• Le transfert, du faux amour....

     

    Le transfert, c'est de l'amour infantile et inconscient.

    Il provient d'une période ancienne où la dépendance aux figures parentales était totale.

     

     

    Le transfert, du faux amour....

     

     

    C'est ce qui rend le transfert opérant.

    Le patient déplace sur son analyste la charge émotionnelle de ses rêves,

    de ses fantasmes et de ses désirs enfouis depuis son plus jeune âge,

    qui sont toujours présents, toujours agissants à son insu et que la cure va permettre de révéler.

    Le psychanalyste va être l'objet d'amour et de haine,

    celui sur qui projeter les émotions et les pensées inconciliables

    qui ont provoqués blocages et symptômes et grâce à qui tout l'impensable peut être pensé,

    et tout amour, lorsqu'on l'éprouve, est du vrai amour.

     

    SOPHIE CARQUAIN MARYSE VAILLANT

    RECITS DE DIVAN, PROPOS DE FAUTEUIL.

     

     

    « Des mots pour soigner des maux »

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