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Derrière l'alcoolisme et la toxicomanie
se retrouve un seul et même problème :
des carences affectives accumulées depuis la tendre enfance.
Le manque de communication véritable au sein de la famille
les a empêchés d'acquérir une estime de soi et une confiance en soi
qui sont essentielles à un développement équilibré.
Leur grande difficulté consiste à exprimer leurs émotions.
Pour compenser, ils ont choisi l'alcool ou la drogue
pour se mettre à l'abri de tout ce qui peut venir perturber leur vie.
L'alcool et la drogue anesthésient les problèmes pendant un certain temps.
Ils procurent une euphorie, un certain calme, une forme de paix, un moment d'oubli
et leur permettent de s'exprimer,
ce qu'ils ne savent pas faire quand ils sont à jeun.
D.PIETRO - LA DEPENDANCE AFFECTIVE.
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Le manque d'amour de soi ne s'explique pas par la présence d'une disgrâce.
C'est tout à fait le contraire :
c'est la mésestime de soi, la pauvreté narcissique
qui incite à se trouver toutes sortes d'anomalies, d'insuffisances et de défauts.
Mieux vaut s'atteler plutôt à repérer
la représentation narcissique abimée que l'on s'est forgée au fil des ans pour la différencier de la réalité,
qui n'est bien souvent qu'une construction fantasmatique.
Ce qui est absolument évident et indispensable à comprendre,
c'est que ce ne sont point les autres qui nous épient de l'extérieur,
pour nous juger, nous critiquer et nous condamner.
C'est bien le sujet lui-même qui joue simultanément les deux rôles :
celui du procureur inflexible et celui du déporté, du bourreau et du martyr, sans la médiation d'un tiers.
Les autres n'existent pas vraiment,
c'est à dire qu'ils ne jouent pas ce rôle surmoïque d'accusateur que nous leur attribuons.
Ils ne représentent que la partie sombre de nous-mêmes,
l'enfant intérieur coupable qui se croit mauvais.
Monsieur Moussa Nabati
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QUAND UNE PERSONNE TE PARLE DE SES PROBLEMES,
ELLE N'EST PAS EN TRAIN DE SE PLAINDRE,
ELLE EST JUSTE EN TRAIN DE TE FAIRE CONFIANCE...
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.... L'Ane au fond du puits....
Un jour, l'âne d'un fermier tomba dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement depuis des heures, et le fermier se demanda quoi faire.
Finalement, il décida que l'animal était vieux et le puits devait disparaître de toute façon ;
ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.
Il invita tous ses voisins à venir et à l'aider.
Tous saisirent une pelle et commencèrent à enterrer le puits.
Au début, l'âne réalisa ce qui se produisait et se mit à crier terriblement.
Puis, à la stupéfaction de chacun, il se tut...
Quelques pelletées plus tard,
le fermier regarda dans le fond du puits et fut étonné de ce qu'il vit...
A chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l'âne faisait quelque chose de stupéfiant :
il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus...
Bientôt chacun fut stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mette à trotter !
La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes "d'ordures"..
Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.
Chacun de tes ennuis est une pierre qui te permet de progresser.
Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais...
Il ne faut jamais abandonner !
Secoue toi et fonce !
Rappelle toi les cinq règles simples à ne jamais oublier,
surtout dans les moments les plus sombres...
Pour être heureux, libère ton cœur de la haine,
libère ton esprit des inquiétudes,
vis simplement,
donne plus et attends moins....
SOURCE : Le Net, auteur inconnu....
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Conférence :
Les manipulateurs pervers narcissiques
Le 30/03/2018 - 19H30 à 21H30
Hôtel Arlux
Rue de Lorraine
6700 ARLON
BELGIQUE
Les manipulateurs, pervers narcissiques sont comme un poison dont on boirait chaque jour une petite goute.
Pas assez pour avoir une réaction soudaine
mais juste ce qu'il faut pour nous atteindre, nous affaiblir, nous détruire à petit feu.
Juste ce qu'il faut pour penser que l'on ne peut pas s'en passer
et ne pas voir qu'il s'infiltre dans les moindres recoins de notre estime de soi, de notre corps, de notre âme.
Emprise, violence physique et ou psychologique, destruction massive, manipulation,
culpabilité, chantage affectif, humiliations, mensonges...
