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    Cette rencontre, cœur même de la psychothérapie,

    consiste en un contact affectueux, profondément humain entre deux êtres,

    l'un (généralement le patient, mais pas toujours) plus perturbé que l'autre.

    Le thérapeute a un double rôle : à la fois observer la vie de son patient et y participer.

    Observateur, il doit être suffisamment objectif pour fournir les conseils élémentaires nécessaires au patient.

    Participant, il pénètre dans la vie du patient

    et peut être affecté, et même transformé par cette rencontre.

     

     


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    28 MAI 2017

    29 MAI 2022

    Fête des Mères 

     

     

    Ce n'est pas vraiment de la souffrance.

    C'est comme une amputation qui ne ferait pas mal.

     

    Résultat de recherche d'images pour "epines de roses"

     

     

    Même quand les filles se croient méchantes, elles sont encore trop gentilles !

    Elles se reprochent ce bloc de pierre qui se forme en leur cœur,

    sans penser qu'à l'origine du désamour des filles se trouve le désamour d'une mère.

    C'est de l'adulte que viennent le ton et la couleur de la relation ! Toujours !

    Les petites filles auxquelles leur maman ne joue pas de vilains tours

    continuent d'aimer leur mère et d'aimer la vie, avec insouciance.

    Oh !  bien sûr, il y a des disputes et des ras-le-bol.

    N'importe quelle mère peut dire à sa fille qu'elle est collante, mais le rejet n'est jamais massif.

    Ou, s'il l'est, il se répare dans la tendresse qui s'ensuit.

    Une relation mère-fille de qualité vit sous le règne de l'alternance avec des heurts,

    des frustrations inévitables et des réparations qui vont de soi.

    Car la mère n'a pas le cœur de laisser sa fille avec son chagrin, sa colère, sa déception...

    PATRICIA DELAHAIE

    "Etre la fille de sa mère et ne plus en souffrir."

     

     

     

     


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    Sortir, rencontrer les autres, nouer des liens,

    non pour éviter le vide rappelant l'absence de la mère,

    mais par le désir, l'envie d'être avec autrui et d'échanger.

    L'essentiel, c'est de cesser d'utiliser l'autre comme substitut maternel,

    objet bouche trou, un anxyolitique et antidépresseur,

    pour le considérer plutôt comme un sujet autre, différent de soi,

    dont la présence ou l'absence paraîtront,  certes joyeuses ou tristes mais ni salutaires, ni mortifères.

     

     

    Il n'est possible de vivre une relation saine,

    dans l'échange et la réciprocité,

    que si l'on réussit à supporter sa solitude, à se supporter, à exister sans le besoin d'autrui.

     

    Moussa Nabatti - Comme un vide en moi.

     


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    Au contact d'un manipulateur,

    les hypersensibles vont constamment se demander ce qu'ils font de faux,

    vont avoir pitié du manipulateur qui sait si bien jouer la victime

    et ils vont s'enliser dans la relation en ne pouvant pas imaginer

    que quelqu'un puisse être si malfaisant de manière intentionnelle.

    Et une séparation avec un manipulateur les laisse sans énergie.

     

     

    La seule technique pour la récupération progressive et totale des facultés mentales pour les victimes :

    retrouver sa propre paix intérieure, loin de tout le monde,

    de tout avis extérieur, sans aucune contrainte, aucun fil de marionnette, aucune attente, aucune demande,

    avec de la musique, du silence, des pleurs, des sourires,

    laisser tout remonter très doucement à la surface

    et éclater comme une petite bulle sans personne.

     

    SOURCE : LE NET.


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    Le journal américain The New York Times a publié il y a quelques temps un article extraordinaire.

    Il rapporte l'histoire d'un combattant de la seconde Guerre mondiale d'origine grecque,

    Stamatis Moraitis, qui partit s'installer aux Etats Unis après l'Armistice. 

    Alors qu'il avait adopté le style de vie américain, avec villa en Floride, deux voitures, trois enfants,

    Stamatis Moraitis apprit en 1976 qu'il avait un cancer des poumons.

    Neuf médecins confirmèrent le diagnostic et lui donnèrent neuf mois à vivre. Il avait 62 ans.

     

     

    Il décida alors de retourner avec son épouse sur son île natale d'Icare, en mer Egée,

    pour être enterré aux côtés de ses ancêtres dans un cimetière ombragé surplombant la mer.

