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    Samedi 12 janvier 2019

    Je voulais me faire mon propre jugement, mais pensais vraiment à du charlatanisme...

    J'en suis revenue chamboulée, bouleversée et ébahie et sans pratiquement plus aucun doute...

     

     

    Conférence et contact médiumnique en salle...

    Une expérience pour le moins troublante

     

     

     

    "Ils viennent à moi et je les reconnais.

    Soit, ils se montrent tels qu'ils étaient humains, ou se font ressentir par leurs énergies.

    Ils me parlent et c'est tout.

    Mes ressentis sont divers, selon ce que le défunt veut faire parvenir comme message.

    Je répète tout ce qu'on me dit, tout ce qu'on me montre ou ce qu'on me fait ressentir.

    Je tente d'être le plus juste possible tout simplement".

    JM Cahart...


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    "Ginie venait dans le groupe non pas pour évoluer, mais pour être avec moi.

    Si elle parlait, ce n'était pas pour obtenir mon approbation.

    Elle ne faisait pas partie du groupe, mais du public et elle m'applaudissait

    tandis que je tentais de sauver les autres patients.

    Souvent les co thérapeutes et les autres patients ont observé

    que Ginny se gardait malade pour moi...

     

     

    Témoignage Transfert....

     

    Aller mieux signifiait dire au revoir.

    Elle est donc restée suspendue dans un grand désert,

    pas assez bien pour me perdre,

    pas assez mal pour que, frustré, je la repousse"....

     

    IRVIN YALOM (Dans le secret des miroirs).

     


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    Lorsque nous grandissons, nous acquérons des automatismes et notre pensée analytique et critique se développe.

    Puis nous sommes emportés dans la course perpétuelle induite par notre mode de vie moderne.

    Et peu à peu, le mode "faire" éclipse le mode "être".

    Le mode "être" est une disposition naturelle présente en chacun de nous et depuis toujours.

    La méditation de pleine conscience permet de renouer avec celle-ci et de la développer.

    Méditer n'est donc pas une question de capacité mais une question de volonté.

     

    Est ce que tout le monde est capable de méditer ?

     

    Sur un plan psychothérapique, gardons à l'esprit que ce n'est pas tant ce qui nous arrive

    que la manière dont nous y réagissons qui détermine notre mal être.

    Lorsque nous devons faire face à une situation véritablement difficile,

    que la confusion, l'angoisse et la tendance à vouloir agir impulsivement nous envahissent,

    il est opportun de nous arrêter nous observer.

     

    SOURCE : Savoir pour guérir : la méditation en 10 questions.

    FRANCOIS BOUGOGNON.

     


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    Le journal américain The New York Times a publié il y a quelques temps un article extraordinaire.

    Il rapporte l'histoire d'un combattant de la seconde Guerre mondiale d'origine grecque,

    Stamatis Moraitis, qui partit s'installer aux Etats Unis après l'Armistice. 

    Alors qu'il avait adopté le style de vie américain, avec villa en Floride, deux voitures, trois enfants,

    Stamatis Moraitis apprit en 1976 qu'il avait un cancer des poumons.

    Neuf médecins confirmèrent le diagnostic et lui donnèrent neuf mois à vivre. Il avait 62 ans.

     

     

    Il décida alors de retourner avec son épouse sur son île natale d'Icare, en mer Egée,

    pour être enterré aux côtés de ses ancêtres dans un cimetière ombragé surplombant la mer.

    Stamalis s'installa dans une maisonnette blanchie à la chaux, au milieu d'un  hectare de vignes escarpées,

    sur la côte nord est d'Icare, et se prépara à mourir...

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

     

     

     

    D'abord il passa ses journées au lit, soigné par sa mère et sa femme.

    Lorsque ses amis d'enfance apprirent son retour, ils commencèrent à lui rendre visite chaque après midi

    . Leurs conversations pouvaient durer des heures,

    et s'accompagnaient invariablement d'une ou deux bouteilles de vin du cru.

    "Autant mourir heureux", se disait Stamatis.

     

    Pendant les mois qui suivirent, quelque chose d'étrange se produisit.

    Il dit qu'il commença à sentir ses forces le regagner. Il planta quelques légumes dans son jardin.

    Il ne projetait pas de les récolter lui-même mais il appréciait le soleil, et respirer l'air de la mer.

    Six mois s'écoulèrent, Stamatis était toujours vivant.

    Loin d'entrer en agonie, il avait agrandi son potager et, sentant ses forces revenir,

    il avait aussi nettoyé la vigne familiale.

    S'accommodant de mieux en mieux du rythme de vie paisible de la petite île,

    il se levait le matin quand bon lui semblait,  travaillait à la vigne jusqu'en début d'après midi,

    se faisait  un bon déjeuner puis enchaînait sur une longue sieste....

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

    Aujourd'hui, 35 ans plus tard, il a atteint 97 ans,et il n'a plus le cancer.

    Il ne suivit jamais de chimiothérapie, ne prit aucun médicament d'aucune sorte.

