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     l’hyper-empathie.

    Qui en profite ? : La victime professionnelle

     

    Vous êtes sensible, voir hypersensible et donc très empathique.

    Non seulement vous comprenez les autres, mais vous pouvez vous mettre à leur place et ressentir leurs émotions.

    Vos émotions à vous sont aussi intenses que fréquentes.

    « Tu es trop gentil », vous répète-t-on.

    Vous haussez les épaules avant de secourir l’un, de réconforter l’autre.

    Parmi ceux qui bénéficient de votre altruisme se trouve la victime professionnelle,

    malchanceuse et paumée chronique,

    qui sait trouver les mots pour faire vibrer la corde sensible et obtenir de vous ce dont elle a besoin.

    Vous n’êtes pas toujours dupe, mais vous répondez toujours présente.

    Quitte à tomber sur le ou la pro qui profitera de vous et vous jouera de mauvais tours.

    Les empathiques altruistes ont, dans leur enfance, souvent joué le rôle de sauveur

    ou de soignant auprès de leurs parents,

    et étaient culpabilisés pour rester dociles.

     

    Test Psychologie.com

     

     

     


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    La Crise d'Angoisse

     

    La crise d'angoisse ou crise de panique

    se caractérise par une peur intense et incontrôlée chez la personne qui en est victime.

    Cette angoisse porte le plus souvent sur la crainte de mourir ou encore la peur de perdre le contrôle,

    devenir fou, sans possibilité de se raisonner tant que dure l'attaque de panique

    de quelques minutes à plusieurs heures.

     

    Pour toi Lola....

    L'apparition de crise d'angoisse ou de crise de panique est souvent un signal "salvateur"

    pour nous recentrer sur ce qui est important dans nos vies !

     

     

    La crise d'angoisse n'est pas seulement une anxiété intense :

    les symptômes d'anxiété sont mélangés à des symptômes physiques

    qui peuvent être suffisamment violents pour faire évoquer un infarctus du myocarde ou des crises d'épilepsie.

    C'est souvent après un passage par les Urgences Médicales, devant un bilan physique négatif

    que le diagnostic de crise d'angoisse ou crise de panique sera posé.

     

    La crise d'angoisse peut survenir brutalement au milieu de la nuit par exemple,

    ou être déclenchée par des facteurs comme une foule, un endroit clos etc. 

    La crise d'angoisse est un nuage de fumée cachant un traumatisme refoulé,

    qu'il s'agisse d'un traumatisme de l'enfance ou d'un traumatisme d'apparition récente

    (décès, accident, séparation), qui est l'élément déclencheur d'une névrose post traumatique.

     

    Les signes physiques sont ceux d'une personne terrorisée :

    accélération du rythme cardiaque (palpitations, tachycardie), pâleur, tremblements, transpiration,

    sensation d'étouffement ou d'étranglement,  douleurs thoraciques, nausées,

    vomissements et douleurs abdominales, vertiges et maux de tête, ainsi qu'un sentiment de peur déraisonnée.

    Les crises de panique nécessitent à la fois un traitement médicamenteux et une thérapie.

     

    Le traitement de la crise d'angoisse à long terme repose sur le traitement du trouble sous-jacent,

    par le biais par exemple d'une thérapie comportementale et cognitive.

    Le traitement de ses symptômes passe généralement par un traitement à base d'anxiolytiques,

    notamment les benzodiazépines. La consultation d'un médecin est indispensable

    en raison de la dépendance qu'ils provoquent.

    C'est la raison pour laquelle certains médecins leur préfèrent parfois les antidépresseurs.

     

    Pour toi Lola....

     

     

    Très souvent une crise d'angoisse surviendra sans raison apparente pour le patient :

    son apparition signera souvent une limite aux  stratégies de "contrôle" qu'il a utilisé jusque-là.

    La nécessité d'avoir ses émotions "sous contrôle" dans certains contextes professionnels,

    la pression de se montrer "sans faille" ne peuvent que renforcer la survenue d'une crise d'angoisse.

     

    Après la crise d'angoisse , le patient peut être inquiet de l'apparition d'une nouvelle crise panique :

    c'est l'anxiété anticipatoire.

    Il peut aussi être tenté d'éviter les endroits où la crise est survenue,

    d'où l'apparition d'agoraphobie.

      

    SOURCE :

    Site : "Santé Médecine"

               Site : "Docteur Christophe Bagot"

     

     

     

    Pour toi Lola....

    Je vous invite à suivre le lien suivant pour réécouter l'émission de Flavie Flament

    diffusée  cet après midi

    "Que faire en cas de crise d'angoisse"

     

    http://www.rtl.fr/actu/bien-etre/que-faire-en-cas-de-crise-d-angoisse-7790749316

     

     

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    NE JUGEONS PAS.....

     

    AUCUN JUGEMENT PRECIPITE

     

     

     

    Imaginons qu'en vacances, une personne veuille prendre sa voiture et s'aperçoive qu'un des pneus est crevé.

    Cela n'est pas très grave. Elle change la roue et le soir raconte ses déboires en riant à l'apéritif.

     

    Imaginons maintenant que cette personne apprend qu'elle est licenciée et que son conjoint la quitte.

    Elle bascule dans un état de tension très important.

    Simultanément elle arrive à sa voiture et découvre que le pneu est crevé.

    Là c'est la crise de nerfs.

     

    Un témoin ne comprendra pas qu'elle s'effondre pour si peu

    (ce qui d'ailleurs, montre bien la difficulté qu'il y a à juger ce que vivent les autres).

     

     

    Jean  Charles BOUCHOUX.


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    LA PAROLE EST SON INSTRUMENT DE MANIPULATION PREFERE :

     

    - Messages contradictoires

    - Détournement de la parole

    - En perdant son souffre douleur dans un dédale d'informations contradictoires,

    il l'empêchera de penser et de réagir sainement.

    - Le pervers garde une impression de contrôle... une manière pour lui de se valoriser.

    - Le pervers communique de façon paradoxale ce qui va lui permettre d'assujettir sa victime.

     

     

     

    PN - La parole, son instrument de manipulation préféré.

     

     

     

    S'EN SORTIR :

     

    - Expliquer les évènements et demander de l'aide aux autres.

    - Arrêter de se justifier : plus on se justifie, plus le pervers se sent en position de force.

    - Oser la détester

    - Couper court à toute communication : s'éloigner et ne plus avoir aucun contact

     

    Jean-Charles Bouchoux

    Eyrolles 2013

     

     

     

     


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