    Stamalis s'installa dans une maisonnette blanchie à la chaux, au milieu d'un  hectare de vignes escarpées,

    sur la côte nord est d'Icare, et se prépara à mourir...

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

     

     

     

    D'abord il passa ses journées au lit, soigné par sa mère et sa femme.

    Lorsque ses amis d'enfance apprirent son retour, ils commencèrent à lui rendre visite chaque après midi

    . Leurs conversations pouvaient durer des heures,

    et s'accompagnaient invariablement d'une ou deux bouteilles de vin du cru.

    "Autant mourir heureux", se disait Stamatis.

     

    Pendant les mois qui suivirent, quelque chose d'étrange se produisit.

    Il dit qu'il commença à sentir ses forces le regagner. Il planta quelques légumes dans son jardin.

    Il ne projetait pas de les récolter lui-même mais il appréciait le soleil, et respirer l'air de la mer.

    Six mois s'écoulèrent, Stamatis était toujours vivant.

    Loin d'entrer en agonie, il avait agrandi son potager et, sentant ses forces revenir,

    il avait aussi nettoyé la vigne familiale.

    S'accommodant de mieux en mieux du rythme de vie paisible de la petite île,

    il se levait le matin quand bon lui semblait,  travaillait à la vigne jusqu'en début d'après midi,

    se faisait  un bon déjeuner puis enchaînait sur une longue sieste....

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

    Aujourd'hui, 35 ans plus tard, il a atteint 97 ans,et il n'a plus le cancer.

    Il ne suivit jamais de chimiothérapie, ne prit aucun médicament d'aucune sorte.

    Tout ce qu'il fit fut de partir pou Icare.

    Le cas de Stamatis Moraitis et de l'île d'Icare,

    est rapporté par un scientifique de la National Geographic Society,

    qui s'est spécialisé dans l'étude du mode de vie des populations bénéficiant d'une longévité exceptionnelle.

    Selon le Docteur Leriadis, qui vit et soigne les habitants  d'Icare,

    leur bonne santé tient à leur mode de vie et aux bonnes relations sociales qui existent entre les habitants,

    mais aussi à une sorte de tisane "le thé des montagnes",

    faite d'herbes  sèches qui poussent sur cette île et qui est consommée en fin de journée :

    il s'agit d'un mélange de marjolaine sauvage, de sauge, de romarin, d'armoise, de feuilles de pissenlit

    et de menthe auquel on ajoute un peu de citron.

     

    Le Docteur Christina Chrysohou,

    cardiologue à la Faculté de Médecine de l'Université d'Athènes,

    a étudié le régime de 673 habitants d'Icare,

    et a constaté qu'ils consomment six fois plus de légumineuses (haricots, lentilles, pois) que les Américains,

    mangent du poisson deux fois par semaine et  de la viande cinq fois par mois

    et boivent deux à trois tasses de café et deux à quatre verres de vin par jour.

     

     

    L'île où les hommes oublient de mourir...

     

     

     

     

    A votre santé !

     

    SOURCE :

    Jean Marc Dupuis.

    SANTE NATURE INOVATION

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La notion de pardon est issue de la pensée judéo-chrétienne.

    Pardonner à ses ennemis est une tâche relativement aisée, car nous n'en attendons pas grand-chose ;

    il est beaucoup plus difficile de pardonner à ses proches,

    ceux que l'on aime et que nous avons investis d'espoirs et d'attentes.

    Mais faut-il pardonner ? Est une nécessité afin de se guérir ?

     

    Quels sont les résultats d'une démarche de pardon initiée par le mental ?

    L'émotion reste entière, non vécue, enterrée au fond de notre être, bloquée par notre mental.

    Ce blocage sur lequel nous aurons mis une couche de pardon

    crée une tension qui peut entraîner des symptômes et des maladies.

    Nous constatons que, au nom de règles mal comprises ou mal enseignées par des personnes de pouvoir,

    la victime va se retrouver non seulement victime de l'autre mais en plus d'elle-même,

    et tout cela au nom d'un pseudo-amour rimant avec soumission, perte d'identité et destruction.

     

    Pour mettre en œuvre le vrai pardon, dans un premier temps,

    il s'agit de se donner le droit d'avoir été blessé au plus profond de soi

    par l'insulte, les coups, l'acte ou le non acte déclencheurs de la blessure ressentie. 

    Cela signifie admettre qu'il y a une blessure provoquée par l'autre,

    reconnaître que nous ne sommes pas aussi forts que nous désirerions l'être,

    accepter que nous sommes vulnérables.

