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    L'abus engendre un ensemble complexe d'émotions :

    La douleur, la peur, la rage, la peine.

     

    Schéma : Méfiance et abus.

     

    Ces émotions sont puissantes et bouillonnent à la surface.

    Les personnes victimes d'abus, ont beau être calmes en apparence,

    elles semblent sur le point d'éclater comme une digue qui se brise.

     

    Vos humeurs sont sans doute volatiles.

    Subitement vous êtes bouleversés, vos larmes ou votre colère subite stupéfient votre entourage.

    A d'autres moments vous décrochez, c'est ce qu'on appelle la dissociation.

    Vous semblez être ailleurs.

    Tout ce qui vous entoure vous paraît irréel, vos émotions s'engourdissent.

    Cette réaction vous a permis d'échapper psychologiquement à l'abus.

    Toute relation est pour vous douloureuse, elle est le règne du danger, de l'imprévisible.

    On vous blesse, on vous trahit, on se sert de vous.

    Vous devez constamment rester sur vos gardes.

    Il vous est difficile de faire confiance aux autres même à vos proches.

    En fait les personnes les plus proches de vous sont celles en qui vous avez le moins confiance.

     

     

    Résultat test "Je réinvente ma vie"

    Jeffrey E. Young et Janet S.Klosko

     

     

     

     

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    Votre point faible : trop de méfiance.

     

    Pour mieux se connaitre....

     

     

    Vous faites preuve de beaucoup de prudence face au monde extérieur.

    Dans de nombreuses occasions, votre vigilance est un atout

    mais qui peut aussi se retourner contre vous

    car vous éprouvez une véritable difficulté à accorder votre confiance.

    Vous avez tendance à vouloir tout décortiquer, analyser pour éviter de commettre des erreurs d'appréciation.

    Lorsqu'une personne s'exprime, vous doutez souvent de l'authenticité de ses propos.

    "Il a dit mais le pense t-il vraiment ?".

    En d'autres termes, vous semblez avoir un peu peur de vous faire abuser.

    Ce qui a pour conséquence de ne compter la plupart du temps que sur vous-même...

    N'auriez-vous pas vécu une déception profonde de nature familiale

    qui vous pousse à adopter une attitude de réserve un peu systématique ?

    Si vous êtes si souvent sur vos gardes, c'est probablement pour vous épargner de nouvelles blessures.

     

    Laissez parler davantage votre intuition et votre sensibilité !

    Ne bridez pas vos élans !

    Allez vers les personnes qui vous sont de prime abord sympathiques,

    quitte à revenir ensuite sur vos premières impressions.

    Vous goûterez ainsi à un plaisir que vous vous refusez trop souvent : la spontanéité !

     

    TEST PSYCHOLOGIE.COM - 02/2016

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Tendance : l'inhibition.

     

      

    Une grande difficulté, 

    voire une impossibilité à émettre et recevoir des critiques,

    à soutenir un point de vue minoritaire ou marginal,

    à livrer le fond de sa pensée avec franchise :

    pour vous, la prise de parole engagée est rare,  hésitante

    ou se rallie par peur et confort à l'opinion dominante.

     

    Pour mieux se connaître : Savez vous être authentique ?

    Beaucoup de choses ont changé déjà...

      

     L'émotion qui sous tend les relations est l'anxiété.

    Pris sous le regard de l'autre, guettant son jugement, espérant sa validation,

    il est difficile de livrer sa pensée et ses sentiments de manière authentique.

    Cette peur du jugement, du rejet a probablement pris racine dans l'enfance.

    Les individus trop sensibles au regard de l'autre ont été coincés dans un amour parental très conditionnel

    qui leur a fait associer l'estime de soi et la confiance en soi, aux résultats, à la performance.

    Ce qui peut expliquer leur perfectionnisme qui vient encore inhiber la spontanéité.

    Des parents autoritaires, colériques, génèrent aussi de l'inhibition

    dans la communication et la recherche de validation.

     

    Le versant positif :

    une modération qui peut apaiser des conflits,

    un capital d'empathie,

    donc une bonne écoute.

     

     

    Test psychologie magazine 04/2012

     

     

     

     

      

     

     

     

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  •                                                                                                   02/2015

     

     

     De ce jour, je n'aurai de cesse de me comprendre, de me connaître

    et tous les moyens seront bons ;

    forum, livres, tests psychologiques...

    Je saisis toutes les opportunités.

     

     

    Test psychologique

     

    Résultat d'un test... éloquent !

    Je dois vraiment me décider.

     

    Votre motivation à entreprendre une thérapie pourrait bien reposer sur le fait de faire table rase du passé,

    en évacuant enfin les souffrances accumulées,

    rarement exprimées, souvent à peine verbalisées.

