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     ...ou La réparation du Karma familial....

     

     

     

    Les soi-disant "moutons noirs" de la famille sont, en fait,

    des chercheurs nés de chemins de libération pour l'arbre généalogique.

    Les membres de l'arbre qui ne s'adaptent pas aux normes et aux traditions du système familial,

    ceux qui, depuis tout petit, cherchent constamment à révolutionner les croyances,

    allant à l'encontre des chemins marqués par les traditions familiales,

    ceux critiqués, jugés et même rejetés,

    sont généralement appelés à libérer l'arbre d'histoires répétitives,

    qui frustrent des générations entières.

     

     

    Les brebis noires, celles qui ne s'adaptent pas, celles qui crient rébellion,

    réparent, désintoxiquent et créent une nouvelle branche...

    Innombrables désirs réprimés, rêves non réalisés, talents frustrés de nos ancêtres

    se manifestent dans leur rébellion à la recherche de réalisation.

     

    L'arbre généalogique, par inertie, voudra continuer à maintenir le cours castrateur et toxique de son tronc,

    ce qui fait de sa tâche un travail difficile et conflictuel...

     

    Mais que personne ne vous fasse douter ! ...

     

    Prenez soin de votre "rareté" comme la fleur la plus précieuse de votre arbre...

    Vous êtes le rêve réalisé de tous vos ancêtres....

     

     

    BERT HELLINGER.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Un patient qui aurait refoulé de la haine contre un parent

    aurait beaucoup de difficultés à ressortir ce sentiment.

     

    Prenons le cas d'une femme qui, pendant son enfance et son adolescence,

    aurait caché une agressivité envers sa mère en manifestant un amour exagéré.

     

    Elle ne pouvait pas montrer son agressivité, puisque sa mère représentait un tabou.

     

     

    Or l'amour qu'elle éprouvait envers sa mère était du faux amour.

     

     

     

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    Le rejet touche directement notre peur primale de l'abandon.

    Qui dit rejet, dit baisse de l'estime de soi.

     

    On attribue une bonne part des dépressions à ce sentiment d'isolement,

    au fait que l'on se sente à part ou exclus.

    Le problème est que pour certaines personnes hypersensibles,

    il est très difficile de faire la part des choses.

    Pour elles, la peur de rejet est un problème énorme.

    Leur "baromètre social" ne fonctionne pas correctement

    et elles reçoivent constamment des messages d'alertes indiquant qu'elles sont rejetées.

     

    Ce dérèglement témoigne d'une blessure profonde, qui vient toujours de l'enfance.

    Avoir peur du rejet, c'est être passif et attendre des autres, un signe, une ouverture.

    C'est accorder une importance démesurée à l'opinion des autres

    et à s'estimer en fonction du regard que les autres ont sur nous.

     

    C'est au bout du compte être à la merci des autres.

     

    Le Rejet

     

     

     

     

    Il faut donc apprendre à exister sans le regard de l'autre,

    apprendre à reconnaître nos forces et nos faiblesses,

    à s'accepter tel que l'on est.

     

    Peur du rejet et estime de soi sont intimement liées.

    Vaincre la peur du rejet est donc un processus long et profond.

     

     

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    Si le sujet va mal,

    c'est précisément parce qu'il a trop sollicité et trop actionné le frein de la volonté,

    du coup usé jusqu'à la corde, devenue inopérante et improductive.

    Cela signifie qu'il a, durant des années, livré un combat aveugle et sans merci contre lui-même,

    qu'il a refusé de s'écouter, qu'il s'est négligé et rigidifié, qu'il a fui et refoulé les émotions qui l'interpellaient.

     

    Refoulement

     

    Les parents veulent modeler l'enfant selon telle ou telle norme.

    Souvent l'enfant déclenche une réaction d'opposition.

    Que se passe-t-il si cette opposition se heurte à des parents qui la brisent net,

    parce qu'ils sont trop exigeants ou tyranniques.

