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Il y a maintes façons de pardonner une offense.
Il faut se souvenir qu'un pardon "définitif" n'est pas pour autant une reddition.
C'est prendre en connaissance de cause la décision de cesser d'entretenir le ressentiment,
ce qui signifie également effacer une dette
et abandonner la résolution de punir son auteur.
Vous êtes seule à décider quand pardonner et par quel rituel marquer l'événement.
C'est vous qui décidez quelle dette n'a désormais plus besoin d'être payée.
Le pardon, c'est ce point où culminent les trois étapes :
aller de l'avant, s'abstenir et oublier.
On ne cesse pas de se protéger, on se départit de sa froideur.
Ne plus exclure l'autre,
abandonner toute attitude de froideur à son égard,
arrêter de l'ignorer ou de se raidir, de jouer faux,
c'est pardonner profondément.
Mieux vaut, pour le bien de la psyché, limiter le temps passé avec des personnes
dont la présence vous pose problème et éviter de leur répondre,
plutôt que d'agir avec l'indifférence d'un mannequin de bois.
Comment savoir si vous avez pardonné ?
Vous avez tendance à éprouver du chagrin plutôt que de la fureur en évoquant l'événement,
à être désolée pour la personne plutôt qu'en colère à son égard.
Vous comprenez la souffrance qui a conduit à l'offense.
Vous préférez vous tenir à l'écart de tout ça.
Vous n'attendez rien. Vous ne voulez rien.
Vous n'êtes plus rattachée à l'événement comme si vous aviez une corde à la cheville,
vous êtes libre de vos mouvements.
Sans doute l'affaire ne s'est-elle pas terminée sur un "et ils furent heureux",
mais il est fort probable que désormais, un nouvel "il était une fois" vous attend.
Clarissa Pinkola Estes
Extrait de ce livre
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Le premier chemin pour développer une joie active, permanente,
consiste à aller vers soi, afin de devenir pleinement soi-même.
Ce chemin commence par un travail d'introspection :
on s'examine en tentant de reconnaître tout ce qui, en nous, n'est pas nous,
et qui nous a été plus ou moins imposé de l'extérieur par le biais de notre éducation et de notre culture.
Ce sont des idées, des croyances sur la société, sur Dieu, sur nous-mêmes,
qui ont tendance à museler notre vrai "nous", à l'étouffer...
et donc à nous rendre tristes.
A partir de là, nous pouvons commencer à nous délier, c'est-à-dire à nous débarrasser de ces liens.
Nous sommes tissés de liens, ils nous sont nécessaires :
on ne veut pas vivre sans communauté, sans famille, sans valeurs, sans croyances dont on hérite au départ.
Mais il est tout aussi nécessaire, si on veut aller vers la joie la plus profonde,
de porter un jour un regard critique sur ces liens et de se défaire de ceux qui nous encombrent.
Ce chemin, que j'appelle "déliaison", constitue le premier grand pas vers la libération.
Ce processus d'individuation est un travail de déliaison qui procède d'un double effort d'introspection :
prendre conscience de ce qui ne nous convient pas, de ce qui n'est pas nous et, conjointement,
prendre conscience de ce que nous sommes vraiment, de nos véritables besoins et de notre nature profonde.
Celle qui n'est pas étouffée par les pensées et croyances familiales,
culturelles du milieu où le hasard ou le destin, a voulu que l'on naisse,
voire le fruit d'archétypes de l'inconscient collectif.
Frédéric Lenoir
La puissance de la joie
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La peur de ce que l'autre pense, peur de ce qu'il ne pense pas,
Peur de ce qu'il dit, peur de ce qu'il ne dit pas,
Peur d'un excès de paroles, peur d'un silence trop long,
Peur d'un manque d'amour, peur d'un excès d'amour,
Peur de parler, peur de taire,
Peur d'être seul, peur d'entrer en relation,
Peur de n'avoir rien à faire, peur d'être débordé de travail,
Peur de plaire, peur de déplaire, peur de séduire...