    Afin de parvenir à cela, il nous faut nous remettre dans le moment présent,

    ce qui suppose d'éteindre le mental.

    Se retrouver dans son corps physique et sensoriel

    va permettre de dresser un bilan complet des dégâts  causés par la personne qui nous a blessés.

    Il est souvent difficile de franchir cette première étape.

    En effet, le mental va tout faire afin de minimiser les atteintes réelles,

    "oublier" certains dégâts ou en amplifier certains autres, juger telle ou telle autre chose,

    relativiser certains points et tout faire pour que

    ce bilan puisse rester dans les "normes" admissibles et acceptables

    pour le système auquel nous appartenons....

     

    Dr Daniel DUFOUR

     

    "Les Barrages Inutiles - Ces pensées qui rendent malade".

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Quand on est adulte, on ne doit plus tout dire à tout le monde.

    La sincérité est une des grandes valeurs que brandit le manipulateur à la face de sa victime

    pour qu'elle soit toujours à nu,

    mais pour son compte personnel, il utilise continuellement le mensonge et la dissimulation.

     

    Petit Conseil

     

    Alors, faites de même.

    Tout ce que vous dites au manipulateur se transforme en arme entre ses mains.

    Moins il en sait, moins il aura de prise pour vous nuire.

    Apprenez à vous taire et à ne plus répondre aux questions, à rester flou, évasif, ambigu,

    à garder le silence ou à changer de sujet.

     

    Il faudra aussi accepter de vous synchroniser sur son style de langage,

    c'est-à-dire à ne plus dire  ce que vous pensez et à ne plus penser ce que vous dites. 

    Oser mentir aussi, toujours dans cet objectif d'autoprotection.

    Même si c'est faut, dite : "Ca m'est bien égal !", "Tu peux toujours te moquer, ça ne me touche pas!"

    ou "Tes menaces ne me font pas peur !".

     

    En langage de manipulateur, cela veut dire "Même pas peur !" et "Même pas mal !".

    Il le croira et c'est très bien ainsi car il vaut mieux qu'il ne sache plus quand il vous touche.

     

    Christel Petitcolin

     

    Petit Conseil

     

     

     

     


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    Se faire aider par l'ostéopathie 

     

    L'ostéopathie

    peut participer à la prise en charge de la dépression et influencer favorablement le corps

    pour mener sur le chemin de la guérison.

     

    Quelquefois, il suffit d'une consultation ou deux

    pour désamorcer les signes de l'anxiété qui commencent à s'installer.

    Par son approche manuelle du corps et de la globalité du patient,

    l'ostéopathie permet de lever les tensions qui ont pu s'accumuler

    et de donner un bien-être aux personnes angoissées, inquiètes et sujettes aux baisses  de moral.

     

    L'approche de l'ostéopathie pour lutter contre la dépression nécessite un plus grand nombre de séances,

    quand les causes et les signes sont installés depuis longtemps.

    Par l'approche somato-émotionnelle (voir "mes livres références"),

    l'ostéopathe peut libérer des tensions tissulaires liées à des chocs émotionnels vécus par le patient.

     

    Se faire aider par l'ostéopathie

     

    Et ça marche - FAUSTINE.

     

     


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    Bien que dérangeante,

    la scarification n'en est pas moins  apaisante,

    et agit comme un fusible pour  ne pas franchir le pas fatidique.

     

     

    La Scarification

     

     

    La douleur ressentie est une présence réconfortante, un compagnon,

    qui face au malaise psychique permet de ne pas se sentir seul.

    Addictive, la scarification comble un vide existentiel, calme la colère, la peine qui vous  submergent.

    La douleur physique étouffe la douleur psychique.

     

    FAUSTINE.

     


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    "Je caressais le rêve d'écrire le récit de ma vie depuis longtemps, avant même de devenir psychothérapeute.

    J'en avais vraiment envie.

    Je ne pouvais pas dire exactement pourquoi j'avais ce désir, mais aujourd'hui je le sais :

    c'est pour aider d'autres personnes qui souffrent.

    Les gens aiment s'identifier à quelqu'un, surtout quand ils vivent un problème.

    Ils ont besoin de ne pas se sentir seuls.

     

     

     

    C'est ce qui m'a amené aussi, un jour, à devenir psychothérapeute.

    On ne choisit pas cette activité professionnelle par vertu.

