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FAUSTINE
"AVANT JE SUBISSAIS, MAINTENANT JE DECIDE.
OR, LA JOIE DE VIVRE VIENT DU SENTIMENT DE CREER SA VIE ET DE S'APPARTENIR"
Patricia DELAHAIE
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32 commentaires -
Un adolescent qui commet un acte suicidaire, "réussi ou non",
ne va jamais bien, même si l'entourage prétend parfois
qu'il n'a rien vu venir, qu'il n'y a aucune explication à son acte.
Ainsi, certains suicides demeurent mystérieux, incompréhensibles pour les proches,
mais ils viennent toujours révéler un mal être qui n'a pas pu être exprimé.
Le passage à l'acte est souvent précédé de signes divers auxquels il faut prêter attention :
troubles du sommeil ou de l'appétit, fatigue, changement de comportement
(fugue, consommation excessive de tabac, d'alcool ou de drogue..).
Tous ces symptômes peuvent traduire une souffrance qui ne parvient pas à se dire.
Reconnaissons qu'il n'est pas toujours aisé de les déchiffrer.
Nulle tentative de suicide ne soit être prise à la légère.
Même si les moyens utilisés paraissent anodins, l'acte ne l'est jamais.
Il vient toujours dire le mal être ou plus exactement,
le désir d'en finir avec ce mal être, plutôt que d'en finir avec la vie.
L'adolescent tente de se suicider pour mettre fin à une souffrance jugée insupportable,
plus que pour se tuer lui-même, oubliant parfois que la mort risque d'être au rendez vous.
Professeur Marcel RUFO.
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Conférence du 30 janvier 2020
La thérapie par les bols tibétains ou bols chantants,
est une technique de thérapie utilisée depuis des millénaires dans la région de l'Himalaya
et dans d'autres parties d'Asie.
Elle fait appel aux sons et à leurs vibrations pour agir sur notre corps.
Les bols tibétains sont composés de sept métaux :
cuivre étain, fer argent mercure plomb et or.
Ces "sept" métaux font aussi référence aux sept chakras, aux sept planètes,
aux sept jours de la semaine, aux sept éléments...
Ils peuvent être natures, gravés à la main ou gravés à la machine.
On parle de bols tibétains mais ils sont fabriqués artisanalement au Népal,
faits à l'ancienne et martelés à la main.
Des chamanes les ont apportés dans l'Himalaya et les moines bouddhistes les ont adoptés.
Ce sont des instruments sacrés.
Notre corps est principalement constitué d'eau : c'est sur elle que les bols vont jouer.
La pratique des bols tibétains repose sur la certitude que le stress et les énergies négatives
amènent de mauvaises vibrations dans notre corps.
Malheureusement ces vibrations ne font pas que passer, nos cellules les emmagasinent.
La manipulation des bols agira sur l'eau que contient notre corps.
L'eau transmettra alors ses vibrations à nos cellules, qui finiront par vibrer au rythme du chant du bol.
Le son provoque des vibrations qui envoient de l'énergie... Les vibrations agissent sur les cellules.
Ils agissent sur le physique, sur le mental et sur le spirituel.
Les soins par les bols tibétains apportent équilibre, bien être, auto guérison, santé,
force de vie, paix, inter éveil, ressource émotionnelle ;
Ils rétablissent le flux énergétique.
Quand on fait vibrer un bol, on équilibre et recentre les chakras*.
Les sept chakras principaux sont les sept centres d'énergie.
Ils sont situés le long de la colonne finissant au cerveau, du périnée au sommet du crâne.
Chakra couronne
Chakra du troisième œil
Chakra de la gorge
Chakra du cœur
Chakra du plexus solaire
Chakra sacré
Chakra racine.
Les bols sont récepteurs, émetteurs et amplificateurs d'énergie.
Chacun y réagit différemment.
On peut aussi l'utiliser pour nettoyer la maison des mauvaises énergies.
On distingue le son "frappé" et le son "chanté".
son chanté
son frappé
Certains sont utilisés dans le massage du corps (5 métaux seulement). Le cuivre entre dans le corps.
Autres présentations au cours de cette conférence :
Les bols de cristal ont été découverts dans les années 90.
