• Relisez cet article quand vous n'aurez pas le moral.

     

     

     

     

    Relisez cet article quand vous n'aurez pas le moral.

     

     

    * Vous représentez forcément quelque chose pour une personne de votre entourage.

     

    * Votre sourire peut rendre quelqu'un heureux même s'il ne vous connaît pas.

     

    * Chaque soir, quelqu'un pense à vous avant de s'endormir.

     

    * Si quelqu'un semble vous haïr, très souvent, c'est seulement pace qu'il veut vous ressembler.

     

    * En moyenne, au moins douze personnes que vous connaissez vous aiment à leur manière.

     

    * Même quand vous faites la plus grosse erreur de votre vie, quelque chose de bon en ressortira.

     

    * Lorsque vous sentez que le monde se braque contre vous, essayez de regarder les choses

    avec  un nouveau regard et vous comprendrez que ce n'est tout simplement pas le cas.

     

    * Si une nouvelle opportunité apparaît, prenez la ;

    et si toute votre vie change à cause de cela, laissez la se produire.

     

    * Personne n'a dit que la vie allait être facile, mais on peut vous promettre qu'elle vaut le coup.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « Là aussi, tout est ditQuizz du Week End - Question 2 »
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  • Commentaires

    1
    Jeudi 12 Mai 2016 à 20:20

    Bonsoir,

    ce texte est très profond et nous incite à méditer sur nous même .

    Nous ne prenons plus nécessairement le temps de regarder au tour de nous, d'écouter , d'observer les autres . Je crois même que nous ne voyons même plus les autres, la faute à qui ? la faute à quoi ? Sans doute un peu de tout , un peu de nous, un peu des autres, un peu de la société, un peu de l'époque .......

    Tu as raison de dire qu'il faut avoir un nouveau regard, c'est à cette seule condition que nous parvenons à ouvrir réellement les yeux et à voir enfin autour de nous .

    Que la vie ne sera pas facile, c'est une certitude , c'est une évidence , Mais qu'elle vaille le coup d'être vécue c'est une évidence totale . Même si beaucoup n'y croient plus aujourd'hui

     

     

    claude

      • Jeudi 12 Mai 2016 à 20:56

        Bonsoir Claude

         

        Nous ne prenons plus le temps de regarder autour de nous, mais personne ne prend plus le temps de rien.

        Les gens ne discutent plus, travaillent, courent sans cesse.

        Beaucoup de confort matériel, voilà ce que nous apporte cette époque, mais les relations aux autres en souffrent...

        Je te souhaite une bonne soirée... musicale je suppose.

        BIZZ FAUSTINE.

    2
    Jeudi 12 Mai 2016 à 20:36

    Bonsoir Faustine,

    Merci pour ce texte qui redonne espoir et confiance en soi.

    Amitiés,

    Sérénita

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    3
    Vendredi 13 Mai 2016 à 10:36

    C'est super de pouvoir communiquer ainsi son expérience, en ayant le courage de montrer ses faiblesses. En fait, en traversant les épreuves, on en ressort plus fort et c'est ça qu'il faut retenir ! Et c'est faire preuve de générosité que de partager, de témoigner... L'hypersensibilité est aussi un atout qu'il faut apprivoiser, j'en sais quelque chose !

    Merci

    Bizz

    Isa

      • Vendredi 13 Mai 2016 à 18:07

        Merci Isa.

        Je suis allée sur ton blog, bien utile. Tu as un joli métier, fatigant avec des petits de maternels mais certainement intéressants. Merci de ton passage par chez moi. Bon week end. BIZZ FAUSTINE.

    4
    Lundi 16 Mai 2016 à 10:52

    Bonjour Faustine,

    Je peux te dire que quoi qu'il se passe dans ta vie, elle vaut quand-même le coup d'être vécut! Il faut se servir de son passé pour aller de l'avant si non, tu t'enlises... Amicalement, Ghislaine.

      • Lundi 16 Mai 2016 à 11:11

        Bonjour ghislaine,

        Mon passé je le découvre et le comprends seulement depuis un an. Et les problèmes sont encore bien présents et j'apprends à me protéger et me défendre. C'est  difficile mais j'avance.

         J'irai poursuivre la lecture de ton blog, il y a beaucoup à apprendre.

        A bientôt

        BIZZ FAUSTINE.

    5
    Lundi 16 Mai 2016 à 11:42

    Si cela peut t'aider à te sortir de ce marasme de souvenirs qui retient ta vie et la tire en arrière, alors, vas lire et dis-toi qu tu peux t'en sortir et y arriver si tu choisis de  ne pas te taire mais au contraire, de vider ton sac à la face du monde comme je l'ai fais. Il faut que le NET serve à quelque chose d'utile et ta vie est précieuse et utile! j'ai des moments de cafards: je ne le nie pas; mais je me secoues et reprends le dessus en e disant que la vie ça n'est pas uniquement être prisonnière de son passé! J'ai longtemps, petite fille de 7/8 ans, pleuré ma maman qui m'avait placé en internat pour faire sa vie... A l'époque, c'était mon dieu ma maman et je pleurais d'être séparée d'elle trop longtemps! j'en ai beaucoup soufferts! Il m'a fallu du temps avant de pouvoir exorciser la peine, la colère et ce sentiment d'abandon que je ressentais. Pour toi, je vais te mettre ce poème qui reflète ma détresse et la haine que j'ai éprouvé par la suite au fur que je n'étais pas dans ses jambes pour l'empêcher de vivre sa vie comme elle l'entendait. Avec toute ma compassion et mon amitié, Ghis.

