•  

    "Ces écrits ne sont pas la revendication d'une détresse

    ni une complainte relative à la dureté des épreuves traversées.

    Des milliers d'autres personnes ont leur lot de souffrances

    souvent encore plus affligeantes que celles que j'ai connues,

    comme traverser la maladie ou perdre son propre enfant.

      

    J'ai souhaité raconter mon histoire afin d'éveiller les consciences.

    Je voudrais, au travers de mon parcours,

    redonner espoir et courage à ceux qui se ébattent dans leurs tourments,

    mettant souvent un genou à terre et s'imaginant ne jamais pourvoir se relever.

    "Ce qui ne tue pas rend plus fort", disait Nietzsche

     

    Gardez espoir et foi lorsque vous sombrez,

    car sachez qu'il est humain de trébucher sur son parcours :

    ce n'est qu'à cette condition que l'on mesure le bonheur inouï d'avoir su s'en relever, pour continuer à avancer.

    Je suis reconnaissante d'avoir connu l'ombre et la lumière

    dans laquelle j'ai choisi en conscience de rester afin d'en transmettre les rouages à mon prochain.

    La spiritualité ne se proclame pas, ne se décrète pas et n'est pas une religion,

    mais elle se vit intensément dans le cœur, s'exprime par les paroles et se reflète dans les actes.

    Elle n'est rien d'autre, que l'expression de l'âme.

    Aimez-vous vous-même.

    Et aimez-vous les uns les autres"

     

     

    Epilogue du livre d'Aline Peugeot

    "Du chaos à l'éveil spirituel"

     

     

     

     

     

     

     

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    "La seule religion à laquelle je crois vraiment,

    la seule spiritualité universelle, c'est celle de l'amour.

    Seul l'amour me semble digne de foi.

    Et pour cela, peu importe qu'on soit croyant ou non,

    religieux ou non, pratiquant ou non.

     

     

    La vraie distinction pour moi entre les humains,

    ce n'est pas la religion, la culture, la langue ou la couleur de peau.

    C'est :

    Est-ce qu'on respecte l'autre ou pas ?

    Est-ce qu'on partage ses biens avec ceux qui sont dans le besoin ?

    Est-ce qu'on est prêt à risquer sa vie pour lutter contre l'injustice ?

    Est-ce qu'on est touché par le malheur d'autrui ?

    Est-ce qu'on désire consoler ceux qui n'en peuvent plus ?"

     

     

    Frédéric LENOIR

    Extrait de

    "La consolation de l'Ange"

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     Son témoignage sur "radio bien être" m'a interpellé...

    Partage....

    Tout a basculé quand il est mort ? Non ! Je n'ai pas envie de résumer mon histoire comme ça !

    C'est simple ; j'ai compris la vie quand il est mort.

    La claque en pleine tête, la chute du 15ème étage, du haut de mes 26 ans, du haut de ses 28

    , il est tombé sans jamais se relever.

    Tout ça pour un semi-marathon en plus !

    Le bruit assourdissant que le bonheur fait quand il s'en va m'a fait recouvrer la vue...

    La colère, l'envie de clamser, l'introspection et ensuite l'incroyable , l'impensable :

    les conversations avec lui.

     Meilleur que le psy et que les médocs, Aurélien revenait régulièrement me parler après son décès !

    Un ouvrage poignant, qui permet de mieux comprendre et appréhender "la mort", ou plutôt, la "vie d'après".

     

    Carole Vaqette Touré

     

      

    Mon compagnon âgé à l'époque de 28 ans est décédé, alors que j'étais professeur des écoles,

    alors que je ne savais pas quel était le sens de ma vie...

    Quand il est mort, j'ai compris... pas de suite bien sûr.

    J'ai d'abord eu de la colère, de la tristesse et, peu à peu, il est venu me parler dans mes rêves ;

    ce qui m'a permis de comprendre qu'après la mort tout continue.

    J'écrivais mes rêves, mes introspections dans un cahier.

    Puis, un jour, une amie m'a dit de taper sur ordi pour tenter d'être publiée un jour

    et de permettre à des gens de trouver espoir dans mon récit...