A l'origine ce sont des creusets de laboratoire (préparation pharmaceutique)
Ils sont faits avec de la poudre de quartz naturel que l'on chauffe.
Les Cymbales suspendues (or et mercure)
Le Gong
Les tambours Chamaniques
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...ou La réparation du Karma familial....
Les soi-disant "moutons noirs" de la famille sont, en fait,
des chercheurs nés de chemins de libération pour l'arbre généalogique.
Les membres de l'arbre qui ne s'adaptent pas aux normes et aux traditions du système familial,
ceux qui, depuis tout petit, cherchent constamment à révolutionner les croyances,
allant à l'encontre des chemins marqués par les traditions familiales,
ceux critiqués, jugés et même rejetés,
sont généralement appelés à libérer l'arbre d'histoires répétitives,
qui frustrent des générations entières.
Les brebis noires, celles qui ne s'adaptent pas, celles qui crient rébellion,
réparent, désintoxiquent et créent une nouvelle branche...
Innombrables désirs réprimés, rêves non réalisés, talents frustrés de nos ancêtres
se manifestent dans leur rébellion à la recherche de réalisation.
L'arbre généalogique, par inertie, voudra continuer à maintenir le cours castrateur et toxique de son tronc,
ce qui fait de sa tâche un travail difficile et conflictuel...
Mais que personne ne vous fasse douter ! ...
Prenez soin de votre "rareté" comme la fleur la plus précieuse de votre arbre...
Vous êtes le rêve réalisé de tous vos ancêtres....
BERT HELLINGER.
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"Il y a un certain nombre d'années, avant que je ne rencontre la psychanalyse,
une amie chère me dit à propos de son analyse :"ça m'a sauvé la vie !".
J'en fus interloquée. Quoi ?
Comment cette amie d'enfance que j'avais toujours admirée
et à qui tout semblait réussir pouvait-elle avoir besoin d'être "sauvée" ?
Et comment son psy sur la base de simples échanges de paroles, pouvait-il avoir contribué à ce sauvetage ?
Sauver la vie ?!
L'expression était forte, ce n'était pas simplement : "ça m'a aidée à passer un moment difficile".
Non, cette jeune femme brillante et marquée en apparence du sceau de la réussite
avait dit "ça m'a sauvé la vie !". C'était invraisemblable !
Il m'a fallu à mon tour avoir besoin d'entreprendre une analyse,
puis commercer une pratique d'analyse pour me remettre de mon étonnement initial.
Aujourd'hui je voudrais apporter mon témoignage.
Témoigner de l'incroyable expérience et du formidable parcours qu'est une cure analytique.
Oui, une analyse, ça peut sauver la vie ! En tout cas ça vous change la vie.
Comment ?
Comment, se demandera t-on, une pratique basée sur la parole peut elle avoir des répercussions sur votre vie,
votre façon d'être avec les autres, votre corps, vos pensées, votre caractère ?
Celui qui a été au bout de son analyse sait au plus intime de lui-même, de sa chair, de sa vie
que l'analyse est une expérience qui vaut la peine d'être tentée, d'être vécue,
qu'il y a un avant et un après,
qu'il n'est plus, au terme de son parcours analytique,
ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre,
que les choses ont changé pour lui, que sa vie s'en est trouvée transformée
parfois de façon discrète et pourtant de façon radicale"
.
"L'EFFET DIVAN"
Valérie BLANCO.
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Prenons l'image d'une forêt dense.
Nous souhaitons la traverser.
Alors nous tentons de nous faufiler parmi les ronces et les broussailles,
en nous égratignant et en forçant le passage.
Au premier essai, nous avancerons peu.
A la deuxième tentative,
une percée est déjà entamée et un sentier commence à se profiler.
Puis, un chemin plus praticable s'ouvre devant nous.
Puis, si nous continuons à emprunter ce tracé, nous le verrons devenir une petite route,
puis une route plus large...
Jusqu'à un autoroute ? Pourquoi pas !
Voilà ce qui se passe dans nos cerveaux face à une nouvelle expérience.
J.S.F
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Les maux du système nerveux autonome.
Les déséquilibres du système neurovégétatif
expriment notre difficulté à relier en nous le conscient et le non conscient.