Que de peurs ! Et que d'énergie consacrée à combattre ces peurs !
THOMAS D'ANSEMBOURG.
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Julie Arcoulin travaille dans le domaine du développement personnel,
spécialisée dans la perversion narcissique et ses conséquences
(Burn Out et surefficience mentale).
Elle a écrit deux livres : "survivre aux parents toxiques"
et récemment "débarrassez vous des relations toxiques".
Elle reçoit essentiellement dans son cabinet des adultes
Nathalie Vancraeynest reçoit quant à elle des enfants et adolescents.
Elle a coécrit avec Julie Arcoulin le livre "Et si je croyais en mon pouvoir de séduction".
Toutes deux organisent des ateliers "Sur l'estime de soi"
et apportent leur aide pour "sortir de l'emprise MPN".
ENFANT SOUS EMPRISE MPN :
Le parent MPN va désigner dans la fratrie un successeur,
un enfant mis sur un piédestal dans le but de diviser la fratrie
et cet enfant là va s'identifier à ce parent et devenir manipulateur.
C'est inconscient.
Sortir un enfant de l'aliénation parentale est un travail sur du très long terme.
Un enfant ne remet pas en questions ce que dit son parent : il se construit sur la base "je suis mauvais".
Ces enfants, même très intelligents, présentent des troubles de la mémoire et des problèmes de concentration.
Les conséquences sur le développement psycho affectif des enfants exposés à la violence
sont les mêmes que pour un enfant qui subit directement la violence.
QUI ET COMMENT :
Le pervers narcissique peut être un homme ou une femme.
Le manipulateur utilise tous les moyens pour arriver à ses fins ;
A l'autre bout du nuancier se trouve le manipulateur pervers narcissique,
qui lui manipule de façon instinctive.
Il a une personnalité clivée (coupée en deux).
Il exerce son pouvoir sur une personne en particulier.
Il n'accepte pas de faire des erreurs et les projette sur cet autre.
Il fait passer ses tensions internes sur sa victime.
C'est une personne "vide" qui a besoin de quelqu'un de très fort et qui possède des qualités que lui n'a pas.
Il vampirise sa proie et pour cela utilise des mécanismes très subtils .
Il n'a pas d'affect et pour se libérer il entre dans le conflit...
Le manipulateur occupe tout l'espace mental disponible
et comme notre cerveau est programmé pour chercher un sens,
le cerveau tourne en boucles (ruminations).
Le développement affectif du Pervers narcissique s'est arrêté à l'âge de 4 à 5 ans,
celui du manipulateur à l'âge de 11-12 ans...
LES TROIS PHASES DE L'EMPRISE
1) LA SEDUCTION : ils possèdent un sixième sens qui leur permettent de trouver vos failles.
2) LA DEVALORISATION : Insultes, critiques leur permettent d'attaquer votre "estime de soi"
et "votre confiance en vous".
3) L'ISOLEMENT : Ils créent des conflits qui vont lui permettre de vous isoler.
POUR VOUS VAMPIRISER ILS UTILISENT :
La double contrainte
(quoi qu'on fasse rien ne va jamais)
Définition : Situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes
ou pressions contradictoires ou incompatibles.
Si la personne est ou se sent prisonnière de la situation (notamment un enfant),
cela rend le problème insoluble et engendre à la fois troubles et souffrances mentales.
La double contrainte peut se produire dans toute relation de domination.
Elle est reconnue par Amnesty International comme de la torture mentale.
La culpabilisation :
Ils culpabilisent l'autre ; on se sent toujours responsable.
Le chantage affectif
PEUVENT ILS CHANGER ?
NON.
Ils ne peuvent pas changer car ils ne sont respondables de rien :
Inutile d'essayer de les convaincre.
S'EN SORTIR
1) Quand on est mal dans une relation on a le droit de la quitter,
qu'on soit Fille ou Fils de, Conjoint ou conjointe de :
Aucun être humain n'a de raisons valables pour maltraiter quelqu'un
(une enfance difficile n'est pas une raison).
