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Qu'est ce qu'une personne qui n'ose pas s'affirmer ?
C'est une personne dont chaque action est accompagnée d'angoisse plus ou moins inconsciente.
On découvre une personne qui n'ose jamais être elle-même, ni spontanée.
On découvre une personne qui n'ose jamais parler en public, ni contredire, ni s'opposer.
On arrive à un père despote, à une enfance empoisonnée par l'infériorisation, la culpabilité et l'angoisse.
On arrive à des refoulements considérables d'agressivité.
Donc on aboutit à une angoisse généralisée et puissante devant toute affirmation de soi ;
angoisse qui dévore l'énergie du patient qui,
d'affaiblissement en affaiblissement,
culbute dans la psychasthénie
.
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LE BONHEUR D'ÊTRE SOI - MOUSSA NABATI
Un travail intéressant, un conjoint et des amis aimants, le confort matériel....
Comment expliquer que l'on n'est pas heureux quand on a tout pour l'être ?
Moussa Nabati explique que l'obstacle au bonheur
réside dans la difficulté à être soi-même et montre, comment,
en renouant avec son histoire personnelle,
on peut parvenir à exister pleinement.
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Un parent atteint de sentiments d'infériorité a besoin que son enfant reste inférieur.
Il a besoin que son enfant n'ait pas de vie personnelle et spontanée
Il a besoin de la faiblesse de l'enfant pour renforcer les sentiments de domination
qui lui donnent une sensation de force.
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Moi Christiane F. 13 ans, droguée, prostituée.
Ce live relate, l'histoire vraie de Christiane FELSCHEZINOW à la fin des années 70 qui,
pour échapper à une enfance terne et peu joyeuse, mais également pour "être à la mode" et
faire partie d'une bande cool, plonge de plus en plus profondément dans l'enfer de la drogue
et finira par se prostituer à 14 ans pour subvenir à ses besoins quotidiens d'héroïne.
L'HERBE BLEUE
Un soir, une jeune fille de quinze ans, mal dans sa peau, est invitée à une soirée.
Au jeu "il court le furêt", elle ne le sait pas mais, dans dix des 14 verres, il y a du LSD.
C'est sa première prise de drogue à son insu. Elle y prend gout et tout s'enchaine très vite :
elle se drogue de plus en plus souvent, développe une addiction, quitte ses parents, vend sa "came"
et se retrouve presque à la rue.
"Quand on a commencé, il n'y a plus de vie possible sans drogue, mais c'est une existences d'esclave.
Et pourtant je suis ravie d'y retourner. Heureuse ! Heureuse !
Ca n'a jamais été meilleur qu'hier soir. Chaque fois est la meilleure".
Elle ferra de nombreuses tentatives pour arrêter de se droguer et finira dans un hôpital psychiatrique.
Elle meurt trois semaines après avoir décidé d'arrêter d'écrire son journal.
LES CHEMINS DE KATMANDOU
La triste épopée d'un groupe de jeunes qui prennent le Chemin de Katmandou au Népal,
le lieu de l'oubli et de la drogue.
Certains n'y arriveront pas, d'autres y arriveront... Mais à quel prix ?
Chacun a son motif pour partir.
La montée vers le sommet du chemin de Katmandou est une descente périlleuse ver la mort.
Ce roman parle de la cause défendue des hippies, l'amour à travers un univers mortuaire, la drogue.
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Je suis simple et j'aime les gens simples.
Ceux avec qui je peux être moi même, car la simplicité fait la beauté du cœur.
Pour moi, il vaut mieux être simple et remarquable,
que d'être faux pour se faire remarquer....
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Les blessures intérieures sont au nombre de cinq :
Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice...
Je vais donc vous parler de la blessure de rejet,
puisqu'apparemment elle est celle qui me concerne le plus...
Rejeter c'est repousser quelqu'un, ne pas vouloir l'avoir à ses côtés ou dans sa vie.
Le blessure de rejet est très profonde et se met en place très tôt dans la vie de l'enfant.
Quiconque en souffre se sent rejeté en son for intérieur,
et interprète tout ce qui arrive dans son entourage à travers le filtre de cette blessure.
Il se sent rejeté dans certaines situations alors que ce n'est pas le cas.
Selon Lise Bourbeau, la blessure de rejet est vécue avec le parent de même sexe.
Dans son livre Lise Bourbeau précise que
"le parent du même sexe a pour rôle de nous apprendre à aimer, à nous aimer et à donner de l'amour.
Le parent du sexe opposé nous apprend à nous laisser aimer et à recevoir de l'amour."
En réponse à ce rejet, la personne finit souvent par rejeter le parent qui lui inflige cette blessure.
Afin d'éviter sa blessure, l'enfant va se créer un masque, celui du fuyant...
Le fuyant aura tendance à se créer son propre monde
car il pense ne pas être assez important pour avoir droit à une place...
Il se dévalorise sans cesse et préfère ne pas s'attacher aux choses pour pouvoir mieux fuir.
Il a du mal à croire qu'un autre puisse l'aimer et demeure dans le besoin de l'amour du parent du même sexe.
Le fuyant a aussi peur du jugement car synonyme de rejet selon lui.
En plus de sa peur de prendre trop de place, de gêner les autres,
le fuyant craint le fait de commettre une erreur et aura tendance à être perfectionniste.
Ainsi, la personne qui souffre de rejet est caractérisée par le fait de se sous estimer
et de rechercher la perfection à tout prix. Cette situation le mène
à une recherche constante de la reconnaissance des autres, une reconnaissance très difficile à rassasier.
Derrière ce masque se cache une personne débrouillarde, dotée d'une bonne capacité de créer,
une aptitude à travailler seule et à être autonome.
SOURCE : Le Net
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ABSENCE DE REACTION DU CONJOINT
Le conjoint sur lequel le pervers narcissique exerce une emprise considérable,
est pris dans une relation de soumission
devant abandonner presque totalement sont rôle de parent,
pour se dévouer exclusivement à celui d'époux ou d'épouse.
L'enfant est doublement orphelin de ses parents.
Il réalise l'impensable,
il lui faut faire son deuil
et surmonter l'anachronisme qu'il y a à vivre avec ceux qui sont déjà morts
et qu'il doit déjà "enterrer".
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