Si ces mots vous sont familiers, il est temps de vous informer et d'entrevoir les solutions.
Nous aborderons les difficultés que représente le fait de grandir
face à un parent manipulateur pervers narcissique. Les impacts que ça laisse, les blessures qu'il faut guérir,
les croyances que l'on développe en tant qu'enfant et les traces et conséquences dans la vie d'adulte.
Dans un couple, un MPN est une vraie arme de destruction massive.
Estime de soi, confiance en soi, intégrité physique et psychologique, dépendance affective, peur
sont autant d'éléments utilisés et entachés par son emprise.
Enfin nous aborderons les solutions et les façons de s'en sortir.
Nous vous donnerons des pistes afin de vous reconstruire et de vous en sortir.
Cette conférence s'adresse également aux avocats, juristes, juges, assistants sociaux, psy,
personnel soignant en tous genres, médiateurs enseignants, éducateurs, coach et toute personne qui,
de près ou de loin, sont en contact ou seront en contact avec des victimes de manipulateurs.
Venez vous informer, apprendre les clés pour les reconnaître, connaître les comportements à avoir
face à ce type de personnes et les meilleures façons d'aider leurs victimes.
Cette conférence sera réaliste mais pleine d'espoir !!
Le premier pas de la libération est l'information et avec elle la prise de conscience.
Le livre "Survivre aux parents toxiques",
qui traite des parents manipulateurs pervers narcissiques écrit par Julie Arcoulin, sera disponible sur place.
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"La question est vertigineuse.
Ils évoluent dans une matière différente de la nôtre.
Un monde de matière dans lequel il n'y a pas d'espace ni de temps.
Les déplacements s'y font instantanément, plus vite que la pensée.
C'est un univers un peu à l'image du nôtre, dans lequel ils peuvent recréer des mondes.
Cette réalité est difficile à concevoir avec nos mots terrestres.
En revanche la ressentir est possible.
C'est ce qu'ont fait celles et ceux qui ont traversé une EMI.
Et eux-mêmes dans leurs témoignages ont du mal à expliquer avec des mots ce dont ils ont fait l'expérience.
Ils ont senti, ils ont acquis une connaissance sans qu'elle ait été verbalisée.
Peut être gagnerions nous à favoriser la pratique
des techniques et méthodes qui permettent de faire taire notre mental
et ouvrir nos autres sens de perception, pour commencer à appréhender le monde subtil ?
Méditation, techniques respiratoires, voyages chamaniques...
autant de voies à explorer pour commencer à vraiment activer nos outils intuitifs".
Extrait de "Le Test" de Stéphane Allix.
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"Ma fille est sous l'emprise d'une thérapeute".
"Fin 1999, j'avais 41 ans , mon simulacre de vie de couple me rendait de plus en plus malheureuse,
et mes enfants, Lily 17 ans et Rémy, 19 ans, étaient en souffrance.
J'avais besoin d'aide pour les accompagner eux aussi.
Une connaissance m'a recommandé une thérapeute formidable !
Je n'avais aucune confiance dans ce que je ressentais et j'étais persuadée que l'autre
-à plus forte raison s'il était spécialiste- saurait mieux que moi.
Cette femme m'a accueillie avec gentillesse et douceur, et a proposé de m'aider.
J'ai accepté en confiance et suis allée la consulter chaque semaine, à cent vingt kilomètres de chez moi.
Assez vite, je lui ai également amené mes enfants. Rémy l'a très peu vue, mais Lily a apprécié,
elle s'intéressait aux médecines alternatives et l'a rencontrée plusieurs fois.
Après avoir suivi une courte formation, Lily a été embauchée comme assistante par ma thérapeute,
qui, en plus de s'intituler conseillère en Fleurs de Bach, se pique de Kinésiologie, de décodage généalogique et de réflexologie.
Elle l'a même hébergée chez elle pendant trois mois, le temps qu'elle trouve un appartement.
Nous en étions ravies toutes les trois ! A partir de cette période,
nous terminions mes séances par un petit resto toutes ensemble, auxquels se sont vite ajoutés réveillons,
et de courtes vacances au bord de la mer... Nous ressemblions à un groupe d'amies.
Lily a rencontré un compagnon, et moi, puisque les enfants volaient de leurs propres ailes, j'ai eu la force de quitter mon mari.
