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    "La gratitude, c'est d'abord remercier la vie, ne pas se montrer ingrat envers elle,

    mais c'est aussi savoir lui rendre ce qu'elle nous a donné.

    La vie est un échange permanent.

    Nous recevons, apprenons à donner.

    Et donner, c'est aussi transmettre. Y compris un savoir.

    J'ai choisi d'écrire des livres que l'on appelle "grand public",

    car accessibles, lisibles par tous,

    plutôt que les ouvrages savants auxquels me destinait ma formation universitaire.

    J'ai publié de tels livres et dirigé trois encyclopédies (et heureusement qu'il en existe),

    mais bien peu sont ceux qui les lisent.

    J'ai préféré transmettre à un large public

    des éléments de réflexion philosophique, psychologique et spirituelle qui m'avaient aidé à mieux vivre.

    J'ai souhaité que ceux qui n'avaient pas pu passer des années, comme moi,

    le nez plongé dans les textes de Platon ou d'Aristote,

    de Spinoza ou de Jung, du bouddhisme ou de la Bible,

    puissent quand même les découvrir et appréhender leurs messages de sagesse.

    J'avais ces outils, je les ai mis à la disposition d'un grand nombre de lecteurs.

    Transmettre le  savoir fait partie de l'échange fondamental de la vie,

    et cette joie-là vaut bien de supporter les quelques critiques ou jugements négatifs

    de ceux qui ne veulent voir dans cette démarche

    qu'une dégradation du savoir ou une simple recherche de profit".

     

    Frédéric Lenoir.

    La puissance de la joie.

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    "Pour cela, je vous remercie Monsieur Frédéric Lenoir"

    FAUSTINE

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "Méditer, c'est aller au fond de l'océan où tout n'est que calme et tranquillité.

    Une multitude de vagues a beau agiter la surface de l'océan,

    ses profondeurs n'en sont pas affectées pour autant,

    elles demeurent dans le silence...

     

    Qu'est ce que la méditation ?

     

    Tous nos tourments quotidiens s'évanouissent d'eux mêmes.

    Une paix indestructible s'installe en nous."

     

    Sri Chinmoy

    J.S.Faschin

     


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    Illustration tirée du livre de R. Fiammeti :

    les cartes du langage émotionnel du corps.

     

     

    Quand on rencontre la souffrance que l'on a occultée et surtout imprimée dans son corps,

    ce corps réagira démesurément.

    Les vertèbres jouent le rôle de fusibles.

    Si la tension est trop forte, les fusibles "sautent". La  vertèbre se met en lésion.

    Chaque vertèbre possède une signification émotionnelle.

    Elles est la partie visible, palpable de nos émotions enfouies au plus profond de nos tissus.

    Emotions imprimées car pas exprimées.

     

    Il est fréquent de rencontrer des individus

    qui ont totalement occulté un événement trop douloureux

    et qui retrouvent cette mémoire suite au traitement de libération des tissus du corps

    et des émotions par l'Approche Somato Emotionnelle.

     

    ROGER FIAMMETTI.

     

    Je confirme - FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "Le manipulé ne sachant pas qu'il aura face à lui, ange ou démon,

    peut avoir des périodes de vide, de dysphorie mais aussi des moments de révolte, d'angoisse, etc... *

    A force de contrôler ses émotions, à force de se sentir impuissant,

    il peut se mettre à avoir des colères intenses, voire non contrôlables

    face par exemple à des situations stressantes, de mensonges...

    Il peut se retrouver à moitié "parano"

    à force de chercher des messages cachés pour comprendre l'incompréhensible,

    il peut parfois avoir le sentiment de devenir à moitié fou".

     

    SOURCE LE NET


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    L'abus engendre un ensemble complexe d'émotions :

    La douleur, la peur, la rage, la peine.

     

    Schéma : Méfiance et abus.

     

    Ces émotions sont puissantes et bouillonnent à la surface.

    Les personnes victimes d'abus, ont beau être calmes en apparence,

    elles semblent sur le point d'éclater comme une digue qui se brise.

     

    Vos humeurs sont sans doute volatiles.