    Tout ce qu'il fit fut de partir pou Icare.

    Le cas de Stamatis Moraitis et de l'île d'Icare,

    est rapporté par un scientifique de la National Geographic Society,

    qui s'est spécialisé dans l'étude du mode de vie des populations bénéficiant d'une longévité exceptionnelle.

    Selon le Docteur Leriadis, qui vit et soigne les habitants  d'Icare,

    leur bonne santé tient à leur mode de vie et aux bonnes relations sociales qui existent entre les habitants,

    mais aussi à une sorte de tisane "le thé des montagnes",

    faite d'herbes  sèches qui poussent sur cette île et qui est consommée en fin de journée :

    il s'agit d'un mélange de marjolaine sauvage, de sauge, de romarin, d'armoise, de feuilles de pissenlit

    et de menthe auquel on ajoute un peu de citron.

     

    Le Docteur Christina Chrysohou,

    cardiologue à la Faculté de Médecine de l'Université d'Athènes,

    a étudié le régime de 673 habitants d'Icare,

    et a constaté qu'ils consomment six fois plus de légumineuses (haricots, lentilles, pois) que les Américains,

    mangent du poisson deux fois par semaine et  de la viande cinq fois par mois

    et boivent deux à trois tasses de café et deux à quatre verres de vin par jour.

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

     

     

     

    A votre santé !

     

    SOURCE :

    Jean Marc Dupuis.

    SANTE NATURE INOVATION

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Quelqu'un qui ne s'aime pas,

    qui pense qu'il ne vaut rien renverra, sans même s'en rendre compte,

    une image négative de lui-même aux autres.

    Il risque d'avoir plein de déceptions dans sa vie relationnelle, ce qui ne fera que confirmer sa croyance.

     

     

    A l'inverse, une personne qui a une bonne estime d'elle-même

    va dégager quelque chose de spécial qui attirera les autres.

    Et c'est valable pour tout !

    Si tu émets des pensées négatives avant un entretien d'embauche, il y a peu de chances que tu sois pris.

    Inversement si tu as confiance ça se passera beaucoup mieux.

     

    la consolation de l'ange - Frederic Lenoir

     

     

     


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    "Le jour où je me suis aimée pour de vrai"

     

      

    Le Jour où je me suis aimée pour de vrai.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment.

    Et alors, j'ai pu me relaxer.

    Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... L'Estime de soi.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle

    n'étaient rien d'autre qu'un signal lorsque je vais à l'encontre de mes convictions.

    Aujourd'hui je sais que cela s'appelle... l'Authenticité.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai cessé de vouloir une vie différente et j'ai commencé à voir

    que tout ce qui m'arrive contribue à ma croissance personnelle.

    Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle... La Maturité.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai commencé à percevoir l'abus dans le fait de forcer une situation ou une personne,

    dans le seul but d'obtenir ce que je veux,

    sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n'est pas le moment....

    Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle .... Le Respect.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai commencé à me libérer de tout ce qui n'était pas salutaire, personnes, situations,

    tout ce qui baissait mon énergie.

    Au début, ma raison appelait cela de l'égoïsme.

    Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle.... l'Amour propre.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai cessé d'avoir peur du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans,

    j'ai abandonné les méga-projets du futur.

    Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime quand cela me plait et à mon rythme.

    Aujourd'hui, je sais que cela s'appelle.... La Simplicité.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai cessé de chercher à avoir toujours raison,

    et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompée.

      Aujourd'hui j'ai découvert... L'Humilité.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir.

    Aujourd'hui , je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.

    Et cela s'appelle.... La Plénitude.

     

     

    Le jour où je me suis aimée pour de vrai,

    j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.

    Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! 

    Tout ceci c'est...  Le Savoir vivre.

     

     

    NOUS NE DEVONS PAS AVOIR PEUR DE NOUS CONFRONTER. DU CAHOS NAISSENT LES ETOILES.

     

     

    KIM ET ALISON McMILLEN.


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    Extrait de "cessez d'être gentil, soyez vrai". Thomas d'Ansembourg

     

    J'ai appris à être un petit garçon sage et raisonnable et à être toujours à l'écoute des autres.

    Parler de soi et de ses émotions n'était pas bien perçu.

    Parler de soi était suspecté d'égocentrisme, de narcissisme, de nombrilisme.

     

    Peut être vous reconnaitrez vous.

     

     

    Si un jour j'étais en colère et que je l'exprimais, j'ai pu entendre :

    "Ce n'est pas bien d'être en colère. Un petit garçon sage ne se met pas en colère.

    Va dans ta chambre et tu reviendras quand tu auras réfléchi."

     

    J'allais réfléchir  avec ma tête qui avait tôt fait de me juger coupable.

    Alors je me coupais de mon cœur en me mettant ma colère dans ma poche 

    et je redescendais racheter l'intégration familiale en affichant un faux sourire.