     

    La mère qu'elle n'a pas été

    (Histoire vécue)



    Femme et mère, jeune encore et souvent éprouvée,

    J'ai certains souvenirs profondément gravés

    Dans les plis de mon front qu'ont creusé mes pensées

    Et qui font deviner bien des choses passées.



    Mon existence me dit d'oublier mon enfance:

    Ces mois, très solitaires, dans des pensions hostiles

    Quand, ne pouvant gérer seule mon existence,

    Ma mère m'abandonnait pour des raisons futiles.



    Je souffrais de l'absence de cette mère volage

    Qui m'écrivait toujours qu'elle était en voyage,

    Qu'elle ne pouvait pas me consacrer du temps

    Mais qu'elle m'aimait, pourtant! Et elle signait:"Maman".



    De longs mois j'attendais les dimanches sa venue

    Guettant, folle d'angoisse sa silhouette aimée,

    Jalouse et malheureuse de la joie imprévue

    D'une autre camarade qu'on venait visiter.

     

    Le soir de ces visites clôturait mon espoir

    D'embrasser cette mère au corps insaisissable

    Et je me consolais en sentant son mouchoir

    Empreint de son parfum si doux! Si impalpable!



    Dans mon lit de pension, je pensais à ma mère

    Et revivais les heures: ces doux moments prés d'elle;

    Mais, quand j'ouvrais les yeux, ce n'était que chimère

    Et mon cœur en voulait à cette mère cruelle!



    Bien souvent, j'ai touché le fond du désespoir

    Quant, au hasard des nuits, le cafard me prenait.

    Sur mon lit de ferraille, dans le noir, je pleurais

    En fixant, sans la voir, la veilleuse du dortoir.



    Les pleurs n'avaient pas cours dans ces pensions sans nom.

    Nous n'avions pas le droit de nous laisser aller.

    Nous étions surveillées et gare aux punitions

    Pour celles que l'on prenait, dans un coin, à pleurer.



    Je me souviens d'un soir où le cœur en lambeaux,

    Mon esprit submergé par la mélancolie,

    Les yeux mouillés de larmes et mon âme meurtrie,

    Je ne pus endiguer un flot de gros sanglots.



    Bien entendu, je fus, sur l'heure même, punie:

    Mise dans un cachot sombre, froid et réduit

    Où je restais trois jours dans la peur et la faim,

    N'ayant, pour nourriture, que de l'eau et du pain.



    Pour une simple toilette, on venait me chercher

    J'allais me soulager deux à trois fois par jour,

    Toujours accompagnée par " sœur trousseau de clefs"

    Que je nommais ainsi, surtout pas par amour!

     

    Je n'avais que huit ans à cette époque-là;

    Mais le cœur d'un enfant, à cet âge, n'oublie pas!

    J'ai passé mon enfance à attendre ma mère

    Qui n'a su qu'être femme; mais jamais être mère.



    Est-ce que je lui en veux? Oui. J'ai de la rancune.

    Tout ce que j'ai souffert quand j'étais solitaire,

    S'en ai t-elle rendu compte? En a t-elle amertume?

    Qu'elles étaient ses pensées? Je préfère me taire.



    Lui ai-je pardonner? Je ne saurai vous dire.

    Le temps et la distance m'ont fait "dessouvenir"

    Des traits de son visage, imperceptible image,

    Qui n'est plus qu'incertaine au détour d'un nuage...



    Ces années de pensions, je les lui dois: amères.

    Que de larmes perdues baignant mes déceptions!

    Ses absences de ma vie, ses retours, ses "Pardon!"

    N'étaient que des mensonges pour calmer mes colères.



    Je suis devenu femme et je me suis mariée.

    J'ai eu deux beaux enfants que j'ai su cajoler.

    Un mari exemplaire, une vie bien rangée,

    On fait de moi la mère qu'elle n'a pas été.

     

    N. GHIS.

     

    La mère qu'elle n'a pas été

     

                                                                         Texte écrit en 1981

                                                                    La Rose De Janvier 2016

                                                                                              

    6
    Lundi 16 Mai 2016 à 12:19

    Magnifique texte.... J'en suis ébahie.

    Ta vie a été difficile. La pension que j'ai connu n'était pas la tienne. Elle était pour moi un refuge, même si ça ne remplaçait pas un foyer équilibré.

    J'écris aussi beaucoup depuis trois ans... Même si je n'ai pas ton talent.

    Je vide mon sac et ce blog m'aide énormément... Les gens que j'y rencontre aussi.

    Je suis dépressive depuis l'age de 13 ans sans que personne ni moi même ne comprennent pourquoi ?