    Subitement vous êtes bouleversés, vos larmes ou votre colère subite stupéfient votre entourage.

    A d'autres moments vous décrochez, c'est ce qu'on appelle la dissociation.

    Vous semblez être ailleurs.

    Tout ce qui vous entoure vous paraît irréel, vos émotions s'engourdissent.

    Cette réaction vous a permis d'échapper psychologiquement à l'abus.

    Toute relation est pour vous douloureuse, elle est le règne du danger, de l'imprévisible.

    On vous blesse, on vous trahit, on se sert de vous.

    Vous devez constamment rester sur vos gardes.

    Il vous est difficile de faire confiance aux autres même à vos proches.

    En fait les personnes les plus proches de vous sont celles en qui vous avez le moins confiance.

     

     

    Résultat test "Je réinvente ma vie"

    Jeffrey E. Young et Janet S.Klosko

     

     

     

     


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    Christophe André

    est psychiatre et psychothérapeute, auteur notamment de "et n'oublie pas d'être heureux".

    Il exerce à l'hôpital Saint Anne à Paris.

    Il est spécialisé dans la prise en charge des troubles anxieux et dépressifs

    et tout particulièment dans le domaine de la prévention des rechutes.

     

    Qui est Christophe André ?

     

    Le Docteur Christophe André a vendu plus de deux millions d'ouvrages

    visant à guider ses lecteurs sur le chemin du bonheur.

    Il a coécrit son dernier livre, "trois amis en quête de sagesse",

    avec le moine bouddhiste Matthieu Ricard et le philosophe Alexandre Jollien.

     

     

     

    Qui est Christophe André ?

     

     

    "J'ai toujours aimé apprendre, mais sur le plan personnel, il y avait du boulot.

    Je suis un anxieux à tendance dépressive.

    J'ai compris en fac de médecine, en voyant mes propres symptômes décrits,

    que si je ne luttais pas pour aller mieux, j'allais pourrir ma vie et celle de mes proches.

    J'ai donc toujours testé sur moi les thérapies que je destinais à mes patients.

    Il n'y avait aucune aptitude au bonheur dans ma famille ;

    Ma mère était issue d'un milieu misérable, mon père, orphelin.

    Mes parents me protégeaient mais étaient d'une grande fragilité.

    Assez tôt, je me suis construit avec ce contre-modèle :

    si un jour j'avais des enfants, il n'y aurait pas de tristesses, de colères, de sautes d'humeur.

    J'ai dû et je dois encore, combattre ce passé.

    On ne se débarrasse pas des circuits cérébraux qui se sont mis en place très tôt, on apprend à les réguler.

    Si je n'ai pas le temps de faire ce qui m'équilibre, alors les angoisses, le désespoir, l'irritabilité reviennent.

    Comme chez nombre d'humains, ma vie aura été une luttre contre mes vulnérabilités.

     

    L'école me plaisait et mes profs me valorisaient...

    En terminale, j'ai découvert Freud. J'ai fait médecine à Toulouse,

    j'ai tout aimé à l'exception des stages aux côtés de psychiatres hospitaliers

    qui étaient pour la plupart psychanalystes lacaniens.

    Ils étaient froids avec les patients, ne répondaient pas aux questions.

    J'ai rencontré mon maître, Lucien Millet, un psychiatre chaleureux, humaniste, attentif aux patients.

     

    Un ami dont j'étais inséparable, s'est tué en moto devant moi au Portugal.

    Cela a été une rupture dans ma vie.

    Je suis parti quinze jours en retraite dans un monastère bénédictin

    parce que mes patients m'avaient dit que ça leur faisait du bien.

     

    Au début des années 2000, après avoir lu des publications scientifiques sur la méditation de pleine conscience,

    après m'être formé, avoir rencontré Matthieu Ricard, j'ai eu le sentiment comme avec Freud,

    de tenir à quelque chose de fondamental qui allait changer ma vie et celle de mes patients.

    La méditation de plaine conscience apprend à poser son attention sur l'instant présent.

    Elle est bien plus qu'une thérapie, c'est un changement de regard sur le monde.