     

     

    Carole Vaqette Touré

     

     

     

     

     

     

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    "La patience est synonyme de lâcher prise.

    Cela signifie de ne pas être en attente de ce qui va se passer aussi.

    La patience signifie non pas attendre que les événements surviennent

    mais se recentrer sur le moment présent,

    le vivre après avoir envoyé dans l'Univers ton souhait formulé de façon claire.

     

    Tu désires obtenir quelque chose ?

    Tu lances en le formulant clairement ce que tu désires et te réabsorbes alors dans ta vie présente.

    La patience est alors le temps que met le désir à être obtenu.

    Chaque fois que la pensée revient, tu la chasses en te recentrant dans le moment présent."

     

    Dr Daniel Dufour

    "les Barrages Inutiles".

     

     

     

     

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    Le Karma

     

    Notre esprit est comme un champ

    et les actions que nous accomplissons sont comme des graines que nous y semons.

    Les actions vertueuses sèment les graines du bonheur futur

    et les actions non vertueuses celles de la souffrance future.

    Les graines que nous avons semées de par le passé sommeillent

    jusqu'à  ce que les conditions nécessaires à leur maturation soient réunies.

    Dans certains cas plusieurs vies peuvent séparer l'action initiale de son effet.

    La souffrance est créée par nos propres actions ou Karma.

    Nous souffrons parce que nous avons accumulé de nombreuses actions non vertueuses dans nos vies antérieures.

     

     

     

    Les 12 Lois du karma

     

    1) La grande Loi

    "Vous récoltez ce que vous semez."

    Tout ce qu'on émet dans l'Univers revient vers nous. Si ce que nous voulons est le bonheur, la paix, l'amour, l'amitié... Alors nous devons être heureux, paisible, affectueux et un vrai ami.

     

    2) La loi de la Création

    Nous ne faisons qu'un avec l'Univers, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur.

    SOYEZ vous-mêmes et entourez vous de ce que vous voulez avoir dans votre vie actuelle.

     

    3) La loi de l'Humilité.

    Ce que vous refusez d'accepter, continuera de vous rattraper.

    Si ce que nous voyons est un ennemi,

    ou quelqu'un qui a un trait de caractère que nous considérons comme négatif,

    alors nous ne nous concentrons pas nous-même sur un niveau d'existence plus élevé.

     

    4) La Loi de la Croissance

     "Vous êtes où vous voulez aller." Pour nous GRANDIR d'esprit, signifie que c'est nous qui devons changer et non pas les gens, les lieux ou les choses qui nous entourent. La seule chose que l'on nous donne dans la vie c'est NOUS-MEME, et c'est le seul facteur sur lequel nous avons le contrôle". Nous changeons la personne que nous sommes dans notre cœur, notre vie suit le mouvement et change.

     

    5) La Loi de la Responsabilité.

    A chaque fois qu'il y a quelque chose de mauvais dans ma vie, il y a quelque chose de mauvais en moi.

    Nous sommes le miroir de ce  qui nous entoure, c'est une vérité universelle.

    Nous devons prendre la responsabilité de ce qu'il y a dans notre vie.

     

    6) La Loi de la Connexion.

    Le passé, le présent et le futur sont tous reliés.

    La première et la dernière étape des choses que l'on fait, ont la même importance.

     

    7) La Loi de la Concentration

    Vous ne pouvez pas penser à deux choses en même temps.

     Lorsque nous nous concentrons sur des valeurs spirituelles,

    il nous est impossible pour nous de penser à l'avidité ou à la colère.

     

    8) La Loi du Don et de l'Hospitalité.

    Si vous croyez que quelque chose est vrai,

    alors au cours de votre vie vous serez appelé à démonter cette vérité particulière.

     

    9) La Loi du Ici et Maintenant

    Regarder en arrière pour voir ce qui était, nous empêche d'être totalement dans le ICI ET MAINTENANT.

    Les vieilles pensées, les vieilles habitudes de comportement, les vieux rêves...

    nous empêchent d'en avoir de nouveaux.

     

    10) La Loi du Changement

    L'histoire se répète jusqu'à ce que nous retenions les leçons

    dont nous avons besoin pour changer notre parcours.