Il est très difficile de sortir de l'emprise ; ça demande beaucoup d'énergie.
2) Face au MPN, on ne se justifie pas, on n'argumente pas,
on n'essaie pas de faire entendre raison...
3) Pour se reconstruire, il faut panser ses plaies,
et travailler son estime de soi et sa confiance en soi.
La victime doit mettre "ses valeurs" de côté pour se reconstruire.
Par peur d'être rejetée, la victime en oublie ses besoins propres,
il faut donc se repositionner par rapport à ce que l'on désire dans la vie.
Au fur et à mesure que les victimes vont mieux, elle récupèrent l'humour et peuvent prendre du recul.
Quand on s'en sort on est plein d'énergie, c'est très difficile mais c'est possible.
CONCLUSION
Il ne faut jamais minimiser la violence qu'elle soit physique ou psychologique...
Il faut être à l'écoute des victimes.
Il est très difficile de vivre une vie d'adulte en gardant le contact avec un parent PN.
C'est très compliqué car la contre manipulation ne marche que sur le court terme.
Il y a forcément un prix à payer...
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"En vertu de mes recherches durant ces dernières années,
la vie après la mort est à mes yeux aujourd'hui plus qu'une hypothèse solide.
Voilà plus de dix ans que j'enquête à travers le monde, rencontrant des chercheurs,
des médecins, des hommes, des femmes et des enfants
vivant des expériences incroyables de contacts avec des défunts.
Je travaille et côtoie des médiums depuis des années.
Tout ce temps je suis resté dans mon rôle de journaliste rigoureux et objectif.
Et c'est précisément cette posture qui me conduit aujourd'hui à reconnaître l'évidence :
la mort n'est pas la fin de la vie".
Extrait de "Le Test" de Stéphane Allix.
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Le Cercle des poètes disparus
CARPE DIEM
(Cueille le jour présent)
Les dangers du conformisme -
Extrait du film "Le cercle des poètes disparus"
C'est d'abord l'histoire d'une bande de garçons ô combien ordinaires
se retrouvant coincés dans une époque froide et dans un lycée rigide aux méthodes rigoureuses.
Au contact de ce professeur de lettre quelque peu excentrique,
les élèves vont découvrir que de nouvelles voies d'avenir leur sont promises
et ils vont apprendre que leur pensée ne doit pas être altérée par un ordre établi.
"Ne vous laissez pas dicter votre avenir, laissez libre cours à vos envies et surtout profitez du moment présent".
C'est un doigt d'honneur
destiné à toutes sortes de conformisme et autre traditionalisme.
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Qui est cet inconnu capable d'en remontrer au grand Czentovic,
champion mondial des échecs, véritable prodige aussi fruste qu'antipathique ?
Peut-on le croire, quand il affirme qu'il n'a pas joué depuis plus de vingt ans ?
Les circonstances dans lesquelles l'homme a acquis cette science sont terribles.
Elles nous renvoient aux expérimentations nazies sur les effets de l'isolement absolu,
lorsque, aux frontières de la folie, entre deux interrogatoires,
le cerveau humain parvient à déployer ses facultés les plus étranges.
Une fable inquiétante, fantastique, qui,
comme le dit un personnage avec une ironie douloureuse,
"pourrait servir d'illustration à la charmante époque où nous vivons".
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"Il y a un certain nombre d'années, avant que je ne rencontre la psychanalyse,
une amie chère me dit à propos de son analyse :"ça m'a sauvé la vie !".
J'en fus interloquée. Quoi ?
Comment cette amie d'enfance que j'avais toujours admirée
et à qui tout semblait réussir pouvait-elle avoir besoin d'être "sauvée" ?
Et comment son psy sur la base de simples échanges de paroles, pouvait-il avoir contribué à ce sauvetage ?
Sauver la vie ?!
L'expression était forte, ce n'était pas simplement : "ça m'a aidée à passer un moment difficile".
Non, cette jeune femme brillante et marquée en apparence du sceau de la réussite
avait dit "ça m'a sauvé la vie !". C'était invraisemblable !