    Puisque l'enfant se heurte à un mur, nous tombons dans les haines sournoises,

    les fausses soumissions cachant de froides déterminations de vengeance etc.

    Mais nous trouvons surtout les refoulements. C'est très important de la petite enfance à la vieillesse.

     

    Une partie du passé reste vivace, une autre est soi-disant "oubliée", une autre est profondément refoulée.

     

    Un patient qui aurait refoulé de la haine contre un parent,

    aurait beaucoup de difficultés à ressortir ce sentiment.

    Prenons le cas d'une femme qui, pendant toute son enfance et son adolescence,

    aurait caché une agressivité considérable envers sa mère en manifestant un amour exagéré.

    Elle ne pouvait pas montrer son agressivité, puisque sa mère représentait un tabou.

    Or l'amour qu'elle éprouvait envers sa mère était du faux amour.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Le concept du défaut fondamental

     

    M. Balint l'introduit en relevant l'écart qu'il peut y avoir

    entre les besoins de l'enfant dans ses premiers mois ou ses premières années

    et les soins qu'il a reçus à cette époque.

    De même, chaque fois que l'individu sera amené à prendre conscience de la limitation que la réalité lui impose,

    il y aura une blessure narcissique plus ou moins importante.

    Le Concept du Défaut Fondamental...

    Le défaut fondamental  ne peut être ni supprimé, ni résolu, ni défait ;

    il peut éventuellement se cicatriser, laissant une trace indélébile de son existence dans  le passé.

    Le processus de deuil envisagé  est relatif à l'abandon définitif

    de tout espoir d'atteindre l'idéal de soi sans défaut ;

    Un traitement réussi doit aboutir à accepter l'existence en soi d'un défaut fondamental,

    et à s'adapter avec réalisme à cet état de choses.

     

    D'après les travaux de Mr Michael BALINT.

     

    Pour info

    les Groupes Balint ont été créés par Michaël et Enid Balint.

    Ce sont des séminaires de supervision et de réflexion destinés aux médecins généralistes

    afin de les aider à penser la relation d'aide avec leurs patients.

    La pratique Balint s'est ensuite élargie à d'autres professionnels du soin et de la relation,

    dans une perspective de régulation.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    En tant que personne libre, je suis entièrement responsable des actes que je choisis de réaliser...

    Je choisis mes actions et mes gestes, je dois donc en assumer les conséquences.

    Je suis responsable à 100 % de mes actes, de mes paroles, de mes pensées et de mes sentiments.

    je ne suis aucunement responsable des actes, des paroles, des pensées et des sentiments des autres.

     

    DE LA RESPONSABILITE A LA CULPABILITE

     

    La position de victime n'est pas à confondre avec l'état de victime.

    La première est un comportement adopté par un individu alors que le second est la conséquence d'un fait extérieur.

    * Position de victime = comportement adopté par un individu

    * Etat de victime = conséquence d'un fait extérieur.

     

     

     

     

     

    La culpabilité est le sentiment de celui qui se juge coupable,

    c'est à dire qui estime avoir commis une faute ou causé du tort à quelqu'un.

    Que la faute soit avérée ou non n'y change rien, c'est l'impression subjective qui est déterminante.

    Ainsi la personne qui est convaincue d'être la cause des émotions d'autrui

    ne peut que se culpabiliser lorsque celles ci sont de nature désagréable.

     

    * Culpabilité saine résultant d'un préjudice réellement causé

    * Culpabilité morbide découlant uniquement d'une prise de responsabilité exagérée

    (ex se sentir responsable des malheurs qui surviennent à nos proches... )

     

     

    Celui qui se culpabilise de façon morbide prend plus de responsabilités qu'il ne faudrait

    mais il ne prend pas les bonnes (c'est à dire les siennes).

    Celles ci ne lui confèrent aucune prérogative, ne lui sont d'aucune utilité pour amorcer le moindre changement.

    Elles contribuent en définitive à victimiser celui qui les adopte, à le confiner dans l'impuissance.