     

    Je gagne ma vie de par l'écriture et les conférences,

    même si j'ai gardé deux journées de consultation à l'hôpital sur les troubles anxieux dépressifs.

     

    Je travaille chez moi, en chaussettes, en écoutant Bach et en buvant du thé...

    Ecrivain, s'était vraiment un métier pour moi, le solitaire sociable.

    Mon seul souci est celui de la notoriété : mes lecteurs pensent que je suis le seul à pouvoir les guérir.

    On m'idéalise... Tant de personnes semblent à la recherche de maîtres à penser.

    J'ai compris combien il était simple de fonder une secte !

     

    Nous avons un besoin biologique de gentillesse.

    Elle fait du bien à notre corps, le détend là où l'indifférence ou l'hostilité le crispent.

     

    Paul Claudel avait vu juste.

    " Le bonheur n'est pas le but mais le moyen de la vie".

     

     

     

     

     

    Source : Pascale Krémer

                Journaliste au Monde

                Le Monde, 17/01/2016.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Qu'est ce qu'une personne hypersensible ?

     

    L'hypersensibilité.

     

    La capacité à ressentir les choses plus vivement que les autres est l'une de leurs caractéristiques principales.

    Les hypersensibles sont très intuitifs.

    Ils vont au fond des choses pour tenter de les comprendre.

     

    Ils sont aussi plus touchés par ce qui les entoure.

    Ils ont plus d'empathie et se soucient d'avantage des problèmes de leurs amis.

    Ils sont aussi plus à l'écoute des réactions des autres face à quelque chose de négatif.

     

    Ils évitent parfois les sports d'équipe où chacun est observé en permanence

    mais préfèrent des activités physiques individuelles (cyclisme, course ou randonnée).

    Ils sont envahis par une sensation désagréable quand ils se rendent compte qu'ils se sont trompés.

    Les hypersensibles sont plus enclins à laisser parler leurs émotions.

     

    Ils sont souvent plus anxieux, plus dépressifs.

    Si vous avez eu une vie compliquée quand vous étiez petits,

    que vous ne vous sentiez pas à l'aise avec les gens, ni en sécurité chez vous ou à l'école,

    votre système nerveux est en mode "inquiet".

    Les parents des personnes hypersensibles doivent comprendre

    qu'il faut juste savoir prendre leurs enfants comme ils sont,

    sans les surprotéger, ni les abandonner à eux mêmes.

    Trouver le bon équilibre quand ils sont petits leur donnera confiance en eux, et leur permettra de s'épanouir".

     

    Ils ont tendance à faire davantage cas des autres et à se montrer plus polis.

    Ils sont aussi plus sensibles aux critiques.

    Ils s'efforcent de tout faire pour plaire ou se critiquent eux mêmes de manière préventive.

    Un hypersensible réagira de façon exacerbée à une critique qui ne vous aurait fait ni chaud ni froid.

     

    Les hypersensibles aiment généralement travailler au calme dans des bureaux fermés

    où ils ont plus d'intimité par exemple.

     

     

     

     

     

     

     


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    La dépendance affective.

     

    La dépendance affective débute très tôt, alors que l'enfant vit un manque affectif avec un parent.

    L'affection qu'il recherche ne lui est pas apportée par ce parent.

    L'enfant croit que ce manque lui est imputable,

    c'est à dire qu'il n'est pas assez aimable pour avoir de l'attention, de l'amour.

     

    Un train peut en cacher un autre...

     

    Pour survivre à la douleur qu'il vit, il décide d'adopter un comportement qui n'est pas le sien.

    Il tente de devenir ce qu'il croit que son parent aimerait qu'il soit

    ou il se révolte et devient le contraire de ce que ce parent aimerait.

     

    Il se trouve un dérivé physique par exemple un aliment sucré ou un jeu vidéo

    qui lui apporte une illusion de plénitude pour remplir le vide ressenti par son manque d'estime de lui-même.

    Voilà pourquoi, devenu adulte, cet enfant continue de chercher l'amour à l'extérieur de lui

    et développe des dépendances physiques.