Ils nous disent que notre non conscient a de la difficulté à gérer les sollicitations
qui viennent du monde extérieur et notamment les émotions.
Toutes les manifestations de la fameuse spasmophilie comme les tremblements,
les tics dits "nerveux", les nausées, les migraines, les crampes, les crises de tétanie
sont les expressions de cette difficulté intérieure à maîtriser et à répondre correctement
aux sollicitations du monde extérieur.
L'hyperthyroïdie (yang) ou l'hypothyroïdie (yin), par exemple,
sont souvent les signes d'une impossibilité à dire ou à faire ce que l'on voudrait.
Personne ne peut nous comprendre,
nous n'avons pas les moyens de faire "passer" ce que nous croyons,
nous avons peur de la non acceptation par l'autre de ce que nous voudrions dire,
nous avons peur de la force ou la violence de ce qui pourrait sortir.
Il y a toujours derrière cette non expression,
une notion de risque, de danger, qui nous fait arrêter, retenir l'expression.
MICHEL ODOUL
DIS MOI OU TU AS MAL JE TE DIRAI POURQUOI.
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"Ma fille est sous l'emprise d'une thérapeute".
"Fin 1999, j'avais 41 ans , mon simulacre de vie de couple me rendait de plus en plus malheureuse,
et mes enfants, Lily 17 ans et Rémy, 19 ans, étaient en souffrance.
J'avais besoin d'aide pour les accompagner eux aussi.
Une connaissance m'a recommandé une thérapeute formidable !
Je n'avais aucune confiance dans ce que je ressentais et j'étais persuadée que l'autre
-à plus forte raison s'il était spécialiste- saurait mieux que moi.
Cette femme m'a accueillie avec gentillesse et douceur, et a proposé de m'aider.
J'ai accepté en confiance et suis allée la consulter chaque semaine, à cent vingt kilomètres de chez moi.
Assez vite, je lui ai également amené mes enfants. Rémy l'a très peu vue, mais Lily a apprécié,
elle s'intéressait aux médecines alternatives et l'a rencontrée plusieurs fois.
Après avoir suivi une courte formation, Lily a été embauchée comme assistante par ma thérapeute,
qui, en plus de s'intituler conseillère en Fleurs de Bach, se pique de Kinésiologie, de décodage généalogique et de réflexologie.
Elle l'a même hébergée chez elle pendant trois mois, le temps qu'elle trouve un appartement.
Nous en étions ravies toutes les trois ! A partir de cette période,
nous terminions mes séances par un petit resto toutes ensemble, auxquels se sont vite ajoutés réveillons,
et de courtes vacances au bord de la mer... Nous ressemblions à un groupe d'amies.
Lily a rencontré un compagnon, et moi, puisque les enfants volaient de leurs propres ailes, j'ai eu la force de quitter mon mari.
Les consultations se sont légèrement espacées,
mais je faisais tout de même le trajet pour nos soirées resto qui, finalement, devenaient des séances de thérapie de groupe.
Je souhaitais ardemment continuer à progresser, même si j'étais gênée que Lily participe à toutes mes séances,
d'autant plus que la thérapeute me "décodait" une nature de plus en plus sombre, ce qui faisait de la peine à ma fille.
Quand je me suis ouverte de ma gêne à la dame, elle m'a renvoyée à mon "orgueil"...
Elle se définissait comme "un être d'amour et de lumière", une personne fragile et délicate,
remplie d'un grand savoir que beaucoup lui enviaient.
Je faisais, selon ses dires, partie de ces envieux que,
dans sa grande bonté, elle continuait malgré tout d'accompagner vers sa lumière.
Consciente de mes imperfections, je la croyais et m'attelais avec encore plus d'ardeur à vouloir évoluer.
Jeu de séduction et rivalité.
En 2010, je suis venue m'installer dans la région pour faciliter mon évolution en fréquentant davantage le groupe.
La thérapeute, chez qui j'ai été hébergée à mon tour pendant plusieurs mois le temps de trouver un logement,
a, par un jeu de séduction, instillé une rivalité entre nous.
Nous voulions toutes lui plaire, la satisfaire, obtenir son approbation, même au détriment de ma relation avec ma propre fille,
je dois le reconnaître avec une grande tristesse.
