•  

    La victime ne parvient pas à sentir qu'elle a été une victime.

     

     

    De cette façon dans la thérapie,

    le client est dès le départ bien incapable de déterminer le vrai coupable.

    Même si les émotions réprimées, arrivent à remonter à la surface,

    elles auront du mal à disputer la place aux mécanismes précocement acquis.

    C'est qu'ils ont servi tellement longtemps à minimiser la douleur.

    Ne plus y avoir recours, c'est comme nager contre le courant ;

    Non seulement cela fait peur,

    mais cela fait naître aussi des sentiments d'isolement.

    On s'expose au reproche d'apitoiement larmoyant sur soi-même.

    Or c'est pourtant ici que commence le chemin qui mène à la maturité.

     

    ALICE MILLER.

     

     

    « Le syndrome abandonique »
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  • Commentaires

    1
    Mardi 25 Octobre 2016 à 20:15

    Eh oui, c''est là que le chemin commence... Seulement le cerveau n'aime pas le changement et il fera tout pour conserver ses petites habitudes de survie.

    La bataille est difficile puisqu'on ne la comprends pas... Mais on réussira !

    Bisous-tendresse Faustine

    Passe une belle soirée

    Danielle

      • Mardi 25 Octobre 2016 à 20:47

        J'apprécie beaucoup les écrits d'Alice Miller...

        Merci de ton passage chez moi.

        Une bonne soirée à toi aussi Danielle.

        BIZZ FAUSTINE.

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