Les consultations se sont légèrement espacées,
mais je faisais tout de même le trajet pour nos soirées resto qui, finalement, devenaient des séances de thérapie de groupe.
Je souhaitais ardemment continuer à progresser, même si j'étais gênée que Lily participe à toutes mes séances,
d'autant plus que la thérapeute me "décodait" une nature de plus en plus sombre, ce qui faisait de la peine à ma fille.
Quand je me suis ouverte de ma gêne à la dame, elle m'a renvoyée à mon "orgueil"...
Elle se définissait comme "un être d'amour et de lumière", une personne fragile et délicate,
remplie d'un grand savoir que beaucoup lui enviaient.
Je faisais, selon ses dires, partie de ces envieux que,
dans sa grande bonté, elle continuait malgré tout d'accompagner vers sa lumière.
Consciente de mes imperfections, je la croyais et m'attelais avec encore plus d'ardeur à vouloir évoluer.
Jeu de séduction et rivalité.
En 2010, je suis venue m'installer dans la région pour faciliter mon évolution en fréquentant davantage le groupe.
La thérapeute, chez qui j'ai été hébergée à mon tour pendant plusieurs mois le temps de trouver un logement,
a, par un jeu de séduction, instillé une rivalité entre nous.
Nous voulions toutes lui plaire, la satisfaire, obtenir son approbation, même au détriment de ma relation avec ma propre fille,
je dois le reconnaître avec une grande tristesse.
Lily a commencé à avoir des problèmes physiques : elle souffrait de tremblements et d'un strabisme fluctuant.
De mon côté, je me sentais de plus en plus ressembler au "monstre" que ma thérapeute voyait en moi.
Malgré mes efforts, je n'arrivais pas à évoluer selon ses critères. Je ne savais plus comment me comporter...
Lorsque je me rendais au cabinet, tout geste d'affection envers Lily m'était interdit, je me sentais devenir une étrangère.
Après s'être "décodé" une lignée royale, et à moi une famille incestueuse, la dame a annoncé pouvoir "sauver" ma fille.
Elle s'est érigée en père et mère pour elle et a décrété que c'est Lily qui lui donnerait une descendance digne...
Je ne savais plus que penser.
Moi qui étais un être sans cœur, un animal, une mauvaise mère, avais je le droit de réagir ?
Dans le même temps, je réalisais qu'elle s'appropriait mes anecdotes personnelles.
Elle était en train de voler ma fille, et aussi ma vie.
Un jour, elle a dit à Lily : "il serait temps que tu voies ta mère comme elle est."
Quelque chose s'est réveillé en moi.
J'ai entendu un hurlement du fond de mes entrailles. Quelque chose s'est réveillé en moi, mais je n'ai rien dit.
A cette époque, elle a encouragé Lily à quitter son compagnon et, dans la foulée, elle lui a fait tourner le dos à tous ses amis.
J'étais de plus en plus épuisée. Au moment de partir en vacances ensemble, en mai 2013,
j'ai rassemblé tout mon courage pour annoncer en pleurant que je n'avais pas la force de me joindre à elles.
La thérapeute y a vu une preuve supplémentaire de mon refus d'évolution.
C'est la dernière fois que j'ai mis les pieds au cabinet.
A partir de ce jour-là, elle a refusé tout échange avec moi, plus de rendez vous, plus de réponse à mes messages,
j'ai été "ghostée", et la consigne a été donnée à Lily et à l'autre assistante d'en faire autant.
Pendant longtemps, j'ai été convaincue qu'elles se protégeaient de moi parce que j'étais mauvaise.
J'ai continué à donner des nouvelles de temps en temps, par texto et par mail, sans réponse.
Je suis allée voir Lily, pour lui dire que je voulais comprendre.
Elle m'a répondu que la thérapeute m'avait donné tout ce dont j'avais besoin pour évoluer, qu'il n'y avait rien à ajouter.
Par la suite, j'ai rencontré des personnes qui m'ont réellement aidée.
J'avais un chagrin immense, et ces gens m'ont permis d'entendre puis d'accepter que je n'étais pas un monstre,
un "animal" sans cœur, et que j'avais été manipulée.
Lily a 33 ans aujourd'hui.
Elle est seule, sous l'emprise de cette personne qui, plus encore qu'un clone,
en a fait une projection de l'être parfait qu'elle croit être elle-même.
