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La cellule familiale est un microcosme où naissent et mûrissent les personnalités,
mais où il arrive parfois qu'elles soient systématiquement battues en brèche et cassées.
Le tyran et le pervers, au masculin comme au féminin, fait régner son ordre,
s'immisce peu à peu dans les relations ou l'identité de l'autre, le phagocyte et le soumet...
Comme débusquer le pervers, repérer ses agissements ?
Comment s'en défendre ?
Comment sauver la relation ou s'en sortir ?
Cet ouvrage offre un portrait du partenaire au profil pervers narcissique,
engagé à détruire plus qu'à construire le couple.
Il explique sur quoi se construit cette relation épuisante et comment s'en défaire,
tant au plan psychologique que juridique.
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"La psychothérapie est avant tout une rencontre avec une intelligence
qui ne règle jamais un traumatisme, mais qui permet de mieux le vivre."
Une définition qui me plait bien.... FAUSTINE.
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"Je caressais le rêve d'écrire le récit de ma vie depuis longtemps, avant même de devenir psychothérapeute.
J'en avais vraiment envie.
Je ne pouvais pas dire exactement pourquoi j'avais ce désir, mais aujourd'hui je le sais :
c'est pour aider d'autres personnes qui souffrent.
Les gens aiment s'identifier à quelqu'un, surtout quand ils vivent un problème.
Ils ont besoin de ne pas se sentir seuls.
C'est ce qui m'a amené aussi, un jour, à devenir psychothérapeute.
On ne choisit pas cette activité professionnelle par vertu.
La plupart des thérapeutes que je connais ont un passé chargé,
un vécu qu'ils ont essayé de comprendre et dont ils veulent tirer profit pour aider les autres.
Le mien est marqué du signe des carences affectives, de l'alcoolisme et de la dépendance.
Ce sont ces expériences qui m'ont amené à travailler sur moi pour m'en sortir.
En 1983, j'ai rencontré la fraternité des Alcooliques Anonymes et j'ai finalement cessé de boire.
Mais où était le bonheur promis ?
J'étais encore très malheureux parce que le problème de fond n'était pas résolu.
Je me sentais vulnérable, isolé, souffrant.
L'abstinence n'avait pas mis fin à cette horrible sensation de vide intérieur que je traînais depuis des années.
Heureusement je n'ai pas rechuté, ce qui aurait facilement pu m'arriver.
Je me suis alors tourné vers la psychothérapie individuelle et vers les thérapies de groupe.
J'ai fait plusieurs démarches en ce sens.
Peu à peu, je me suis découvert et j'ai évolué vers une plus grande ouverture.
Le cheminement était cependant très lent.
Les livres de psychologie se sont accumulés sur les tablettes de ma bibliothèque.
Puis j'ai commencé des études dans cette discipline,
autant par besoin personnel que dans une perspective de réorientation professionnelle.
Il m'aura fallu beaucoup de thérapies, de démarches personnelles,
de remises en question et de réflexion pour m'en sortir.
Peu à peu, j'ai changé des choses en dedans de moi et je suis devenu autonome.
J'ai découvert que je pouvais développer une saine estime de soi
et atteindre l'autonomie affective par des efforts personnels".
DANIEL PIETRO
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"Contrairement à la croyance répandue,
la solitude ne se réduit pas à une réalité extérieure.
Elle est ancienne et intérieure, reflet du vide maternel.
Ce qu'il faut viser, ce n'est pas de se faire entourer, à n'importe quel prix,
de boucher un trou, mais de s'habiter soi-même,
d'abord, pour ne plus dépendre des autres comme un nourrisson, mais les désirer en tant qu'adulte.
D'ailleurs, si le besoin fait peur et éloigne, le désir rapproche".
SOURCE
Mr Moussa Nabati
Renouer avec sa bonté profonde.
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Tout le monde trouve que votre mère est géniale, qu'elle a bien du mérite...
Vous seule savez à quel point elle a envahi ou déserté votre enfance
et dans quel état vous met le moindre de ses coups de fil ?
Vous seule souffrez dans votre chair et dans votre vie de l'ombre nocive de celle que tout le monde apprécie.