     

    Il semble en effet que vous trainez avec vous, (peut être depuis de nombreuses années),

    des pleurs ou bien des colères que vous avez dû ravaler afin de continuer à avancer malgré tout.

    Ce faisant, vous avez comprimé ces émotions.

     

    C'est donc l'aspect carthactique, libérateur, qui tiendrait le plus votre attention.

    Vous attendriez du thérapeute qu'il vous offre un espace sécurisé et sécurisant où déverser enfin vos émotions.

    Ne plus les contenir ainsi, mais au contraire, les "lâcher".

     

    Vous privilégieriez pour cela

    un thérapeute qui vous inspirerait suffisamment de confiance et d'empathie

    pour pouvoir accepter d'abandonner un peu votre carapace et d'inscrire vos souffrances dans un lien.

    En somme, ce qui vous ferait franchir la porte du cabinet d'un psy

    serait le désir de ne plus garder pour vous seule vos blessures

    mais au contraire , de les exprimer à quelqu'un....

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Résultat d'un test effectué en juin 2014

     

    Pour mieux se connaître.

     

     

     

     

    "Vous semblez plutôt sensible aux preuves d'amour que peuvent vous témoigner vos proches,

    sans toutefois vous sentir comblé.

    En attente de gestes tendres, ou de paroles qui vous rassurent, 

    la moindre critique peut à l'inverse vous déstabiliser.

    Ce qui entraîne sans doute des difficultés dans votre vie professionnelle, où vous mettez beaucoup d'affect.

     

    Vous avez peut être été peu nourri affectivement dans votre enfance.

    Que la défaillance de vos parents ait été réelle ou fantasmée,

    vous paraissez avoir pris l'habitude que vos besoins d'ordre affectif ne soient pas comblés.

    Le manque semble perdurer et avec lui une quête qui peut se révéler sans fin.

    Souvent en demande, vous semblez ne pas savoir comment vous y prendre pour recevoir.

    Comme si vous pensiez ne pas mériter l'amour !

     

    Pour commencer, vous pourriez essayer de formuler vos besoins plus clairement,

    de manière à ce qu'ils soient entendus.

    Soyez sûr que vos proches sont prêts à vous témoigner des marques d'affection,

    et à vous reconnaître, si vous leur en laissez la possibilité.

    La prise de conscience est un premier pas dans l'apprentissage de l'amour de soi,

    qui peut mettre fin à une quête de reconnaissance affective.

     

    Criant de vérité....

    FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

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      Et si vous appreniez à vous accepter physiquement ?

     

    Etes vous en paix avec vous même ?

     

    Un inconnu qui vous fait un compliment, un regard dans le miroir,

    une fluctuation de votre poids ou la simple contemplation d'une photo de vous...

    Pour bon nombre d'entre nous, ces événements du quotidien sont plutôt anodins.

    Pour vous, ils peuvent relever de l'épreuve.

    Et pour cause : le regard que vous portez sur votre apparence, votre mauvaise image de vous

    et tous les complexes qui y participent, vous empêchent d'être en paix avec vous-même.

     

    Si votre entourage les voit parfois d'un œil attendri,

    ces complexes physiques peuvent être, pour vous, très difficiles à gérer, voire intolérables,

    tant vous avez tendance à vivre les situations du quotidien à travers ce prisme déformant.

    Une simple balade dans la rue peut ainsi devenir une véritable épreuve

    tant vous redoutez que l'on vous remarque, vous, mais surtout vos défauts.

     

    À l'origine de ces complexes :

    des blessures parfois bien plus profondes que l'on est prêt à l'admettre.

    En effet, une image négative de soi trouve souvent ses racines dans l'enfance,

    le regard que nos parents ont porté sur nous, la bienveillance qui nous a manqué.

    Loin de la superficialité apparente de quelques kilos en trop, c'est ainsi peut-être l'amour infantile,

    parfois insuffisant ou douloureux, qui s'exprime et vous pousse, des années plus tard,

    à avoir un regard dépréciatif sur celle ou celui que vous êtes devenue.

     

    Sans compter l'impact que ces complexes ont sur votre relation aux autres.

    Après tout, ils ne naissent pas uniquement du regard que vous portez sur vous,

    mais sont aussi dépendants de l'image que les autres vous renvoient !

    C'est en effet le jugement des autres qui est bien souvent à l'origine du complexe physique

    (une moquerie sur un nez trop grand dans la cour d'école, une remarque déplacée d'un proche)

    et des mécanismes de défense qui en découlent

    (« Je n'accepte pas le compliment que me fait cet inconnu car il le fait par pitié »).