     

    11) La Loi de la Patience et de la Récompense

    Toutes les récompenses nécessitent un travail de départ.

    Les récompenses durables exigent un travail de patience et persistant.

    La vraie joie suit en faisant ce que nous sommes supposé faire,

    et en attendant que la récompense vienne d'elle-même.

     

    12) La loi de la Valeur et de l'Inspiration

    La vraie valeur de quelque chose est une conséquence directe de l'énergie et de l'intention que l'on y met.

     

     

     

     

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    La Mort 

     

    Pour notre société occidentale, la mort est l'ennemi numéro un.

    Nous nous sommes attachés à la combattre et ce par tous les moyens.

    L'inconscient collectif est marqué par cette prise de position et nous influence tous.

    Plutôt que de chercher à s'informer au sujet de la mort,

    beaucoup d'entre nous vont préférer l'affronter, la rejeter ou faire comme si elle n'existait pas.

     

     

    C'est bien dommage car en se comportant ainsi,

    on se coupe d'une partie de soi-même.

    La mort fait partie de nous.

    Notre corps est programmé pour mourir.

    Il suit un cycle naturel dont dépend l'harmonie sur terre.

    Imaginons un peu comment serait la planète sans la mort :

    quel chaos ! La mort fait véritablement partie de la vie,

    elle en est la composante nécessaire et saine.

    Mais il s'agit bien là de la mort de notre véhicule matériel.

    Notre âme, elle, poursuit son cheminement.

    La vie continue, mais sous une autre forme

     

    Extrait de "Le Test" de Stéphane Allix.

     

     

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    "Je crois que le cosmos a sa façon de rééquilibrer les choses et ses lois, quand celles-ci viennent à être trop bouleversées.

    Le moment que nous vivons, plein  d'anomalies et de paradoxes, fait réfléchir...

     

     

     

     

    Dans une phase où le changement climatique, causé par les désastres environnementaux, a atteint des niveaux inquiétants,

    D'abord la Chine, puis tant d'autres pays, sont contraints au blocage ;

    l'économie s'écroule, mais la pollution diminue de manière considérable.

    L'air s'améliore ; on utilise un masque, mais on respire...

     

    Dans un moment historique où, partout dans le monde, se réactivent certaines idéologies et politiques discriminatoires,

    rappelant avec force un passé mesquin, un virus arrive, qui nous fait expérimenter que,

    en un instant, nous pouvons nous aussi devenir des discriminés, des ségrégués, ceux qu'on bloque aux frontières,

    qui amènent les maladies.

    Même si nous n'y sommes pour rien.

    Même si nous sommes blancs, occidentaux, et que nous voyageons en première classe (complexe de toute puissance).

     

     

    Dans une société fondée sur la productivité et la consommation,

    dans laquelle nous courons tous 14 heures par jour après on ne sait pas bien quoi,

    sans samedi ni dimanche, sans plus de pause dans le calendrier,

    tout à coup, le "stop" arrive.

    Tout à l'arrêt, à la maison, pendant des jours et des jours.

    A faire le compte d'un temps dont nous avons perdu la valeur, dès qu'il n'est plus mesurable en argent, en profit.

    Sait-on seulement encore quoi en faire ?

     

    Dans une période où l'éducation de nos propres enfants, par la force des choses,

    est souvent déléguée à des figures et institutions diverses,

    le virus ferme les écoles et nous oblige à trouver des solutions alternatives,

    à réunir les mamans et les papas avec leurs propres enfants.

    Il nous oblige à refaire une "famille".

     

    Dans une dimension où les relations, la communication, la sociabilité,

    se jouent essentiellement dans ce non-espace du virtuel des réseaux sociaux,

    nous donnant l'illusion de la proximité,

    le virus nous enlève la proximité, celle qui est bien réelle :

    personne ne doit se toucher, pas de baisers, pas d'embrassades, de la distance, dans le froid du non contact.

    Depuis quand avons-nous pris pour acquis ces gestes et leur signification ?

