale est l'œuvre d'un manipulateur,

    en psychopathologie on l'appelle un pervers narcissique.

    Rien ne le distingue particulièrement, et si nous croisons son chemin,

    il y a de grandes chances pour que nous le trouvions sympathique, accueillant, intelligent et même cultivé.

    Les manœuvres qu'il déploie sont dissimulées et n'alertent pas.

    ,

    Cette capacité à manipuler n'est donc pas l'apanage de n'importe qui,

    elle est celle du pervers narcissique dont la description a été faite à la fin des années 80,

    notamment par Alberto Eiguier, psychiatre et psychanalyste, dans son livre

    "Le pervers narcissique et son complice".

    Le titre même de l'ouvrage indique la nécessité d'un "autre" sur qui va se déployer la manipulation.

    Ce "complice" doit également avoir certaines dispositions psychologiques qui vont l'amener à se "soumettre".

     

    _____________

    J'ai réalisé aujourd'hui, que j'étais "ce complice".

     

    FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    MERE NEVROTIQUE

     

    Si la mère est névrosée, comment va réagir l'enfant ?

     

     

     

     

     

    L'enfant va se heurter à des contradictions profondes ;

    la mère ne correspond pas au symbole que l'enfant se fait d'elle.

    L'enfant a affaire à une mère qui a peur, qui aime puis cesse d'aimer.

    D'où réaction de l'enfant : angoisse puis réactions contre cette angoisse.

    De toute façon, l'enfant ne peut pas se laisser aller "vers sa mère". C'est évident.

    Il observe des marques extérieures d'amour, mais il ne se sent pas aimé.

    Pour retrouver une sécurité, l'enfant peut :

    * se soumettre pieds et poings liés à toutes les volontés, toutes les tyrannies et tous les caprices de sa mère.

    * Refouler certaines pulsions ; il est évident que l'hostilité, voire la haine, apparaitront rapidement. 

     

    Pierre Daco.

     

     

     

     

                                                                           

     

     

     

     


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