    Et malheureusement, l'isolement, le retrait et la méfiance en découlent trop souvent.

     

    SOURCE : TEST PSYCOLOGIE.COM

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Quel lien entretenez-vous avec votre mère ?

    Dans l'attente de l'amour maternel...

     

     

    En apparence, vous paraissez vivre d'une façon très indépendante et libérée de toutes pressions extérieures.

    Pourtant, vos réponses révèlent une dépendance psychique qui vous lie à votre maman.

    Elle provient des préceptes maternels qui semblent puissamment ancrée en vous.

    Il est possible que vous ne puissiez pas vous opposer à cette Loi qui fait autorité.

     

    Vous ne pouvez rien refuser à votre mère sous peine de transgresser des règles qui ont régi toute votre vie.

    Pas question de la contrarier, ni de la brusquer.

    Vous préférez parfois acquiescer pour la contenter.

    Au risque de laisser de côté votre propre réalisation personnelle.

    Et cette pensée vous mine.

    Il serait bon de comprendre ce qui vous empêche de contredire votre mère.

    Est-elle autoritaire ?

    N'a-t-elle eu de cesse de vous faire des reproches, de pointer vos manques et vos faiblesses

    par peur de se faire voler sa place de Femme à la maison ?

     

    Si vous avez expérimenté de telles  situations,

    vous avez pu développer un sentiment de culpabilité par rapport aux attentes de votre mère.

    Mais il se peut également que votre comportement soit né du souhait inconscient

    de rester la fille idéale que votre mère désirait tant.

    Quel que soit votre cas,

    vous vous situez toujours dans l'attente maternelle

    tout en continuant de croire en cette mère aimante que vous avez toujours souhaitée...

     

    Test PSYCHOLOGIE.COM

    (Toujours aussi étonnée de la justesse de ces tests...)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Etes vous trop fusionnelles ?

     

      

    Etes vous trop fusionnelles ?

     

    Mon côté fille

    Vous avez souvent entendu votre mère vous dire "c'est pour ton bien."

    Une justification qui vous a toujours semblé abusive,

    ne vous laissant d'autre choix que le soumission ou la rupture.

    Mère et fille restent coincées dans une raltion "ni avec toi, ni sans toi"

    qui n'est épanouissante ni pour l'une ni pour l'autre.

    Osez prendre de la distance.

    C'est un droit des plus légitimes, celui qui vouus permet d'être une personne à part entière.

    Interrogez vous sur vos besoins et vos désirs propres,

    et sur la manière de les satisfaire sans attendre la validation de votre mère.

    Ne vous confiez pas trop, soyez moins transparente.

    Dans la relation, osez poser vos limites et vos conditions, clairement mais fermement.

    Surtout ne cédez pas à la culpabilité.

    Un lien n'est pas une laisse, vous avez votre vie à vivre...

     

    Etes vous trop fusionnelles ?

     

    Mon côté Mère

     

    De la proximité, de la compréhension et de la confiance

    sans confondre les rôles ni les places de chacune,

    vous veillez à faire respecter votre espace intime et à respecter celui de votre fille,

    sans que cela fasse l'objet de négociations ou de tensions.

    Votre fille n'est ni votre prolongemnt ni votre faire-valoir. 

    Soit vous avez reproduit le lien que votre mère avait développé avec vous,

    soit vous avez pris le contre-pied d'une relation fusionnelle intrusive,

    en ayant sans doute travaillé sur vous pour vous en dégager et ne pas la reproduire.

    Il se peut aussi que votre fille ait trouvé les moyens de se mettre à bonne distance de vous.

    Dans tous les cas, vous avez su tisser une relation où chacune se sent à sa place.

    Ni trop près, ni trop loin.

     

    Test psychologie magazine

    Mai 2016

     

     

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    POUR MIEUX SE CONNAITRE.

     

     

    Nouveau test : Découvrez vos cinq besoins essentiels.

     

      

    VOTRE IDEAL DOMINANT : LA VERITE.

     

    L'idéal de vérité est une recherche de cohérence entre ce qui est dans la réalité et ce qui est raconté,

    dans l'excès, une obsession fanatique de la transparence.

     

    Ses manifestations :

    Vous avez besoin de comprendre votre histoire,

    de découvrir les causes des émotions qui perturbent et d'appréhender vos contradictions.

    Vivre en cohérence intérieure et extérieure est votre but.

    Au quotidien, cette quête s'exprime par le besoin de travailler et de vivre avec des gens qui sont vrais,

    qui ne sont ni dans la dissimulation, ni dans le double discours.

    Vous rejetez avec violence le mensonge, la manipulation,

    ce qui peut vous rendre parfois brutale ou excessive,

    car vous avez tendance à penser en termes de "vrai ou faux", de "blanc ou noir".