     

    Celui qui se positionne en victime

    n'accepte pas d'endosser la responsabilité de ses gestes, de ses paroles ou de ses émotions.

    Il faut donc que quelqu'un d'autre les assume à sa place.

    Lorsqu'un geste est posé, une parole énoncée, quelqu'un doit en ssumer la responsabilité ;

    si ce n'est pas son initiateur, une autre devra s'en charger qui se culpabilisera.

     

     

    Yves Alexandre THALMANN

    Responsable oui ! Coupable, non !

     

     

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    Responsable mais non coupable....

    Un cheminement bien à propos ...

    FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Toute la difficulté pour l'enfant confronté à une mère perverse narcissique réside dans un paradoxe ;

    sa souffrance est d'autant plus gigantesque que tous les signes extérieurs de son développement

    ne laissent transparaître aucune faille,

    aucune souffrance, mais renverrait même l'image d'une famille quasi parfaite

    dans laquelle l'enfant se développe et grandit dans l'harmonie sans jamais poser de problème.

    Par conséquent cet enfant n'a aucun moyen direct de crier son malaise,

    aucune accroche possible dans cette illusion d'harmonie et cette réalité factice,

    aucune place pour une quelconque révolte : le piège est bien ficelé, l'image renvoyée est lisse,

    socialement correcte.

    C'est un peu comme avoir un révolver braqué dans le dos et être obligé de faire bonne figure

    pour éviter que celui qui le pointe tire.

     

     

     

    ETRE L'ENFANT D'UNE MERE PERVERSE NARCISSIQUE

     

     

     

     

    - Isolement et solitude

    Le pervers narcissique vit avec son enfant mais ne partage rien,

    sécheresse affective absolue, un gouffre infini les sépare.

    La plaie de l'enfant est à l'intérieur comme sa solitude.

    Que sa mère soit donc rassurée pour l'heure tout semble normal.

    Un dernier aspect du sentiment d'isolement est directement lié à l'autre parent, le conjoint,

    sur lequel le PN exerce une emprise considérable.

     

    SENTIMENT CHEZ L'ENFANT :

     

    - Affirmation de soi très délicate :

    il sait qu'il doit se glisser dans le costume étroit qu'on a confectionné pour lui, sinon il deviendra un étranger.

    Il n'y a pas d'espace pour la contestation, qui serait immédiatement étouffée et violemment réprimée.

    La discrète mais réelle dictature ambiante ne laisse évidemment pas de place à la discussion

    à l'échange de points de vue différents puisque rien ne doit risquer de menacer l'ordre établi.

    L'enfant ne s'oppose pas de front au PN,

     il se réfugie souvent dans le silence ce qui lui vaut alors d'être défini comme un enfant sage et bien élevé.

     

    POURQUOI JE REPOUSSAIS MES PARENTS

    L'enfant dans sa famille témoigne d'une raideur forte vis-à-vis du contact physique.

    Les rares étreintes avec le parent ne sont pas chaleureuses,

    comme si l'enfant se préservait de manière inconsciente d'une dangereuse contamination.

     

    SOURCE : Yvonne Poncet-Bonnissol.

     

     

     

     

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    NE LAISSE JAMAIS UNE MAUVAISE PERIODE

     

     

    TE FAIRE CROIRE QUE TU AS UNE MAUVAISE VIE.....

     

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    Ce qui caractérise une NDE,

    c'est surtout la transformation qu'elle induit.

     

     

    Moins de matérialisme, de l'altruisme, le respect de la nature,

    souvent une réorientation professionnelle, et bien sur plus aucune peur de la mort.

    Les expérienceurs sont fatalistes.

    Ils prennent la vie comme elle vient.

    Quoi qu'il arrive, ils l'acceptent avec plus de philosophie, même quand ils perdent un enfant.

    Dans ce cas ils sont tristes de ne plus le voir, mais ils savent où il est...

     

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    "Je n'ai jamais cru à la vie après la mort

    et je tenais les récits des EMI pour le dernier soubresaut du cerveau avant sa mort définitive.