Lily a commencé à avoir des problèmes physiques : elle souffrait de tremblements et d'un strabisme fluctuant.
De mon côté, je me sentais de plus en plus ressembler au "monstre" que ma thérapeute voyait en moi.
Malgré mes efforts, je n'arrivais pas à évoluer selon ses critères. Je ne savais plus comment me comporter...
Lorsque je me rendais au cabinet, tout geste d'affection envers Lily m'était interdit, je me sentais devenir une étrangère.
Après s'être "décodé" une lignée royale, et à moi une famille incestueuse, la dame a annoncé pouvoir "sauver" ma fille.
Elle s'est érigée en père et mère pour elle et a décrété que c'est Lily qui lui donnerait une descendance digne...
Je ne savais plus que penser.
Moi qui étais un être sans cœur, un animal, une mauvaise mère, avais je le droit de réagir ?
Dans le même temps, je réalisais qu'elle s'appropriait mes anecdotes personnelles.
Elle était en train de voler ma fille, et aussi ma vie.
Un jour, elle a dit à Lily : "il serait temps que tu voies ta mère comme elle est."
Quelque chose s'est réveillé en moi.
J'ai entendu un hurlement du fond de mes entrailles. Quelque chose s'est réveillé en moi, mais je n'ai rien dit.
A cette époque, elle a encouragé Lily à quitter son compagnon et, dans la foulée, elle lui a fait tourner le dos à tous ses amis.
J'étais de plus en plus épuisée. Au moment de partir en vacances ensemble, en mai 2013,
j'ai rassemblé tout mon courage pour annoncer en pleurant que je n'avais pas la force de me joindre à elles.
La thérapeute y a vu une preuve supplémentaire de mon refus d'évolution.
C'est la dernière fois que j'ai mis les pieds au cabinet.
A partir de ce jour-là, elle a refusé tout échange avec moi, plus de rendez vous, plus de réponse à mes messages,
j'ai été "ghostée", et la consigne a été donnée à Lily et à l'autre assistante d'en faire autant.
Pendant longtemps, j'ai été convaincue qu'elles se protégeaient de moi parce que j'étais mauvaise.
J'ai continué à donner des nouvelles de temps en temps, par texto et par mail, sans réponse.
Je suis allée voir Lily, pour lui dire que je voulais comprendre.
Elle m'a répondu que la thérapeute m'avait donné tout ce dont j'avais besoin pour évoluer, qu'il n'y avait rien à ajouter.
Par la suite, j'ai rencontré des personnes qui m'ont réellement aidée.
J'avais un chagrin immense, et ces gens m'ont permis d'entendre puis d'accepter que je n'étais pas un monstre,
un "animal" sans cœur, et que j'avais été manipulée.
Lily a 33 ans aujourd'hui.
Elle est seule, sous l'emprise de cette personne qui, plus encore qu'un clone,
en a fait une projection de l'être parfait qu'elle croit être elle-même.
Elle travaille pour cette femme six jours sur sept, et ne vit que pour et par elle.
Sa santé s'est sérieusement détériorée, mais on l'a persuadée que tout son mal vient de moi.
Elle refuse donc que je la contacte de quelque façon que ce soit.
Petit à petit, ma vie se remet en marche, mais je garde en moi cette grande faille, ce gouffre, quand je pense à Lily et à sa vie.
Je sais que chacun doit vivre ses expériences et que nous devons laisser nos enfants libres de leurs choix.
Mais qu'elle peut être notre action lorsqu'ils sont sous l'emprise de quelqu'un qui les manipule ?
Comment pouvons nous les aider à réaliser qu'ils sont en danger alors qu'ils portent leur bourreau aux nues dans un aveuglement et une soumission absolus ?
Où se situe la frontière entre le respect du libre arbitre et la non assistance à personne en danger ?
Jusqu'où devons nous rester impuissants ?
SOURCE : PSYCHOLOGIE.COM
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Mathieu Ricard est un docteur en génétique cellulaire,
un moine bouddhiste tibétain,
un auteur et un photographe.
Il réside actuellement au monastère de Shéchèn au Népal.
Il voyage en Inde pour la première fois en 1967,
où il rencontre des maîtres spirituels tibétains.