Elle travaille pour cette femme six jours sur sept, et ne vit que pour et par elle.
Sa santé s'est sérieusement détériorée, mais on l'a persuadée que tout son mal vient de moi.
Elle refuse donc que je la contacte de quelque façon que ce soit.
Petit à petit, ma vie se remet en marche, mais je garde en moi cette grande faille, ce gouffre, quand je pense à Lily et à sa vie.
Je sais que chacun doit vivre ses expériences et que nous devons laisser nos enfants libres de leurs choix.
Mais qu'elle peut être notre action lorsqu'ils sont sous l'emprise de quelqu'un qui les manipule ?
Comment pouvons nous les aider à réaliser qu'ils sont en danger alors qu'ils portent leur bourreau aux nues dans un aveuglement et une soumission absolus ?
Où se situe la frontière entre le respect du libre arbitre et la non assistance à personne en danger ?
Jusqu'où devons nous rester impuissants ?
SOURCE : PSYCHOLOGIE.COM
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Hé toi qu'est ce que tu regardes ?
T'as jamais vu une femme
Qui se bat
Suis moi
Dans la ville blafarde
Et je te montrerai
Comme je mors, comme j'aboie.
Prends garde Sous mon sein la grenade
Sous mon sein là regarde
Sous mon sein la
Grenade
Prends garde Sous mon sein la grenade
Sous mon sein là regarde
Sous mon sein la
Grenade
Hé toi, Mais qu'est ce que tu crois ?
Je ne suis qu'un animal
Déguisé en madone
Hé toi je pourrais te faire mal
Je pourrais te blesser,
oui Dans la nuit qui frissonne
Prends garde Sous mon sein la grenade
Sous mon sein là regarde
Sous mon sein la
Grenade
Prends garde Sous mon sein la grenade
Sous mon sein là regarde
Sous mon sein la
Grenade
Hé toi, qu'est ce que tu t'imagines ?
Je suis aussi vorace
Aussi vivante que toi
Sais tu ?
Que là sous ma poitrine
Une rage sommeille
Que tu ne soupçonnes pas
Prends garde Sous mon sein la grenade
Sous mon sein là regarde
Sous mon sein la
Grenade
Prends garde
Sous mon sein la grenade
Sous mon sein là regarde
Sous mon sein la
Grenade
Prends garde
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Le jeune Freud a connu la honte
quand son oncle Joseph, accusé d'un trafic de fausse monnaie, a fait la une des journaux de Vienne
et surtout quand son père s'est laissé humilier.
"Quand j'étais jeune, raconte le père, je suis sorti dans la rue un samedi,
bien habillé avec un bonne de fourrure tout neuf.
Un chrétien survint, d'un coup envoya mon bonnet dans la boue en criant ;
"juif, descends du trottoir !"
"Qu'as tu fait ?" demande l'enfant.
"J'ai ramassé mon bonnet".
Dès lors, le jeune Sigmund se met à élaborer des fantasmes de revanche.
Il s'identifie à Hannibal, ce sémite magnifique et intrépide
qui avait juré de venger Carthage malgré la puissance de Rome...
L'enfant fit preuve d'indépendance intellectuelle, de maîtrise de soi et de bravoure physique.
Le petit garçon avait ressenti la honte,
parce que l'escroquerie d'un proche et la lâcheté du père
avaient été exposées aux yeux de tous dans les journaux de Vienne et sur la scène publique.
BORIS CYRULNIK - MOURIR DE DIRE - LA HONTE.
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"Je ressens comme une sorte de libération qui s'opère en moi petit à petit.
Je vois davantage qui je suis, une femme moins dépendante de la reconnaissance et de l'approbation des autres.
Mais j'ai encore beaucoup de chemin à parcourir !
Même si mon entourage me donne les preuves d'affection auxquelles j'aspire,
cela ne suffit pas pour apaiser ma quête d'amour...
Le seul regard qui pourrait vraiment y contribuer
est celui que je serai amenée, je l'espère, à porter sur moi même.
Moi seule peux me donner ce regard de tendresse et de bienveillance
que j'ai désespérément recherché tout au long de ma vie.
Nous connaissons tous la théorie, mais la mise en pratique est une toute autre histoire !
SOPHIE DAVANT
"Ce que j'ai appris de moi".
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