     

    Son explication ;

    Très tôt, vous avez subi des incohérences entre ce qui était dit et ce qui était fait :

    Un secret de famille,

    des doubles messages (une mère prenant soin de son enfant en étant affectivement absente).

    Rien d'étonnant à ce que vous soyez assoiffée de vrai et de sens.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Ce que vos lectures disent de vous

    Lire pour... Apprendre

     

    Pour Mieux se Connaître

     

    La  lecture est associée pour vous à un appétit de connaissances.

    Vous aimez trouver au fil des pages des informations sur les sujets qui éveillent votre curiosité.

    Les livres qui correspondent le mieux à votre attente regorgent d'éléments qui viennent enrichir votre savoir

    et qui répondent à votre envie de "maîtriser" un domaine.

     

    Vous semblez avoir gardé de la période de vos études une certaine nostalgie.

    Etudier, apprendre, vous laisser guider par des ouvrages de référence,

    répond au besoin de vous appuyer sur des valeurs sûres.

    Freud désignait ce désir de savoir sous le terme de "pulsion épistémologique".

    Les connaissances jouent un rôle protecteur qui vous permet

    de vous sentir mieux armé dans la vie

    et de limiter les prises de risque.

    A l'abri de ce savoir, vous avez l'impression d'être plus en sécurité.

     

    Gardez intacte cette envie d'apprendre !

    Mais essayez d'élargir vos choix de lecture en écoutant les conseils de ceux

    qui vous parlent des livres qu'ils ont simplement "aimés".

    Vous découvrirez ainsi un autre aspect du plaisir de lire...

     

    TEST PSYCHOLOGIE.COM

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Résultat d'un test effectué en Janvier 2016

     

     

    QUEL PARADIS ARTIFICIEL RECHERCHEZ VOUS ?

     

    MAI 2013

     

    Décoller de la réalité

    afin d'échapper à tout ce qui peut être source d'ennui, d'inconfort, de mal être.

    Vous cherchez à fuir le quotidien et les contraintes, la frustration ou l'angoisse qu'il vous impose.

    Vous investissez votre énergie psychique dans l'évasion

    que ce soit par l'immersion dans d'autres univers virtuels

    ou encore en modifiant votre état de conscience ordinaire pour "planer".

     

    Résultat

     

    Vous êtes souvent dans votre monde et dans vos rêves

    et cette posture rend votre vie relationnelle difficile..

    Vous avez le sentiment que votre bulle vous protège

    et qu'elle est le seul endroit dans lequel vous pouvez vous sentir bien.

     

     

    Le versant négatif :

    la fuite ne fait qu'aggraver le sentiment d'être seule et incomprise,

    mais aussi le décrochage de la réalité qui vous fait passer à côté de la vraie vie.

     

    Explication :

    angoisse, stress, mal-être peuvent conduire certains à se réfugier,

    plus ou moins longtemps dans un "ailleurs" pour échapper à l'angoisse ou au chagrin.

     

    Conseil :

    Essayer de ne pas s'installer dans une évasion de fuite et de passivité

    mais tenter d'interroger les causes de son mal-être.

    Ce cheminement se fait souvent avec l'aide d'un professionnel.

     

    TEST PSYCHOLOGIE MAGAZINE.

     

     

     

     

    Cette bulle je m'y suis réfugiée il y a maintenant trois ans.

    Ces livres, ce blog, ces articles et vos commentaires sont devenus "mon moteur".

    Dans l'immédiat c'est ce qui me permet d'avancer...

    FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

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     l’hyper-empathie.

    Qui en profite ? : La victime professionnelle

     

    Vous êtes sensible, voir hypersensible et donc très empathique.

    Non seulement vous comprenez les autres, mais vous pouvez vous mettre à leur place et ressentir leurs émotions.

    Vos émotions à vous sont aussi intenses que fréquentes.

    « Tu es trop gentil », vous répète-t-on.

    Vous haussez les épaules avant de secourir l’un, de réconforter l’autre.

    Parmi ceux qui bénéficient de votre altruisme se trouve la victime professionnelle,

    malchanceuse et paumée chronique,

    qui sait trouver les mots pour faire vibrer la corde sensible et obtenir de vous ce dont elle a besoin.

    Vous n’êtes pas toujours dupe, mais vous répondez toujours présente.

    Quitte à tomber sur le ou la pro qui profitera de vous et vous jouera de mauvais tours.

    Les empathiques altruistes ont, dans leur enfance, souvent joué le rôle de sauveur

    ou de soignant auprès de leurs parents,

    et étaient culpabilisés pour rester dociles.

     

    Test Psychologie.com

     

     

     

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