Après sa thèse en génétique cellulaire à l'Institut Pasteur,
il décide de s'établir dans l'Himalaya où il vit depuis 1972, étudiant et pratiquant le bouddhisme tibétain.
Il devient moine en 1979.
En 1980, il rencontre pour la première fois le Dalaï Lama,
dont il devient l'interprète pour le français à partir de 1989.
Il consacre l'intégralité de ses droits d'auteurs à 130 projets humanitaires
menés à bien au Tibet, au Népal et en Inde.
Il photographie depuis 40 ans les maîtres spirituels, la vie dans les monastères,
l'art et les paysages du Tibet, du Bhoutan et du Népal.
Depuis 2 000, il fait partie du Mind and Life Institute,
qui facilite les rencontres entre la science et le bouddhisme
et il participe activement à des travaux de recherche
qui étudient l'influence de l'entraînement de l'esprit à long terme sur le cerveau.
Mathieu Ricard est également un homme engagé pour la protection de la nature et des animaux
et végétarien depuis plus de 40 ans.
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Pourquoi perçoit on les choses différemment ?
Pourquoi souffre t-on plus que les autres ?
Pourquoi trouve t-on refuge dans la solitude ?
Pourquoi observons nous et sentons nous les choses que, généralement, les autres ne remarquent pas ?
20 % de la population est hypersensible mais ce n'est pas un défaut.
L'hypersensibilité est un don,
un outil qui peut vous permettre d'approfondir les choses
qui ont la capacité d'arriver à ce point vital d'apprentissage.
Les dons de la personne hypersensible :
Dès leur plus jeune âge,
certaines personnes sont capables de percevoir certains aspects de leur vie quotidienne qui feront naître en elles angoisses et contradictions.
Leurs yeux capteront des choses dont les adultes ne tiennent même pas compte ;
la frustration de leur maître d'école, l'inquiétude de leur mère...
Ils verront le monde avec leurs yeux d'enfant,
mais d'un enfant qui s'ouvre précocement au monde des émotions
et ce sans savoir ce qui est à l'origine de la souffrance que les adultes ressentent.
Votre connaissance des émotions exige aussi de vous
que vous sachiez vous protéger et prendre soin de vous.
Le don d'apprécier la solitude.
Les personnes hypersensibles ressentent un certain plaisir quand elles sont seules.
Ce sont des personnes créatives qui aiment écouter de la musique, lire...
Le don de mener une vie où tout part du cœur.
Personne ne vit plus intensément l'amour,
personne n'apprécie autant les petits gestes quotidiens, l'amitié, la tendresse...
Elles se sentent vulnérables face au stimuli du monde extérieur, au comportement des autres.
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La dépendance affective.
La dépendance affective débute très tôt, alors que l'enfant vit un manque affectif avec un parent.
L'affection qu'il recherche ne lui est pas apportée par ce parent.
L'enfant croit que ce manque lui est imputable,
c'est à dire qu'il n'est pas assez aimable pour avoir de l'attention, de l'amour.
Pour survivre à la douleur qu'il vit, il décide d'adopter un comportement qui n'est pas le sien.
Il tente de devenir ce qu'il croit que son parent aimerait qu'il soit
ou il se révolte et devient le contraire de ce que ce parent aimerait.
Il se trouve un dérivé physique par exemple un aliment sucré ou un jeu vidéo
qui lui apporte une illusion de plénitude pour remplir le vide ressenti par son manque d'estime de lui-même.
Voilà pourquoi, devenu adulte, cet enfant continue de chercher l'amour à l'extérieur de lui
et développe des dépendances physiques.
Nous savons donc que cette personne vit un manque profond au niveau de l'amour et de l'estime d'elle-même.
La personne dépendante est en général une personne hyperémotive ;
elle vit beaucoup d'attentes, d'émotions et de peurs.
Elle sent un vide important et recherche inconsciemment la présence constante des autres.
Il est impossible de recevoir toujours d'autrui une attention continuelle et même si elle l'obtenait,
sa satisfaction ne serait que temporaire, puisque c'est toujours à recommencer.
En plus d'être dépendant de la présence et de l'attention des autres,
on peut dépendre des compliments ou de la reconnaissance des autres pour se croire aimable.
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