Il m'a fallu à mon tour avoir besoin d'entreprendre une analyse,
puis commercer une pratique d'analyse pour me remettre de mon étonnement initial.
Aujourd'hui je voudrais apporter mon témoignage.
Témoigner de l'incroyable expérience et du formidable parcours qu'est une cure analytique.
Oui, une analyse, ça peut sauver la vie ! En tout cas ça vous change la vie.
Comment ?
Comment, se demandera t-on, une pratique basée sur la parole peut elle avoir des répercussions sur votre vie,
votre façon d'être avec les autres, votre corps, vos pensées, votre caractère ?
Celui qui a été au bout de son analyse sait au plus intime de lui-même, de sa chair, de sa vie
que l'analyse est une expérience qui vaut la peine d'être tentée, d'être vécue,
qu'il y a un avant et un après,
qu'il n'est plus, au terme de son parcours analytique,
ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre,
que les choses ont changé pour lui, que sa vie s'en est trouvée transformée
parfois de façon discrète et pourtant de façon radicale"
.
"L'EFFET DIVAN"
Valérie BLANCO.
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Au premier niveau, le plus basique,
la méditation devient une technique parmi d'autres, de gestion du stress
par des exercices de respiration consciente
qui permettent de réguler les tensions mentales et émotionnelles.
C'est une définition exacte et une réalité,
car la méditation agit efficacement, très efficacement même contre le stress chronique.
Puis vient l'abord plus neuroscientifique :
la méditation serait, d'abord, un entrainement du mental,
un apprentissage progressif pour aborder différemment nos états d'âme, nos pensées ou nos émotions.
Un entrainement qui transforme la chimie du cerveau
et nous ouvre la voie à des modifications profondes de notre attitude
face à nous mêmes, face aux autres, face au monde.
Franchissons un cran supplémentaire, encore,
pour comprendre la méditation comme une pratique qui vise l'éveil à soi-même.
Un éveil qui passe par une connaissance subtile et pleinement consciente de soi,
qui nous invite à une plongée ininterrompue au fond de nous mêmes pour en découvrir les moindres méandres.
Un éveil qui nous oblige à nous repenser, à repenser notre place dans l'environnement,
à repenser le sens de notre vie et de nos valeurs.
Pour les plus initiés, la méditation devient une pratique profonde de l'esprit qui nous relie à l'univers.
En méditant, la conscience claire qui s'installe au cœur de notre être se confond avec l'humanité toute entière.
Nous percevons notre place, infime, dans une existence qui nous dépasse.
Les méditants engagés y trouveront une philosophie de vie, un art spirituel,
une puissante connexion à eux mêmes qui,
en les dégageant de l'égo, procure une paix et une sérénité infinie.
J.S.F
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Conférence du 30 janvier 2020
La thérapie par les bols tibétains ou bols chantants,
est une technique de thérapie utilisée depuis des millénaires dans la région de l'Himalaya
et dans d'autres parties d'Asie.
Elle fait appel aux sons et à leurs vibrations pour agir sur notre corps.
Les bols tibétains sont composés de sept métaux :
cuivre étain, fer argent mercure plomb et or.
Ces "sept" métaux font aussi référence aux sept chakras, aux sept planètes,
aux sept jours de la semaine, aux sept éléments...
Ils peuvent être natures, gravés à la main ou gravés à la machine.
On parle de bols tibétains mais ils sont fabriqués artisanalement au Népal,
faits à l'ancienne et martelés à la main.
Des chamanes les ont apportés dans l'Himalaya et les moines bouddhistes les ont adoptés.
Ce sont des instruments sacrés.
Notre corps est principalement constitué d'eau : c'est sur elle que les bols vont jouer.
La pratique des bols tibétains repose sur la certitude que le stress et les énergies négatives
amènent de mauvaises vibrations dans notre corps.
Malheureusement ces vibrations ne font pas que passer, nos cellules les emmagasinent.
La manipulation des bols agira sur l'eau que contient notre corps.