    Depuis que j'ai eu un grave accident de voiture, lors duquel j'ai failli mourir, je sais que mon idée était fausse.

    Depuis ma rencontre avec cet amour surnaturel, ma vie a été transformée.

    Je vois la vie de manière totalement neuve :

    j'essaie de passer plus de temps avec ma famille et mes amis.

    Pour moi, le sens de la vie, c'est donner de l'amour.

    En regardant en arrière je suis reconnaissant d'avoir eu cette expérience de mort imminente".

     

    témoignages

     

     

    "Au cours d'une grave opération du coeur, je me suis tout à coup mis à flotter au plafond de la salle d'opération.

    Je voyais les médecins occupés à me réanimer.

    Puis ma conscience s'est élargie et je me suis trouvé en dehors de l'hôpital dans une rue très animée.

    J'ai observé une voiture en percuter une autre, puis reculer, commettant un délit de fuite.

    J'ai vu très nettement le numéro de la plaque d'immatriculation.

    Ensuite, je me suis senti ramené vers mon corps ;

    j'ai alors remarqué le lien subtil qui me rattachait à lui.

    En me réveillant après l'opération, je me souvenais de l'accident.

    J'ai raconté à l'infirmière ce que j'avais observé.

    Elle m'a regardé avec incrédulité, mais elle a quand même prévenu la police.

    Il s'est avéré que j'avais bel et bien reconnu le numéro de la plaque d'immatriculation du conducteur en fuite !"

     

    témoignages

    Extrait de  :

    Nous ne mourons jamais

    Bernard Jakoby

     

     

     

      

     

     

     

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    Méditer, c'est arrêter, ressentir, observer

    et laisser les choses être telles qu'elles sont.

     

     

    Méditation

     

     

    Inscrite depuis des millénaires au cœur de la philosophie bouddhiste,

    la méditation de pleine conscience a été importée dans le monde de la psychothérapie il y a quelques années.

    Elle est de plus en plus utilisée dans le soin de la souffrance physique ou psychique

    et son intérêt a été validé scientifiquement dans de nombreuses indications.

     

    Quelles sont les différences en méditation et relaxation ?

    Entre méditation et Hypnose ? Comment faire ses premiers pas en méditation de pleine conscience ?

    Que peut m'apporter cette approche ?

    Et pourquoi tant de personnes disent que la méditation a changé leur vie ?

     

    Notre esprit bavarde continuellement :

    il conceptualise à propos du présent, rumine par rapport au passé, s'inquiète par rapport à l'avenir...

    Il est rarement pleinement présent à ce qui se passe ici et maintenant.

     

    Ce que nous appelons le "pilote automatique",

    c'est le processus qui s'enclenche spontanément dans tous ces moments

    où nous sommes présents physiquement mais absents mentalement,

    indisponibles parce que nous ruminons nos soucis.

    Du fait de nos apprentissages, de nombreuses actions peuvent être accomplies de façon machinale,

    sans effort particulier d'attention.

     

    La conduite automobile est souvent prise comme exemple :

    remarquez comme il est fréquent de nous absorber dans nos pensées,

    presque malgré nous, lorsque nous sommes au volant.

    Et lorsque nous arrivons à destination,

    nous serions bien incapables de décrire ce qui s'est passé pendant le trajet.

    Lorsque nous ressassons nos difficultés, nous abandonnons le présent pour le passé ou le futur,

    nous passons à côté d'une bonne part de notre vie.

    On  en vient vite à manger, conduire, travailler, penser sans avoir clairement conscience de ce qu'on fait.

    Ainsi, nos habitudes peuvent prendre insidieusement le contrôle de notre vie.

     

    A l'opposé du mode "faire" existe le monde "être",

    dont la méditation de pleine conscience est la porte d'accès.

    Le mode "être" implique de rétablir le contact avec nos sens.

     

    SOURCE : Savoir pour guérir : la méditation en 10 questions.

    FRANCOIS BOUGOGNON.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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