    C'est  un psychologue qui a découvert que ma mère que j'adorais, que je servais, que je vénérais, se servait  de moi et me détruisait à petit feu depuis des années. Et elle est bien virulente encore actuellement. Je dois laisser mon amour pour elle de coté et m'en protéger

    La perversion narcissique, si tu as lu les articles de cette rubrique est destructrice. Un poison qu'on t'injecte un peu chaque jour, sans que tu ne t'en rendes compte. J'ai toujours avancé quand même, mais depuis cinq ans, je m'effondre et je sais pourquoi maintenant.

    Tu es vraiment très douée pour l'écriture et pour beaucoup de choses apparemment.

    Moi aussi j'ai créé une belle famille, et c'est certainement uniquement pour eux que j'ai décidé de me soigner.

    Mais j'avance et c'est le principale.

    BIZZ et merci pour tes écrits et tes messages d'encouragement.

     

     

    7
    Lundi 16 Mai 2016 à 13:13

    J'essaierais  si tu en éprouve l'envie et le besoin, dans la mesure de mon possible, de t'aider. Ma mère était ainsi aussi: elle se servait de moi lorsque j'étais à la maison quelques fois pour un court séjours.

    La vie tourne, tu sais? Cette une roue comme celle que l'on appelle "le carrousel de la vie",  tôt ou tard,  frappe et le mal que l'on fait se paie! Ma mère était très narcissique, égocentrique, mythomane, et c'est en prenant de l'âge et avec l'aide d'un juge pour enfant: "le juge Barenne" que j'ai vu claire en son jeu et que je m'en suis éloignée à tout jamais pour pouvoir réussir ma propre vie.

    Il faut en arriver aux extrêmes comme le font ces mères qui vivent égoïstement leur vie! C'est à cette seule condition que nous arrivons à nous en sortir! Il ne faut pas resté accrocher à un semblant d'amour de la part de notre mère si non, nous sommes perdues! C'est ce que j'ai fais avec un déchirement au coeur parce que c'était ma mère et que le lien enfants parents est très fort même si de la part d'un parent il n'y a pas ce que l'enfant désire tant y trouver! Et même si le parent l'a fait souffrir au paroxysme! Et c'est la le piège! Il faut que tu arrives à ne vivre plus que pour toi et ta petite famille que tu as créer avec ton compagnon. Il ne faut vivre que pour toi et pour eux et ne surtout pas reproduire le manque affectifs envers tes enfants! Ce serait désastreux et la chaîne du manque affectif ne serait pas rompu! Il ne faut jamais reproduire ce que l'on a subi! J'ai  juré que mes enfants ne vivraient jamais ce que j'ai vécu et j'y suis arrivée. Mes enfants son grands maintenant, heureux et équilibrés. Mes petits enfants aussi, et Je suis heureuse avec mon mari! Nous sommes mariés depuis 47 ans.

    PS:

    Je puis te dires que ma mère est décédé en Belgique de mort violente en 199 à 70 ans. Juste retours des choses! Tôt ou tard le mal que l'on nous fait se paie! Je n'ai pas pus aller à l'enterrement parce que j'habite le midi, que j'avais des enfants encore jeunes, que je n'avais pas l'argent pour le voyage et qu'après le mal qu'elle m'avait fait, je ne voulais pas assister à son enterrement. Je n'ai pas pleuré: mes yeux étaient secs. J'avais versé assez de larmes sur l'amour que j'avais pour ma mère étant petite, et cela pour une vie entière... J'ai carrément fais une croix sur mon passé au niveau affectif envers mes parents puisque mon père, je ne l'ai plus jamais vu: j'avais 4 ans. Je n'ai connu ni grand-parents paternel ou maternel et aucun membre d'une famille quelconque!

    Tu vois, on s'en remets! Il faut y croire! Ne pas baisser les bras! Ne pas regarder en arrière! Vivre le présent à font et en retirer du plaisir et du bonheur! Je ne sais pas si tu en es capable; mais je te conseillerai de t’éloigner de ta mère qui ne te fera que du mal... et si tu peux, de couper les ponts avec elle. Il faudrait que tu y arrives! commence par enlever son n° de ton portable. Cela ne t'apporterait que du soulagement. Sincèrement, Ghislaine.

     

                                                                     Mes écrits

     

      • Lundi 16 Mai 2016 à 14:01

        Je n'ai pas la force de réagir comme cela. Je veux trouver l'équilibre. L'équilibre qui me permettra de continuer à la voir (juste ce qu'il faut) tout en me protégeant. Elle est malade, agée. Je vis à quelques kilomètres d'elle et suis en contact journellement avec ma famille. Seul mettre des kilomètres entre nous pourrait arranger les choses.  Elle est trop agée pour que je me venge. Je veux simplement qu'elle me laisse en paix, qu'elle me laisse oublier le passé, qu'elle me laisse me reconstruire avec ce psy qui m'aide beaucoup. Juste vaincre ce manque de confiance, cette dévalorisation et ces crises d'angoisse qui me poursuivent encore aujourd'hui. J'ai déjà beaucoup avancé mais je pense avoir encore quelques années de thérapie devant moi pour me stabiliser. J'apprécie énormément ton soutien. Un grand merci.

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