L'eau transmettra alors ses vibrations à nos cellules, qui finiront par vibrer au rythme du chant du bol.
Le son provoque des vibrations qui envoient de l'énergie... Les vibrations agissent sur les cellules.
Ils agissent sur le physique, sur le mental et sur le spirituel.
Les soins par les bols tibétains apportent équilibre, bien être, auto guérison, santé,
force de vie, paix, inter éveil, ressource émotionnelle ;
Ils rétablissent le flux énergétique.
Quand on fait vibrer un bol, on équilibre et recentre les chakras*.
Les sept chakras principaux sont les sept centres d'énergie.
Ils sont situés le long de la colonne finissant au cerveau, du périnée au sommet du crâne.
Chakra couronne
Chakra du troisième œil
Chakra de la gorge
Chakra du cœur
Chakra du plexus solaire
Chakra sacré
Chakra racine.
Les bols sont récepteurs, émetteurs et amplificateurs d'énergie.
Chacun y réagit différemment.
On peut aussi l'utiliser pour nettoyer la maison des mauvaises énergies.
On distingue le son "frappé" et le son "chanté".
son chanté
son frappé
Certains sont utilisés dans le massage du corps (5 métaux seulement). Le cuivre entre dans le corps.
Autres présentations au cours de cette conférence :
Les bols de cristal ont été découverts dans les années 90.
A l'origine ce sont des creusets de laboratoire (préparation pharmaceutique)
Ils sont faits avec de la poudre de quartz naturel que l'on chauffe.
Les Cymbales suspendues (or et mercure)
Le Gong
Les tambours Chamaniques
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Freud s'est suicidé en 1939.
Depuis plusieurs années, son cancer de la mâchoire
l'empêchait de se rendre à des congrès ou de prononcer des conférences.
Sa fille Anna lui servait de lien avec le monde extérieur,
car son cancer de type nécrosant dégageait une odeur difficilement supportable.
Selon Max Schur, qui fut son ami et médecin personnel,
la décision de se suicider du père de la psychanalyse est liée au fait que son chien,
offert par la princesse Marie Bonaparte et qui ne le quittait jamais,
même pendant ses consultations, lorsqu'il en donnait encore,
avait refusé d'entrer dans sa chambre.
La perte de ce lien lui a ôté toute envie de poursuivre son existence.
Sigmund Freud était un grand collectionneur.
Le collectionnisme de Freud était plus qu'un passe-temps. C'était une passion .
Et cette passion le faisait exister dans un monde hostile.
N'alla-t-il pas jusqu'à demander que, après sa mort, ses cendres soient déposées
dans l'une des urnes grecques de sa collection ?
Robert Neuburger - Exister.
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Votre point faible : trop de méfiance.
Vous faites preuve de beaucoup de prudence face au monde extérieur.
Dans de nombreuses occasions, votre vigilance est un atout
mais qui peut aussi se retourner contre vous
car vous éprouvez une véritable difficulté à accorder votre confiance.
Vous avez tendance à vouloir tout décortiquer, analyser pour éviter de commettre des erreurs d'appréciation.
Lorsqu'une personne s'exprime, vous doutez souvent de l'authenticité de ses propos.
"Il a dit mais le pense t-il vraiment ?".
En d'autres termes, vous semblez avoir un peu peur de vous faire abuser.
Ce qui a pour conséquence de ne compter la plupart du temps que sur vous-même...
N'auriez-vous pas vécu une déception profonde de nature familiale
qui vous pousse à adopter une attitude de réserve un peu systématique ?
Si vous êtes si souvent sur vos gardes, c'est probablement pour vous épargner de nouvelles blessures.
Laissez parler davantage votre intuition et votre sensibilité !
Ne bridez pas vos élans !
Allez vers les personnes qui vous sont de prime abord sympathiques,
quitte à revenir ensuite sur vos premières impressions.
Vous goûterez ainsi à un plaisir que vous vous refusez trop souvent : la spontanéité !
TEST PSYCHOLOGIE.COM - 02/2016
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