     

    Si un autre jour j'étais triste et ne savais que faire de mes larmes,

    secoué tout à coup par une de ces lourdes peines qui peuvent s'abattre sur vous

    sans que vous compreniez pourquoi et que j'avais juste besoin d'être rassuré et consolé,

    j'ai pu entendre : "Ce n'est pas bien d'être triste, avec tout ce qu'on fait pour toi !

    Et puis il y en a qui sont bien plus malheureux. Vas dans ta chambre, tu reviendras quand tu auras réfléchi".

    Renvoyé de nouveau !

     

    Je remontais dans ma chambre et le processus rationnel reprenait le dessus :

    "C'est vrai, j'ai pas le droit d'être triste, j'ai un papa, une maman, des frères et sœurs,

    des livres pour aller à l'école et des jouets, une maison et à manger, de quoi je me plains ?

    C'est quoi, cette tristesse ? je suis un égoïste, un nul !"

    De nouveau, je me condamnais ,me culpabilisais, me recoupais de mon cœur.

     

    La tristesse allait rejoindre la colère dans ma poche

    et je redescendais racheter ma place au sein de la famille avec un faux sourire.

     

    ON APPREND TÔT A ÊTRE GENTIL PLUTÔT QU'A ÊTRE VRAI.

     

    Et un autre jour que j'étais tout joyeux, que j'explosais de bonheur,

    j'ai pu entendre cette phrase :

    "Ne te réjouis pas trop  parce que la vie n'est pas si drôle !"

     

     

     

     


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    En vérité, quelles que soient les conditions matérielles,

    l'histoire transgénérationnelle reste à jamais sauvegardée dans le "disque dur" du roman familial.

     

    L'enfant "Phamakos" capte avec ses antennes de petit Martien

    cette souffrance parentale enfouie

    et cherche à guérir l'enfant intérieur déprimé que le parent porte en lui.

     

    Ce genre de dysfonctionnement au sein du triangle père-mère-enfant

    pourrait perdurer durant de nombreuses générations, reproduit indéfiniment.

    Jusqu'au jour où quelqu'un a le courage de se mettre à l'écoute de sa dépression

    en la considérant avec bienveillance,

    comme le miroir et le messager de l'inconscient familial,

    avec la promesse de briser le cercle vicieux et infernal.

     

     

    MOUSSA NABATI

    LA DEPRESSION UNE EPREUVE POUR GRANDIR.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "En général, les relations se construisent par un processus de révélations de soi réciproques.

    Une personne franchit le pas et dévoile certains faits intimes, se mettant ainsi en danger ;

    l'autre rétablit l'équilibre en faisant la même démarche ;

    Ensemble, elles approfondissent leur relation dans une spirale de révélations de soi.

    Si la première reste en plan sans que l'autre se dévoile à son tour,

    leur amitié risquera de battre de l'aile".

     

    IRVIN YALOM.

     

     

     

    Voilà Pourquoi....

    Voilà pourquoi....

    FAUSTINE.

     


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    Rechercher l'amour maternel, la tendresse, l'affection, le réconfort,

    un lien privilégié avec une personne que l'on ne connaît pas vraiment,

    mais qui nous a frappé par sa gentillesse, sa personnalité

    et sur qui nous faisons un transfert affectif.

     

     

    Le Transfert Maternel - définition.

     

     

     

    Voilà ce qu'est le transfert maternel....

     

     


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    Il n'est pas rare que le travail entrepris par un patient

    se répercute sur ses proches.

     

     

     

     

    En pleine mutation,

    il tend malgré lui à faire vaciller l'harmonie de sa sphère relationnelle.

    Si les cabinets des psys étaient équipés d'un SAV, d'un bureau des réclamations à disposition de l'entourage,

    ils n'en finiraient plus de répondre aux mécontents.

    Car mauvaise nouvelle pour tous : une thérapie n'est pas un long fleuve tranquille.

    Ni pour le patient, ni pour son entourage.

    Pas facile de partager la vie d'un "psychothérapisé" ?

    Lorsqu'il vous apprend qu'il va commencer une thérapie,

    mieux vaux savoir d'emblée que cela impactera forcément votre lien.

     

    Première difficulté à traverser, la peur de ne plus être aimé ;

    "les proches savent que ce fils ou cette compagne les aime,

    mais sont aussi conscients de ne pas être parfaits.

    "Que va-t-il raconter sur nous, sur nos défauts", se demandent ils.

    Et en effet, c'est inévitable, leurs oreilles vont siffler !

     

    Autres facteurs  très déstabilisants :

    l'égocentrisme, désormais évident, mis à jour de la personne en thérapie ;

    le processus thérapeutique lui même l'invite à s'écouter, être dans l'hyperconscience de soi,

    revisiter son histoire, familiale notamment...

    Ce qui ne laisse guère de place aux autres et peut provoquer de nouveaux malentendus.

    Ces premiers changements font légèrement évoluer la relation,

    mais surviennent aussi des remaniements plus profonds qui bouleversent l'équilibre installé jusque là :

    le "thérapisé" trop gentil se met à confronter tout le monde....

    (Je confirme. Que de vagues ! - FAUSTINE) 

     

    LE FIGARO

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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