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    dependance affective

    Il est certain, en premier lieu,

    que plus un enfant a souffert de carence narcissique,

    a été privé de sa dose de fusion, de façon précoce et massive,

    plus il risquera par la suite de se montrer avide d'affection.

    La pénurie de l'attachement fusionnel naturel primitif maintient le sujet prisonnier du fantôme qui rôde,

    en quête désespérée d'affection.

     

     

     

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    Le but de la vie n'est pas de trouver le bonheur,

    mais de devenir soi,

    celui que l'on est depuis sa naissance mais qu'on n'a jamais eu le courage d'être,

    par manque de confiance en soi.

     

    "Devenir "Soi"

     

    Devenir soi permet tout d'abord de se découvrir une grande richesse intérieure.

    Il serait faux de croire qu'il existe d'un côté des êtres supérieurs, intérieurement riches et intéressants,

    et d'un autre des êtres inférieurs, pauvres d'esprit et rebutants.

     

    La vraie différence consiste en ce que le premier groupe s'autorise à être soi,

    vivant, branché sur son intériorité, confiant en lui-même, sans honte ni culpabilité

    alors que le second s'interdit de croire en ses possibilités et de s'aimer.

     

    D'après le livre de Monsieur Moussa Nabati

    "Le bonheur d'être soi".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    LES ENFANTS SONT TOUJOURS PLUS HEUREUX

    AVEC DEUX PARENTS SEPARES MAIS EPANOUIS,

     

     

    QU'AVEC CEUX QUI S'OBLIGENT A RESTER ENSEMBLE POUR EUX.

     

     

     

     

     

     

     

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    Une personne qui souffre de sentiments de culpabilité dépend de l'opinion des autres.

    Elle vit en fonction de l'opinion des autres.

    Elle éprouve immédiatement de l'angoisse si elle croit qu'on a d'elle une opinion défavorable.

     

    angoisse et sentiment de culpabilité

                                                       

     

    L'angoisse et le sentiment de culpabilité sont frères jumeaux.

     

    Symptômes :

    *sensations d'être toujours fautif

    *peur d'être rejeté, blâmé, critiqué

    *sensations fréquentes ou permanentes d'être rejeté

    *soulagement dès qu'on a la sensation d'être pardonné ou accepté

    *vivre en fonction de l'opinion d'autrui

    *sensation permanente d'avoir des comptes à rendre

    *besoin d'être admiré, de recevoir des marques extérieures d'affection ou d'amour

    *sentiment d'infériorité, de timidité.

     

     

     

     

     

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    Le jardin de la Sylphide

     

     

    LE JARDIN DE LA SYLPHIDE

     

    Pénétrez dans les jardins de la Sylphide,

    elle a tant de choses à dire, à partager...

     

    Elle a des mots pleins la tête, ils virevoltent au fil du temps,

    au vent léger,

    bravant les tempêtes pour finir par se poser en douceur sur ces pages.

     

    Vous toucherez ainsi, du bout des doigts, les contours de son âme...  

     

     

     

     

     

    De très beaux textes écrits par Sylvie Henocq....

    Je vous invite à la rencontrer à travers son blog "BLUEDOLPHIN62"

    qui figure dans mes blogs favoris

     

     

     

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    RESUME :

    On peut avoir plusieurs enfants, plusieurs conjoints, on n'a qu'une mère, et c'est à cette réalité que se heurtent comme à un mur, ceux dont la mère fut mal-aimante, cruelle, nocive. Ceux qui ne trouvèrent jamais en elle les traits de la figure glorifiée par l'imaginaire collectif  des affectueux, une oreille attentive, un tuteur, un refuge pour la  vie, un océan de douceur.

     

    Comment vivre avec ce vide obsédant et incommunicable, faire face à des questions qui ne trouvent pas de réponse "Pourquoi m'a-t-elle traitée ainsi ? " " Que lui ai je fait ?" sous le regard parfois suspicieux ou sévère des bien-aimés, ces chanceux qui ne peuvent pas comprendre ?