    Nous savons donc que cette personne vit un manque profond au niveau de l'amour et de l'estime d'elle-même.

     

    La personne dépendante est en général une personne hyperémotive ;

    elle vit beaucoup d'attentes, d'émotions et de peurs.

    Elle sent un vide important et recherche inconsciemment la présence constante des autres.

    Il est impossible de recevoir toujours d'autrui une attention continuelle et même si elle l'obtenait,

    sa satisfaction ne serait que temporaire, puisque c'est toujours à recommencer.

    En plus d'être dépendant de la présence et de l'attention des autres,

    on peut dépendre des  compliments ou de la reconnaissance des autres pour se croire aimable.

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Tous les tourments proviennent de la confusion entre le passé et le présent,

    entre la réalité et la croyance.

    Réussir à jongler avec les deux pôles de la dialectique des contraires,

    comme avec le Yin  et le Yang, le féminin et le masculin, l'amour et l'autorité, la joie et la tristesse,

    comporte d'inestimables bénéfices.

    Cela favorise l'autonomie psychique, nourrit la confiance en soi,

    garantit l'unité de l'identité plurielle et, surtout,

    initie au désir, libérant de l'oppression du besoin infantile de plaire.

     

    Le sujet ne craint plus de déclencher un tsunami s'il ose se montrer vrai,

    il ne dit plus "amen" à tous par peur de blesser ou de déplaire.

    Il ne s'exténue plus, enfant thérapeute-pharmakos, à panser toutes les plaies.

    Il osera dire non parfois,

    fixer des limites, frustrer, exprimer son agressivité longtemps censurée,

    sans brutalité, de façon juste et saine.

     

     

    Mr MOUSSA NABATI

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Quelles sont les véritables conséquences d'une éducation toxique

    sur l'enfant et le futur adulte concerné ?

     

    "L'enfance est l'étape de la vie durant laquelle nous commençons à découvrir le monde,

    à nous développer et à nous habituer à vivre avec les autres.

    D'un autre côté, c'est une période où nous sommes particulièrement vulnérables et dépendants.

    Ce qui se passe pendant cette phase de notre existence

    a de grandes chances de s'ancrer dans notre esprit durablement.

     

    Cette réflexion vaut autant pour une enfance positive que pour une enfance négative,

    même si ces deux expériences ont des conséquences totalement différentes sur l'être humain.

     

    Cinq conséquences d'une éducation toxique...

     

    Un avantage ou un handicap nous est attribué durant notre enfance,

    et nous n'avons que peu de moyens de lutter contre cela.

     

    1) Ne pas avoir profité de son enfance

    Cette période ne reviendra pas une fois que nous l'aurons vécue,

    comme toutes celles qui composent notre histoire vitale.

    Une enfance toxique se traduit par une période triste, malheureuse ou compliquée.

    Le fait de ne pas avoir vécu cette étape de notre existence comme nous l'aurions souhaité,

    nous remplit bien souvent de rancœur envers les personnes pour qui nous avons des sentiments profonds.

    Les liens émotionnels de notre enfance survivent dans un entre-deux entre l'amour et la rancœur.

    Les sentiments dont nous parlons ne sont pas les fruits du hasard,

    mais de la valorisation postérieure des injustices, de la méfiance, des peurs, de l'abandon

    et de l'humiliation que nous avons pu subir durant cette période.

     

    2) Ne pas avoir appris à entretenir des relations saines avec les autres.

     

    La manière dont nous nous lions avec les autres se développe dès les premières années de notre vie.

    Nous apprenons à nous exprimer ou à rester silencieux, en fonction des situations,

    pour parvenir à établir une communication efficace.

     

    Cependant, les patrons erronés, comme la violence et la coaction sont très faciles à apprendre et à reproduire.

    Ils deviennent très difficiles à modifier une fois que nous les avons appris,

    surtout lorsque nous les voyons comme le seul moyen pour obtenir ce dont nous avons besoin.

    Même s'il est toujours possible de changer et d'acquérir les comportements sociaux qu'il nous manque,

    une éducation toxique freine le développement de notre potentiel émotionnel et communicationnel.