     

    Dans un climat social où penser à soi est devenu la règle,

    le virus nous envoie un message clair :

    la seule manière de nous en sortir, c'est la réciprocité, le sens de l'appartenance, la communauté,

    se sentir faire partie de quelque chose de plus grand, dont il faut prendre soin, et qui peut prendre soin de nous.

    La responsabilité partagée, sentir que de nos actions dépendent, non pas seulement notre propre sort,

    mais du sort des autres, de tous ceux qui nous entourent. Et que nous dépendons d'eux.

     

    Alors, si nous arrêtions "la chasse aux sorcières",

    de nous demander à qui la faute et pourquoi tout ça est arrivé,

    pour nous interroger plutôt sur ce que nous pouvons apprendre,

    je crois que nous avons tous beaucoup de matière à réflexion et à agir.

     

    Parce qu'avec le cosmos et ses lois, de manière évidente, nous avons une dette excessive.

    Il nous le rappelle au prix fort, avec un virus".

     

    Raffaele Morelli

    Psychiatre et psychothérapeute italien.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    "La question est vertigineuse.

    Ils évoluent dans une matière différente de la nôtre.

    Un monde de matière dans lequel il n'y a pas d'espace ni de temps.

    Les déplacements s'y font instantanément, plus vite que la pensée.

    C'est un univers un peu à l'image du nôtre, dans lequel ils peuvent recréer des mondes.

    Où vivent les morts ?

     

    Cette réalité est difficile à concevoir avec nos mots terrestres.

    En revanche la ressentir est possible.

    C'est ce qu'ont fait celles et ceux qui ont traversé une EMI.

    Et eux-mêmes dans leurs témoignages ont du mal à expliquer avec des mots ce dont ils ont fait l'expérience.

    Ils ont senti, ils ont acquis une connaissance sans qu'elle ait été verbalisée.

    Peut être gagnerions nous à favoriser la pratique

    des techniques et méthodes qui permettent de faire taire notre mental

    et ouvrir nos autres sens de perception, pour commencer à appréhender le monde subtil ?

    Méditation, techniques respiratoires, voyages chamaniques...

    autant de voies à explorer pour commencer à vraiment activer nos outils intuitifs".

     

    Extrait de "Le Test" de Stéphane Allix.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    La plupart des contacts avec les défunts ont lieu au cours de la première phase qui suit la mort.

    L'objectif des défunts est de faire savoir à leurs proches

    qu'ils continuent à vivre et qu'il n'y a pas de souci à se faire sur le lieu où ils se trouvent.

    Ces contacts peuvent cependant se répéter pendant plusieurs années.

    La plupart de ces séries de rencontres avec l'au-delà sont de courte durée,

    jusqu'au moment où le défunt fait ses adieux définitifs pour poursuivre son développement dans l'au-delà.

     

    Phénomène des contacts post mortem

     

    Ces phénomènes sont d'une nature si Subtile que bien des gens doutent de leur réalité.

    D'un côté, les témoins savent ce qu'ils ont vraiment vécu,

    mais de l'autre, ils doutent de la réalité de leur perception.

    Cela est vrai en particulier pour ceux qui tenaient ces phénomènes pour impossibles.

    C'est le mort qui prend l'initiative du contact.

    La plupart des gens n'osent pas parler de leurs expériences à leur famille ou à leurs amis,

    par peur d'être pris pour des fous.

     

    Phénomène des contacts post mortem

    BERNARD JAKOBY

    NOUS NE MOURONS JAMAIS

     

     

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    "En vertu de mes recherches durant ces dernières années,

    la vie après la mort est à mes yeux aujourd'hui plus qu'une hypothèse solide.

    Voilà plus de dix ans que j'enquête à travers le monde, rencontrant des chercheurs,

    des médecins, des hommes, des femmes et des enfants

    vivant des expériences incroyables de contacts avec des défunts.

     

    D'après le livre "Le Test" de Stéphane Allix

     

    Je travaille et côtoie des médiums depuis des années.

    Tout ce temps je suis resté dans mon rôle de journaliste rigoureux et objectif.

    Et c'est précisément cette posture qui me conduit aujourd'hui à reconnaître l'évidence :

    la mort n'est pas la fin de la vie".

     

     

     

    Extrait de "Le Test" de Stéphane Allix.

     

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