Vous seule la percevez auréolée d'un halo de cruauté, de passion, de férocité ou de dangerosité.
Une perception fantasmatique certes, mais juste, qui concerne votre réalité psychique d'enfant.
Et c'est une réalité intime qui vous creuse et vous conduira peut être un jour chez un psy...
SOPHIE CARQUAIN MARYSE VAILLANT
RECITS DE DIVAN, PROPOS DE FAUTEUIL
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Je n'ai pas les mots pour dire ma solitude, ma tristesse ou ma colère
Je n'ai pas les mots pour dire mon besoin d'échange, de compréhension, de reconnaissance,
Alors je critique, j'insulte ou je frappe.
Alors je me pique, je picole ou je déprime.
THOMAS D'ANSEMBOURG.
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Bien que dérangeante,
la scarification n'en est pas moins apaisante,
et agit comme un fusible pour ne pas franchir le pas fatidique.
La douleur ressentie est une présence réconfortante, un compagnon,
qui face au malaise psychique permet de ne pas se sentir seul.
Addictive, la scarification comble un vide existentiel, calme la colère, la peine qui vous submergent.
La douleur physique étouffe la douleur psychique.
FAUSTINE.
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La dépression infantile précoce,
éloignée du champ de la parole et de la conscience,
mais conservée intacte dans les catacombes de l'inconscient,
jaillit comme un volcan à l'occasion du choc que provoque une contrariété,
porteuse de la même signification inconsciente que le désamour subi dans l'enfance.
La DIP est susceptible de sommeiller ainsi des années durant,
parfois vingt, trente ou quarante ans,
avant de resurgir sous l'effet d'un quelconque facteur déclenchant.
Le passé exhumé inonde alors le présent.
MR MOUSSA NABATI - Le bonheur d'être "soi".
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Etre aimé, s'aimer, aimer
sont les trois étapes de la démarche des patients qui viennent consulter pour dépasser leur mal-être.
Le patient vient en thérapie poussé par un mal être et une forme de souffrance.
Lorsque le travail psychothérapeutique permet enfin de toucher le cœur de cette souffrance,
on atteint un noyau d'une expérience des plus douloureuses qui soit,
où la personne se ressent comme ayant été privée de ce dont elle avait le plus besoin : être aimée.
Ce qui peu alors aider le patient à se sentir en sécurité et en confiance,
ce qui peut faire éprouver qu'il est pleinement accueilli et accepté,
ce qui l'encourage à affronter les traumas qu'il a subis,
c'est l'attitude aimante du thérapeute.
C'est la condition nécessaire (mais non suffisante) pour que le processus thérapeutique puisse se développer,
pour qu'un lien nourricier puisse se tisser entre le patient et son analyste
et pour que la thérapie arrive à exercer sa fonction réparatrice.
Un amour qui guérit
Jenny Locatelli
Edmond MARC.
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Tu deviens un grand sportif en t'entrainant.
Et tu deviens un bon être humain en posant le plus souvent possible des actes de bonté,
de justice, de partage, de pardon, de courage, de confiance, de bienveillance, etc.
C'est ce que les philosophes grecs appellent la pratique des vertus.
A l'inverse, tu deviens vicieux à force de poser des actes négatifs, qui te font régresser sur le plan humain.
La vertu et le vice se cultivent.
FREDERIC LENOIR -
la consolation de l'ange
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L'enfant face à la détresse de son parent, va vouloir combler ou réparer ses blessures.
Le parent MPN va utiliser la culpabilisation, le chantage affectif, le chantage au suicide
et sa position de victime pour obtenir l'aide et le soutien de son enfant.
Celui-ci se retrouve donc enfermé dans un lien de dépendance,
tiraillé entre son envie d'aider son parent et son incapacité à le faire,
car un parent MPN n'a aucun intérêt à aller mieux et à reconnaître l'aide de son enfant.
La peur de ne "plus" être aimé par son parent, de le décevoir,
la peur qu'il mette ses menaces de suicide à exécution vont placer l'enfant dans un rôle qui n'est pas le sien.
JULIE ARCOULIN.
D'après ce livre que je vous recommande vivement...
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