    La plupart des thérapeutes que je connais ont un passé chargé,

    un  vécu qu'ils ont essayé de comprendre et dont ils veulent tirer profit pour aider les autres.

    Le mien est marqué du signe des carences affectives, de l'alcoolisme et de la dépendance.

    Ce sont ces expériences qui m'ont amené à travailler sur moi pour m'en sortir.

     

    En 1983, j'ai rencontré la fraternité des Alcooliques Anonymes et j'ai finalement cessé de boire.

    Mais où était le bonheur promis ?

    J'étais encore très malheureux parce que le problème de fond n'était pas résolu.

    Je me sentais vulnérable, isolé, souffrant.

    L'abstinence n'avait pas mis fin à cette horrible sensation de vide intérieur que je traînais depuis des années.

    Heureusement je n'ai pas rechuté, ce qui aurait facilement pu m'arriver.

     

    Je me suis alors tourné vers la psychothérapie individuelle et vers les thérapies de groupe.

    J'ai fait plusieurs démarches en ce sens.

    Peu à peu, je me suis découvert et j'ai évolué vers une plus grande ouverture.

    Le cheminement était cependant très lent.

    Les livres de psychologie se sont accumulés sur les tablettes de ma bibliothèque.

    Puis j'ai commencé des études dans cette discipline,

    autant par besoin personnel que dans une perspective de réorientation professionnelle.

     

     

    Il m'aura fallu beaucoup de thérapies, de démarches personnelles,

    de remises en question et de réflexion pour m'en sortir.

    Peu à peu, j'ai changé des choses en dedans de moi et je suis devenu autonome.

    J'ai découvert que je pouvais développer une saine estime de soi

    et atteindre l'autonomie affective par des efforts personnels".

     

    DANIEL PIETRO

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    En chacun de nous se trouve un enfant qui souffre.

    Nous avons tous connu des périodes difficiles

    et beaucoup d'entre nous ont été fortement perturbés durant l'enfance.

    Et pour nous protéger de toute cette souffrance,

    la seule solution que nous ayons trouvée a été d'oublier ces épisodes douloureux.

    Chaque fois que la douleur se réveille,

    cette sensation nous est si insupportable

    que nous refoulons nos sentiments et nos souvenirs au plus profond de notre inconscient.

    A tel point que nous pouvons passer des années et des années à négliger cet enfant blessé.

     

     

     

    Pourtant, ce n'est pas parce que nous l'ignorons que l'enfant n'est pas là.

    L'enfant blessé est toujours là, et il essaie d'attirer notre attention.

    Il se manifeste comme il peut.

    Désireux d'atténuer notre peine, nous refusons de l'entendre et nous nous en tenons aussi éloignés que possible.

    En vain, car cette fuite ne met pas fin à notre souffrance ;

    bien au contraire, elle ne fait que le prolonger.

    Nous nous perdons dans une quête permanente de divertissements

    (télévision, cinéma, activités mondaines, alcool, drogues)

    parce que nous ne voulons plus faire l'expérience de toute cette souffrance.

     

    PRENDRE SOIN DE L'ENFANT INTERIEUR 

    Faire la paix avec soi.

    THICH NHAT HANH

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La dépendance affective trouve son origine dans notre vie "pré oeudipienne",

    c'est à dire dans notre toute petite enfance.

    Le nouveau né est par définition, un  être dépendant, en absence totale d'autonomie.

    La dépendance affective fait bien souvent écho à un abandon vécu à ce premier stade de notre vie.

    Il peut s'agir d'un abandon émotionnel, plus que physique :

    une mère dépressive, un père affectivement absent.

     

    Dépendance affective

     

     

    La dépendance n'est pas symptomatique.

    Le problème c'est quand elle devient source de souffrance,

    de sentiment d'abandon, de la peur de ne pas être reconnu, de ne pas être aimé.

    La personne "dépendante affective" est à la recherche de son droit à l'existence.

    Mais elle effectue cette recherche d'une manière déficiente.

    A la conquête de son droit d'être, elle souhaite être aimée, acceptée telle qu'elle est..

    Elle présente des troubles au niveau de son identité personnelle.

    Elle est angoissée et manque de confiance en elle,

    découlant d'un complexe d'infériorité qui est le plus grand symptôme de cette pathologie.

    Elle éprouve aussi une peur irrépressible d'être abandonnée.

    Son bonheur dépend d'autrui, elle vit dans l'insécurité.

    Au niveau relationnel, elle se laisse facilement abuser par les autres.

     

     


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