    Il est fort probable qu'à un moment donné de notre existence,

    nous soyons obligés de payer au prix fort les travers d'une éducation toxique.

     

    3) Ne pas savoir gérer son égo

    Une éducation toxique ne fait pas seulement référence à un manque de tendresse,

    ou au fait de subir continuellement le châtiment injustifié de l'indifférence.

    C'est également le fait d'être élevé par des personnes qui ne reconnaissent jamais leurs erreurs

    et qui surprotègent les enfants, en évitant à tout prix qu'ils soient confrontés aux erreurs qu'ils commettent

    et en projetant sur eux une image d'invulnérabilité, qu'ils ne retrouveront jamais dans le monde des adultes.

     

    L'enfant grandit alors avec une mauvaise image de lui-même, qui ne correspond pas à la réalité.

    Cette méconnaissance de lui-même lui sera très préjudiciable tout au long de sa vie.

     

    4) Manquer d'intelligence émotionnelle

    L'apprentissage de la gestion de nos émotions, ne fait partie d'aucune formation.

    Ce n'est pas enseigné de manière systématique aux enfants.

    Le fait que personne ne nous ait jamais appris à gérer nos émotions

    ne veut pas dire que nous ne pouvons pas l'apprendre par nous-mêmes.

    Cependant, nous devons faire des efforts supplémentaires, en observant les autres

    pour acquérir ce qui devrait être enseigné aux enfants dès leur plus jeune âge.

    Une enfance toxique est souvent le fruit de parents, de personnes référentes et de proches

    qui ont une intelligence émotionnelle peu développée.

    Cela peut être très dangereux pour les enfants,

    car ils deviennent vulnérables sur un point fondamental de leur existence future.

     

    5) Ne pas avoir de repères éducatifs.

    Le style d'éducation que nous avons eu

    va déterminer les références sur lesquelles nous allons nous baser

    pour éduquer les enfants qui se trouvent dans notre entourage. 

    S'il est vrai que nous avons souvent tendance à répéter les patrons

    et les comportements que nous avons connus de manière inconsciente,

    il n'est pas impossible de rediriger notre vie au prix d'efforts de compréhension et de connaissance de soi.

     

    Même si les personnes qui ont vécu une enfance difficile ont plus de mal à se développer sereinement,

    elles peuvent dépasser leurs limites et réorienter complètement leur existence.

    De cette manière, elles seront fières d'avoir pu se développer malgré un départ compliqué dans la vie,

    et cette victoire aura plus d'importance que tous les traumatismes qu'elle auront pu avoir durant leur enfance".

     

     

    SOURCE : "Nos pensées".

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La notion d'enfant intérieur est  apparue en psychologie dans les années 80.

     

    La Notion d'Enfant Intérieur

     

     

    "Elle représente la mémoire du petit être que nous avons été

    avec  ses joies et ses potentialités mais aussi ses blessures et ses entraves.

    Il est le gardien d'une vérité intérieure qui a été oubliée et qui a besoin d'être éclairée

    pour libérer et faire grandir des parties de soi."

     

    Marie-France et Emmanuel Ballet de Coquereaumont.

     

     


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    Quatre Principes Spirituels Indiens

     

    Ecoute ton coeur, il sait....

     

     

    "Quiconque vous rencontrez est la bonne personne"

    Personne n'arrive dans notre vie par hasard.

    Toute personne avec qui nous entrons en contact est là pour nous enseigner quelque chose.

     

    "Peu importe ce qui est arrivé, c'est la seule chose qui pouvait arriver"

    Chacune des circonstances de notre vie est absolument parfaite,

    même si elle semble défier notre compréhension et notre égo.

    Attendre, apprendre la leçon, avancer...

     

    "Chaque moment est le bon moment"

    Toute chose commence au bon moment, ni trop tôt, ni trop tard.

    Quand nous sommes prêts pour quelque chose de nouveau dans notre vie, c'est là, prêt à débuter.

     

    "Ce qui est terminé, est terminé"

    L'expérience nous a permis d'évoluer, de nous enrichir.

    Il est temps de lâcher prise et d'avancer.

     

     

     

     

     


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