     

    Douze adultes, femmes et hommes, ont raconté à Catherine Siguret leur enfance malmenée, dessinant le portrait d'une mère où tous les blessés des origines reconnaîtront la leur. Le psychanalyste Patrick Delaroche décrypte le comportement de ces mères malades, indifférentes, outrancières, psychotiques, sadiques, simplement égoïstes ou un peu tout cela à la fois. Et on lit à rebours que c'est grâce à la parole, loin du silence de l'amour maternel, qu'il est possible de se reconstruire, et de renaître au monde.

     

    MON AVIS :

    Fort heureusement pour moi, je n'ai retrouvé ma mère dans aucune des descriptions transposées dans ce livre,

    tout au plus quelques traits communs avec les mères dépressives.

    Ce livre est très "dure", impensable que de telles mères puissent exister et n'être pas punies....

    Patrick Delaroche ne dit-il pas dans sa post face : "La lecture de ces témoignages m'a procuré un sentiment d'horreur teinté d'incrédulité : comment une mère peut-elle être aussi "méchante"" avec une telle constance au cours de la vie de ses enfants ? Il y a dans ces textes un accent de sincérité authentifié par ces "petites phrases qui tuent" et ne laissent pas de place au doute.

     

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    La dépression et la Mort

     

     

     

    La mort est toujours présente dans la pensée dépressive,

    allant de quelques évocations qui traversent l'esprit de temps à autre,

    à la volonté de mourir, longuement ruminée et préméditée.

     

    Ce peut être une sorte de soulagement face au constat d'échec de vie que crée la dépression ;

    c'est quelquefois le terme d'une souffrance intolérable liée à la pensée de ruine et d'incurabilité ;

    c'est aussi, dans  l 'esprit de certains déprimés convaincus de leur indignité et de leur culpabilité,

    une issue obligée et méritée.

     

    L'idée de mort dans l'esprit du déprimé, peut se limiter à un concept vague, sans précision,

    demeurer une éventualité acceptée, une sorte de sommeil prolongé :

    "si demain je pouvais ne pas me réveiller".

    La pensée peut se concentrer sur les moyens précis de réaliser la mort.

    Enfin l'idée de mort et le passage à l'acte suicidaire peuvent apparaître brutalement et en même temps :

    volonté brutale de mourir qui déborde le sujet

    incapable de prendre le recul nécessaire vis-à-vis de ses propres pensées,

    incapable de différer son projet soudainement apparu.

    Ces suicides étonnent l'entourage par leur caractère imprévu et brutal.

     

    SOURCE : DR HENRI CUCHE ET DR ALAIN GERARD 

    "JE VAIS CRAQUER"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    MANIPULATION MENTALE ET PERVERS NARCISSIQUE.

     

    Manipulation mentale et pervers narcissique

     

    On parle de manipulation mentale lorsqu'un individu exerce, d'une façon ou d'une autre,

    une tentative de contrôle, le plus souvent psychique, sur autrui

    entraînant une déstabilisation des processus décisionnels, de la capacité à juger, du pouvoir d'auto critique.

    Autrement dit, la manipulation mentale est le fait d'obtenir de quelqu'un qu'il fasse ou pense quelque chose,

    sans qu'il ne s'en aperçoive véritablement,

    sans qu'il puisse décoder que sa réflexion est hors service.

     

    LE MECANISME D'EMPRISE PAR UN PERVERS NARCISSIQUE.

     

    Lorsqu'elle vise à exercer une emprise sur autrui,

    la manipulation mentale est l'œuvre d'un manipulateur,

    en psychopathologie on l'appelle un pervers narcissique.

    Rien ne le distingue particulièrement, et si nous croisons son chemin,

    il y a de grandes chances pour que nous le trouvions sympathique, accueillant, intelligent et même cultivé.

    Les manœuvres qu'il déploie sont dissimulées et n'alertent pas.

    ,

    Cette capacité à manipuler n'est donc pas l'apanage de n'importe qui,

    elle est celle du pervers narcissique dont la description a été faite à la fin des années 80,

    notamment par Alberto Eiguier, psychiatre et psychanalyste, dans son livre

    "Le pervers narcissique et son complice".

    Le titre même de l'ouvrage indique la nécessité d'un "autre" sur qui va se déployer la manipulation.

    Ce "complice" doit également avoir certaines dispositions psychologiques qui vont l'amener à se "soumettre".

     

    _____________

    J'ai réalisé aujourd'hui, que j'étais "ce complice".

     

    FAUSTINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    MERE NEVROTIQUE

     

    Si la mère est névrosée, comment va réagir l'enfant ?

     

     

     

     

     

    L'enfant va se heurter à des contradictions profondes ;

    la mère ne correspond pas au symbole que l'enfant se fait d'elle.

    L'enfant a affaire à une mère qui a peur, qui aime puis cesse d'aimer.

    D'où réaction de l'enfant : angoisse puis réactions contre cette angoisse.

    De toute façon, l'enfant ne peut pas se laisser aller "vers sa mère". C'est évident.

    Il observe des marques extérieures d'amour, mais il ne se sent pas aimé.

    Pour retrouver une sécurité, l'enfant peut :

    * se soumettre pieds et poings liés à toutes les volontés, toutes les tyrannies et tous les caprices de sa mère.

    * Refouler certaines pulsions ; il est évident que l'hostilité, voire la haine, apparaitront rapidement. 

     

    Pierre Daco.

     

     

     

     

                                                                           

     

     

     

     

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    Lire et Ecrire...

     

    Avant de commencer ce travail thérapeutique, je n'avais aucune notion de psychologie.

    J'ai effectué depuis un chemin formidable et Lire et Ecrire me laissent une trace de cette évolution

    si bien traduite au jour le jour.

     

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    Pour savoir de manière fiable si une femme a eu,

    à un moment donné ou durant toute sa vie, le statut de vilain petit canard,

    il suffit d'observer si elle est incapable d'accepter un compliment sincère.

    Ce pourrait être bien sûr affaire de modestie ou de timidité

    (quoiqu'on classe trop souvent sous le label "simple timidité" de nombreuses blessures graves)

    mais souvent, ce compliment est reçu avec embarras par la femme

    parce qu'il provoque automatiquement un dialogue déplaisant dans son esprit.

     

     

    Si vous lui dites qu'elle est jolie, ou que ce qu'elle crée est beau,

    ou si vous la complimentez sur une réalisation,

    quelque chose dans son esprit va lui dire qu'elle ne le mérite pas et que vous êtes stupide de penser ainsi.

    Plutôt que de comprendre que la beauté de son âme transparaît quand elle est elle-même,

    la femme va changer de sujet .

     

    Extrait de Femme qui court avec les loups - Clarissa

     

     

     

     

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    ...on sait que l'analyse est un pari qui vaut le coup d'être tenté,
    un voyage qui vaut la peine d'être accompli,
    même si l'on y rencontre en son cours des déserts et des gouffres ;
    au point que si une machine à remonter le temps nous offrait de recommencer notre vie,
    il est évident que nous referions ce parcours analytique bien qu'il soit ardu et laborieux,
    parce que ses résultats sont d'une valeur inestimable !

     

     

     

     

     

    Vous vous demanderez un peu moins lors des mille et une décisions du quotidien,
    les petites et les grandes, ce qu'attendent de vous votre conjoint,
    votre père, votre mère, vos enfants, vos amis, votre voisin...
    Autant d'attentes supposées qui finissent par complètement vous désorienter.
    Vous trouverez en vous un nouveau référent que vous apprendrez à écouter un peu plus :
    votre désir.
    Le désir c'est cette force qui vous anime, qui vous donne vie, qui vous pousse,
    qui vous fait avancer, qui vous met dans le mouvement du monde,
    dans la course de la vie".

     

     

    L'EFFET DIVAN

    Valérie BLANCO

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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